La Perse, le shi’isme et la Lumière de l’Orient

Publié par Jiri Pragman

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dimanche 11 avril 2010
  • 11
    ombre
    11 avril 2010 à 22h29 / Répondre

    Hé dites-donc thot, pas emerik, EMEREK ! ! Voilà que les dieux s’y mettent maintenant, manquait plus que ça !

    Salutations EMI adoré !

  • 10
    xul
    11 avril 2010 à 22h17 / Répondre

    À thot hermes 5,

    On ne se connaît pas, on se vouvoie donc.

    Avez-vous des arguments à propos du sujet de ce fil ou contentez-vous d’attaques «fraternelles» mais ignorantes contre ma personne ?

  • 9
    EMEREK
    11 avril 2010 à 19h57 / Répondre

    Pour thot hermes…

    Je suis au courant de cette histoire.Je voulais simplement préciser le rite pratiqué par le frère(RER) …….ce qui peut être intéressant à mentionner chez ce chercheur et écrivain exceptionnel…en spiritualité .

    Nb :Le RER est quand même le rite fondateur de la GLNF …

    EMEREK

  • 8
    ombre
    11 avril 2010 à 19h53 / Répondre

    Enfin, au cas où le sieur lirait ces qq lignes au BM, je lui suggère de parler aussi un peu du présumé combat d’Alī (ibn Abī T̩ālib) avec les Djinns, de Ilm AL-Kitâb, l’infaillibilité des imams, etc… en rapport avec les qualités divines de l’homme, desquelles je ne connais d’ailleurs pas grand-chose, celles de la femme non plus remarque (en a-elle?!). Enfin la femme c’est une autre histoire hein, n’est-ce pas !
    Bon, probablement que le GADLU daignera nous en dire davantage dans l’avenir….

  • 7
    thot hermes
    11 avril 2010 à 17h37 / Répondre

    pour emerik …….les C B C S n ont rien a voir avec la G L N F , qui ne gerait que les trois premiers grades ……aprés c était le G P D G ……avant la reforme de 2000 bien sur , donc à l époque du frére CORBIN ….

  • 6
    thot hermes
    11 avril 2010 à 17h25 / Répondre

    a XUL …….tu n es qu’un donneur de leçons ……par correspondance …avec un manque évident de fraternité pour cette loge qui tente une ouverture vers les profanes ….tu pratiques une franc maçonnerie des catacombes completement renfermée sur elle meme …et sans coeur

  • 5
    xul
    11 avril 2010 à 12h41 / Répondre

    À thot hermes 2,

    Entre «médiocre» et «nul» il y a une différence, n’est-ce pas ? Appliquons donc aussi l’art libéral de la logique et non en prépondérance ce de la rhétorique, comme cela nous enseigne le grade de compagnon.

    Lisez s.v.p. l’ouvrage sus-mentionné du professeur Amir-Moezzi et, seulement à titre d’exemple, «Histoire de la Philosophie Islamique» du professeur Henry Corbin. Vous pourrez en suite faire vous-même un discours comparatif sur les mérites des deux auteurs.

  • 4
    EMEREK
    11 avril 2010 à 12h13 / Répondre

    Henry Corbin était membre de la GLNF (CBCS )…

  • 3
    thot hermes
    11 avril 2010 à 9h42 / Répondre

    notre ami xul devrait faire une conférence pour expliquer la vision des choses du prof Corbin au lieu de critiquer l heureuse initiative de la loge brunelleschi ……..la critique est facile ………et prendre les autres pour des nuls aussi ……..as tu reservé une date , mon ami Xul ?????

  • 2
    xul
    11 avril 2010 à 8h17 / Répondre

    Le professeur Mohammad Ali Amir Moezzi, comme on peut s’en apercevoir en lisant son livre médiocre «Qu’est-ce que le shi’isme», a une approche «horizontal» à la branche Chi’at ‘Ali de l’Islam, ce que le conduit, par exemple, à lui attribuer à tort un «dualisme».

    Le niveau du professeur Moezzi n’atteint pas, hélas, de loin celui du professeur Henry Corbin, réputé franc-maçon, décédé en 1978, dont les ouvrages offrent au lecteur capable de les comprendre une véritable porte d’entrée aux profondeurs de la spiritualité islamique. Certains parmi ceux qui ne comprennent pas Corbin essaient de le marginaliser et, par là, marquent leur propre éloignement de ce qu’on appelle le «pôle spirituel».

  • 1
    lihin
    11 avril 2010 à 8h07 / Répondre

    Le professeur Mohammad Ali Amir Moezzi, comme on peut s’en apercevoir en lisant son livre médiocre «Qu’est-ce que le shi’isme», a une approche «horizontal» à la branche Chi’at ‘Ali de l’Islam, ce que le conduit, par exemple, à lui attribuer à tort un «dualisme».

    Le niveau du professeur Moezzi n’atteint pas, hélas, de loin celui du professeur Henry Corbin, réputé franc-maçon, décédé en 1978, dont les ouvrages offrent au lecteur capable de les comprendre une véritable porte d’entrée aux profondeurs de la spiritualité islamique. Certains parmi ceux qui ne comprennent pas Corbin essaient de le marginaliser et, par là, marquent leur propre éloignement de ce qu’on appelle le «pôle spirituel».

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