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Géplu.
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Superbe article. Merci.
Un même article sur la Loge le Grand sphinx serait extra.
Bon confinement
O.R.
L’histoire s’élabore souvent à partir d’une imagerie qui donne à voir l’évidence d’un passé ordonné, classé, organisé, immuable aussi, avec ses petites histoires. Intéressante conférence, aussi remercions-en son auteur.
Excellente initiative !
Raconter simplement une histoire compliquée d’une loge d’autrefois. Et pas n’importe laquelle ! Une loge qui peut vraiment se targuer d’un passé « égyptien » mais ne s’en servit guère mérite qu’on se souvienne d’elle.
L’Egypte, la Femmes, les Mystères, Napoléon et la légion d’honneur.
Hérodote et Diodore ont montré que chez les Égyptiens la Femme avait un rôle prépondérant, tandis que l’homme filait et se livrait aux soins du ménage.
M. Révilloud, dans son histoire de La Femme dans l’ancienne Egypte, a affirmé le même fait.
C’est la Femme qui faisait les lois et les interprétait ; Elle qui était Déesse et Prêtresse.
Les Pharaons sont des magistrats sacerdotaux, toujours représentés en costumes de femmes.
Dans le règne primitif, toutes les grandes dignités de l’Etat, les fonctions de juge, de médecin, étaient exclusivement réservées à la caste sacerdotale. Les hommes ne pouvaient pas y prétendre, ils étaient soumis au pouvoir des femmes appelées « des sages » (Soffet), qui leur faisaient faire un service régulier, un travail dont l’organisation avait été savamment établie. On les envoyait aussi en expéditions lointaines.
Pour les récompenser, on leur donnait le droit de porter certains signes de distinction. On comprenait déjà que les honneurs accordés aux hommes n’ont de valeur que s’ils les tiennent de la Femme. À ce sujet, rappelons que la Rose, que les anciens appelaient « la splendeur des plantes », est un emblème qui représente la Femme. Elle est dédiée à Vénus et ceux qui se soumettent à sa loi sont appelés sub rosa. C’est la rose mystique que nous retrouvons en Egypte dans l’ordre de la « Rose-Croix ».
« Certes, écrit Richard Khaitzine, on peut trouver que (Raymond) Roussel ait été fasciné par toutes ces « petites pourpres » qui sont autant de distinctions honorifiques, tellement dévaluées de nos jours parce que distribuées à la volée, moins sur la base du mérite qu’en raison d’une certaine aptitude aux courbettes quand il ne s’agit pas de reptation. Il en allait tout autrement autrefois. Sous la plume savante de Pierre Dujols, on peut prendre connaissance d’une information surprenante : « Et même actuellement, qu’est-ce donc que la rosette de la légion d’honneur ? Rudice en étoile que les officiers de marine appellent la « tomate » ou « pomme d’amour », la pomme de Vénus (de châtré, chaste, cathare), sinon, encore et toujours la Rose-Croix. Cet insigne a été imaginé par Napoléon, affilié au Temple. »