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Nicolas de Condorcet 1743-1794

La liberté de conscience ou l’apprentissage du jugement éclairé

Publié par Charles Coutel

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dimanche 16 juin 2024
  • 6
    Remi
    17 juin 2024 à 8h25 / Répondre

    Liberte « absolue? » de conscience. Liberté d’examen – liberté d’expression. Rien de plus.

  • 5
    Charles Coutel
    17 juin 2024 à 5h13 / Répondre

    Le précédent commentaire ne comprend pas mon propos : la richesse des analyses de Condorcet est d’indiquer les moyens par lesquels tout citoyen instruit par la République peut s’exprimer et débattre avec lui-même et avec tous . C’est ce qui s’est perdu aujourd’hui . Le rôle historique de la FM est de rendre possible de nouveau cet apprentissage du jugement éclairé . Enfin, que vient faire ici Madame Michu, dont on vient de nous préciser qu’elle a été initiée il y a 30 ans … mais qui ne le clame pas sur tous les toits!; votre dévoué Charles Coutel.

    • 7
      ERGIEF
      17 juin 2024 à 9h12 / Répondre

      4@ CHARLES COUTEL
      J’ai le sentiment que c’est vous qui ne saisissez pas mon propos. Si mes lointains souvenirs de classe de philo ont encore quelque valeur, Condorcet se fiait plus facilement au jugement de l’homme de la rue (Mme Michu ou Mr Duchmol) pris dans son acception collective plutôt qu’à un magistrat isolé, bardé de diplômes et empli de savoirs. Peut être jugerez vous ce ce raccourci très imparfait mais il suffit à contenter ma modeste personne.

  • 4
    Henri CAICEDO
    16 juin 2024 à 23h36 / Répondre

    La liberté de conscience est un droit accordé à une personne d’avoir ses valeurs, croyances, pratiques et autres actes dans le monde
    Si c’est un droit octroyé (par qui?) est-ce encore de la liberté?
    La conscience n’est pas isolée car elle dépend des implications non-conscientes qui régissent la vie des gens
    A bien examiner le statut de la liberté dans l’histoire et dans la vie de mêmes gens, que des conditionnements nous habitent et nous accompagnent !!
    Une troisième manière de s’exprimer (autre que collectivement et individuellement) ? Je dirais, virtuellement!
    Ce blog en est une illustration
    Virtuelles, comme le seraient nos initiations maçonniques: deux ou trois réunions dans le mois et le plus clair du temps navigant dans le monde dit « profane » (dont se nourrit le monde initiatique et inversement)
    La liberté absolue de conscience équivaudrait à la raison poussée à son paroxysme ?
    Et ensuite ?

  • 2
    Charles Coutel
    16 juin 2024 à 18h01 / Répondre

    Cher Pierre, l’ajout « absolue » est important et il faut essayer de le penser . Ce serait l’apport de Condorcet , qui par sa théorie du jugement éclairé, demande à chaque citoyen instruit par la République, de se prononcer en conscience sur toute question d’intérêt général. Il insiste sur le fait que ce n’est possible que collectivement et individuellement. Charles Coutel.

    • 3
      ERGIEF
      16 juin 2024 à 21h11 / Répondre

      « Que collectivement et individuellement » . Y aurait il une troisième manière de s’exprimer?
      Par ailleurs je transfère ce texre à madame Michu ma concierge. ..
      Elle, qui jusqu’à présent se présentait devant les urnes animée par le bon sens populaire, se rendra peut être désormais dans l’isoloir guidée par les propos éclairants (?) de Charles Coutel

  • 1
    Pierre Noël
    16 juin 2024 à 12h39 / Répondre

    Tout cela n’éclaire pas la différence entre « liberté de conscience » (sans plus) et « absolue » liberté de conscience ! Faut-il y voir une référence à l’absolutisme d’ancien régime ou un mantra habituel aux invocations religieuses et aux hymnes progressistes ?
    (Oserais-je dire, très humblement, que je n’y vois que redondance inutile ?)

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