Joël Gregogna présente le livre de Michel Renonciat
L’usage, pacifique, des armes blanches dans les cérémonies maçonniques constitue une caractéristique historique de la maçonnerie française. Quand cette dernière apparut vers 1725-1730, le principe d’égalité des Frères se heurtait à l’organisation inégalitaire de la société. Le port de l’épée était alors réservé aux nobles dont c’était le signe visible. Le génie fut alors d’instituer une égalité « par le haut », non pas en interdisant aux noble de porter l’épée en loge, mais en étendant le principe à tous : nobles ou roturiers.
Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :
*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :
Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous
ce livre est une merveille d’ erudition et d’ iconographie
hommage posthume à notre F Michel Renonciat, expert et artisan d’ art
« L’usage, pacifique, des armes blanches dans les cérémonies maçonniques » ou bien
« L’usage symbolique des armes blanches dans les cérémonies maçonniques »?
Un « mot » qui a dû faire sourire son auteur mais qui détourné l’attention du livre présenté vers l’actualité politique. Les mots ne sont pas sans puissance…
Au Rite anglais style Émulation, il ne semble y avoir rien de symbolique quant à l’usage de l’épée/glaive. Concernant la mission du Tuileur ou Garde Extérieur, à l’entrée de la Loge, le 2nd Sur:. ne dit-il pas : « Armé dʼun glaive nu, il doit éloigner tout intrus et profane et sʼassurer que les candidats sont convenablement préparés.
ici même, notre bien-aimé Frère Géplu avait, le vendredi 22 janvier 2021, présenté « Épées, glaives & poignards – de la chevalerie à la franc-maçonnerie en Europe aux XVIIIe et XIXe siècles »
https://www.hiram.be/epees-glaives-poignards/
Un beau-livre qui met en avant notre très riche patrimoine maçonnique nous offrant un fabuleux catalogue de magnifiques images d’œuvres d’art conservées, entre autres, par les musées des cinq grandes obédiences en France.