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Géplu.
Et puisque nous sommes aux USA, nous ne pouvons manquer de célébrer, en ce dimanche 11 juin, le départ à l’Orient Éternel de notre Frère John Wayne, sans doute le dernier des géants américains.
Évoquons quelques passages de sa vie profane puis maçonnique.
En 1979, le western perd un de ses authentiques aristocrates : John Wayne, qui a laissé un poumon et son estomac dans sa lutte contre la maladie, en plus de subir une opération à cœur ouvert, meurt à l’âge de 72 ans.
Employé par la Fox pendant la saison estivale, il se lie bientôt d’amitié avec le cinéaste John Ford, qui jouera un rôle décisif dans sa carrière de superstar. C’est en 1930 que Ford lui donne sa première vraie chance en le recommandant pour le rôle-titre du film The Big Trail. En 1939, il personnifie Ringo Kid dans Stagecoach, qui deviendra un classique du cinéma western.
Après 40 ans de carrière et quelque 250 films, John Wayne reçoit la consécration de Hollywood avec l’Oscar du meilleur acteur pour son rôle de marshall dans True Grit (Cent Dollars pour un shérif en version française), en 1969.
D’un point de vue maçonnique, la première adhésion de John Wayne à une fraternité a commencé à l’adolescence. Il devient membre de l’ordre paramaçonnique DeMolay (Chapitre Glendale) dans sa jeunesse et a rejoint des fraternités au cours de son bref mandat à l’USC. Après 30 ans en tant qu’acteur de premier plan, Wayne aspirait à la camaraderie loin des feux de la rampe et l’a trouvée dans la franc-maçonnerie en 1970. Il connaissait le métier de son père, qui était un maçon avant lui, et probablement de son temps adhérent, lui aussi, à DeMolay. Sa loge était Marion McDaniel Lodge No. 56 à l’Orient de Tucson, Arizona. Après avoir été élevé comme maître Maçon, il a rapidement obtenu les diplômes du Rite York, est devenu membre du temple Al Malaikah Shrine à Los Angeles et était aussi 32e du Rite Écossais.