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Il ne faudrait pas simplifier ce qui apparaît comme étant complexe en s’égarant dans des rêveries.
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Si des éléments spéculatifs font leur apparition dans les Loges opératives, dont j’ai détaillé certaines avancées dans ce domaine, ils ne sont pas de la même nature que les aspects spéculatifs qui auraient fait leur apparition en Cours de Jacques VI/I.
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En Cours du monarque Ecossais, et pour rester sur le seul plan opératif, c’est l’Architecture théorique, apport de la Renaissance dans la lignée de « De Architectura » de Vitruve, qui est magnifiée notamment avec Henry Wotton et sa traduction libre de Vitruve, ainsi que le rôle central joué par la Géométrie qu’on retrouve cité dans le MS « Grand Lodge N° 1 » de 1586.
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Les organisations, quelles qu’elles soient, y compris la Franc-maçonnerie opérative avec les nouvelles perspectives de Schaw, ont bénéficié de la politique conciliante et pacifiste amorcée par Elisabeth I et poursuivie par Jacques VI/I.
On oublie que Schaw mit six ans de travail avant d’unifier les réseaux de Métier dans le but de neutraliser les antagonismes et les volontés de puissance de quelques artisans.
Cela aboutit à une centralisation du pouvoir.
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On l’a vu, en Cours du roi se trouve maints maçons hors Métier et on peut encore citer Lord Alexander, Lord Hamilton et David Ramsay reçus en Loge d’Edimbourg.
En essuyant un refus des opératifs de se retrouver à leur tête, Jacques VI/I avait à sa disposition tous les moyens pour engager une nouvelle pratique maçonnique façonnée sur le mode du théâtre et de la convivialité, tout en engageant la promotion du savoir scientifique susceptible d’excéder l’opératif par un spéculatif qui prenait des formes intellectuelles et culturelles bien différentes que celles amorcées par le Métier.
La Cérémonie dite des « Masques » fut plus qu’un phénomène ludique de divertissement, figures mythiques et symboliques s’enchevêtraient.
Ces « Masques » dispensaient un message humaniste et moral.
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Dans cette perspective, on ne peut exclure que les Loges opératives aient été contaminées par des éléments qui leur étaient étrangers, donc en marge de leurs propres éléments spéculatifs, provenant d’une maçonnerie de Cour.
L’année 2000 (en août) vit la réunion des Grands Prieurés KT anglo-saxons, des Grands Chapitres Scandinaves et des GP de CBCS (francophones) à Stirling. Cette réunion était organisée par le Grand Prieuré d’Ecosse (« the Order of the Temple »), avec l’aide de tous les Ordres « beyond the Craft» en Ecosse (à l’exception du REAA). Elle dura trois jours. Tous les Ordres (RA, HRAKT, RCC, SM RT et KT) présents tinrent une tenue ouverte à qui de droit. Chacun organisa une tenue de son système, avec une démonstration de son rituel de réception (ce fut le cas pour l’Arche Royale écossaise notamment) ou une explication de leur fonctionnement. Le dernier jour fut l’occasion d’une réunion des dirigeants des différents Ordres présents, de la tenue solennelle d’adieu et d’un banquet grandiose présidé par Lord Elgin of Kincardine (PGMM) dans la Grande Salle du Château de Stirling (annoncée par une parade de bag-pipers sur son esplanade). La soirée fut exceptionnelle avec, en entrée, le haggis (annoncé par son ode (1), les neeps (rutabagas) and tatties (patates) et les drams of malt. J’ai eu le plaisir d’y rencontrer des Anglais; des Canadiens, des Néo-Zélandais, des Australiens, des Malaysiens, des Jamaïcains et des Sud-Africains … Mon très regretté ami Jean-Françoic Var y était. Nous eûmes une très agréable conversation sur les peintre préraphaélites (2)
1) Good luck to you and your honest, plump face,
Great chieftain of the sausage race!
Above them all you take your place,
Stomach, tripe, or intestines:
Well are you worthy of a grace
As long as my arm…
Old Scotland wants no watery stuff,
That splashes in small wooden dishes;
But if you wish her grateful prayer,
Give her [Scotland] a Haggis!
2) Mouvement artistique né en Angleterre en 1848. Ce mouvement tient la peinture des maîtres italiens du XV siècle, prédécesseurs de Raphaël, comme le modèle à imiter
Je n’oublierai jamais ces trois jours dans un environnement idyllique (la campagne bordant le château au nord, la ville médiévale au sud). Nous étions quelques amis réunis au-delà des distances, Douglas G. Edlich de Seattle, Stanley Geddes d’E’burgh, John Trott de King’s Lyme, Jean-François Var, parisien retiré dans le Périgord, Peter G. Williams de Londres, William Warner exilé à Bruxelles (je ne cite que les morts pour ne pas m’attirer de remarque déplaisante en plus). C’était un été superbe .. Et tout cela à 5 miles de Bannockburn que certains maçons du rite « standard » prennent pour un homme (je l’ai entendu de mes blanches oreilles!)
@ 15 Pierre Noël ,
Certains maçons du standard ! Plusieurs ça craint.
J’ai entendu un maçon qui : entendant RER pensait à un moyen de transport, j’ai oublié son rite .
-9- Où voit-on du Gloubi boulga ?
Les choses sont simples et connues depuis longtemps, et les Templiers n’ont rien à faire ici…
Le « Mot de Maçon » est répertorié depuis 1630, voir déjà présent sous John Knox, « depuis les temps heureux de la Réforme (1560) », et ces catéchismes sont indubitablement Ecossais.
La maçonnerie anglaise s’en est inspirée au 18e siècle pour créer sa propre maçonnerie.
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Je rappelle que mon Evocation vise à cerner au plus près d’éventuelles réunions spéculatives à la Cour de Jacques VI/I dans le contexte des « Lumières Ecossaises » qui implique des renouveaux dans les Arts, la science, l’architecture, ainsi que dans le Métier, avec ici une approche réactualisée qui montre la complexité de ces notions d’opératif et de spéculatif au sein du métier à cette époque et qu’on a toujours tendance, malgré les actuels travaux sur ce sujet, à ne considérer que le seul aspect opératif, alors même qu’un aspect spéculatif inhérent au métier est attesté au moins depuis le 15e siècle.
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Sans faire l’impasse sur les Statuts Schaw et ses apports nouveaux qui ont été détaillés dans l’article ci-après et ses commentaires https://www.hiram.be/a-propos-des-macons-geomatiques-ecossais/ et qui, on l’aura compris, méritent plus que quelques lignes orientées en copier-coller.
On peut toujours rêver ! Je ne m’en prive guère.
Schaw ne restructure rien du tout.
1/ les Guildes sont vent debout contre les Statuts Schaw qui créent une concurrence. Il n’y a qu’une ou deux Guildes en difficulté économique qui s’allient à des loges Schaw.
2/ Jamais le roi Jacques VI ne signera les Statuts Schaw, ceux-ci n’entreront donc jamais en vigueur. Il en est exactement de même pour les Chartes Sinclair.
3/ Rien ne permet d’affirmer qu’un quelconque exercice spéculatif n’existait avant que les loges Schaw l’inventent de manière à récolter les fonds qui leur manquaient faute de chantier de construction, d’entretien ou de réparation.
C’est Cécile Revauger qui a raison !
Bonjour ,
Concernant les matchs Ecosse Angleterre et retour Angleterre Ecosse.
J’ai eu l’occasion de poser la question dans l’univers maçonnique, voici la plus « poétique »
« La franc maçonnerie fut cuite en Ecosse et nappée en Angleterre »
Et quelques autres + ou moins dans la question:
-WILLERMOZ n’était pas Britannique, RER ?? A t’il voyagé en Ecosse
-Le rite français est anglais ou écossais
-le REAA est français : ), les américains ont copié = RFAA
-ANDERSON était écossais
– DESAGULIER était d’origine française
– Les Templiers s’était en Ecosse………
Avec tout et son contraire on fait du Gloubi boulga
Les paris sont ouverts ….à suivre
« La franc maçonnerie fut cuite en Ecosse et nappée en Angleterre » ? Et les ingrédients où furent-il concocté ? Le mystère demeure. 😊 frat
Un arbitrage semble nécessaire ! Possible ?
http://www.fidelite-prudence.ch/origine-de-la-fm
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http://www.fidelite-prudence.ch/origine-de-la-fm/481-07-les-statuts-schaw-1598-1599
-5- Stirling !
Belle bourgade avec son vieux quartier, et dominant le tout l’imposant château où fut couronné jacques VI, encore enfant, dans la vaste église paroissiale.
Vue superbe de la campagne environnante du haut des remparts où il fait très, très, venteux !
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Cette Evocation ne vise à rien d’autre que de tenter d’incarner une théorie qui voudrait que des réunions spéculatives maçonniques aient fait leur apparition en Ecosse vers 1600 à la cour du roi JacquesVI/I, qui fut à la fois roi d’Ecosse et d’Angleterre, dans le cadre des Cérémonies dites des « Masques », et qui se seraient déroulées dans un entre-soi de maçons hors métier, à l’issue de ces cérémonies festives publiques qui étaient, en somme, la comédie musicale de l’époque.
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Cette période, les « Lumières Ecossaises », est intéressante à plus d’un titre par une série de conjonctions :
– Période de la Renaissance qui implique un renouveau qu’on retrouve centralisé à la cour de Jacques VI/I, un Roi érudit, humaniste et pacificateur.
Renouveau scientifique avec William Gilbert (savant d’exception qui ouvrit le champ de l’expérimentation scientifique, précédant ainsi Newton).
Renouveau philosophique avec Francis Bacon, (figure marquante, organisateur des festivités de la Cour qui libéra la science de ses carcans pour en faire une Institution propre mise au service de l’humanité, sans lien avec le religieux).
Renouveau culturel avec les Cérémonies des « Masques » (Ben Jonson au livret, l’égal de Shakespeare, Inigo Jones, le célèbre architecte, aux décors).
Renouveau architectural avec Henry Wotton (et ses « Eléments d’architecture », une traduction libre de Vitruve, où l’on passe de l’architecture de Métier à une architecture toute théorique ce qui peut ouvrir à un champ maçonnique hors métier),
Le tout dans une période de paix.
– Restructuration des Guildes par William Schaw avec l’apparition distincte des « Lodges » ce qui permet une nouvelle approche du Métier (devenu très disparate à cette époque).
– Schaw fait référence dans ses Statuts au Ms Grand Lodge N° 1 (vers 1586) qui est un « Ancien Devoir » qui succède à la fin des chantiers religieux (1530) et introduit, à la place de Pythagore, Hermes et ainsi l’hermétisme de la Renaissance, qui, on le sait est une forme de spéculation, avec une référence à « L’Art de la Mémoire » dans ces mêmes Statuts Schaw.
– Cadre propice à la venue de ce qui sera appelé plus tard la « confrérie des Francs-maçons Acceptés ». Ces Gentlemen Masons, pour la plupart cultivés, s’invitèrent auprès des maçons opératifs écossais afin « d’agrandir et satisfaire leur curiosité ».
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Tout concours à penser que ce tournant du 17e siècle écossais (avec notamment la tentative d’unification par Jacques VI/I de l’Angleterre et de l’Ecosse, « l’Union Jack ») introduit un nouveau mode de pensée dans un contexte maçonnique renouvelé avec un Jacques VI/I désigné comme étant un « Roi maçon ».
Sauf qu’il faudra arrêter de nier l’existence d’une maçonnerie antérieure à celle de la GLUA, les Anglais ayant tout fait pour éradiquer la maçonnerie écossaise, peut-être moins structurée, mais antérieure.
@ 2 – ma chère Brumaire, peux-tu, s’il te plaît, nous citer tes sources ? bien fraternellement.
Je me permets de répondre.
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S’il est vrai que la maçonnerie anglaise des premiers AQC, et ce jusqu’au 20e siècle avec Harry Carr, a été radicalement anglophile, ces temps-là sont révolus et les historiens actuels, qu’ils soient anglais comme français font la part de l’histoire et des histoires, David Stevenson étant une sorte de déclencheur en la circonstance.
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En son temps, l’historien Harry Carr poussa le rejet de la maçonnerie Ecossaise jusqu’à prétendre : « C’est pure coïncidence que les plus anciens documents rituels – les textes d’Edimbourg – soient tous d’origine écossaise ».
C’est ce qu’on appela le « courant andersonien »
John Hamill, Vénérable Maître de la célèbre Loge de Recherche anglaise Ars Quatuor Coronati 2076, lors de la célébration du centenaire de la Loge en 1986, remis les pendules à l’heure en proclamant : « Les fondateurs de la Loge de Recherche Ars Quatuor Coronati
parleront « d’école authentique ou scientifique » de recherche maçonnique, ce qui amène à se
demander, un siècle plus tard, s’ils vécurent à hauteur de leur ambition. En particulier dans
leur travail sur les origines de la Franc-maçonnerie, il convient plus de parler d’écoles
ésotérique, mystique, symbolique et romantique ».
Ce qui n’empêcha pas Michel Brodsky, ex-Passé Maître de la Loge de Recherche de la « Grande Loge Régulière de Belgique », « Ars Macionica », de déclarer en 1998 : « La Franc-maçonnerie anglaise est la source et la référence de base de toutes les Loges maçonniques du monde. Les modifications et les réécritures des textes anglais ont contribué à l’introduction d’altérations essentielles ».
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Robert Freke Gould, un des fondateurs des AQC, prétendait : « Soyons-en persuadés, la Grande Loge des Anciens de 1760, a été créée par des maçons anglais « schismatiques », séparés de la Grande Loge d’Angleterre ».
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Pour l’heure, c’est le courant néo-pérennialiste qui revendique haut et fort cette source unique anglaise, « Tradition Primordiale » oblige…
La Grande Loge d’Ecosse fut fondée en 1736. Au siècle précédent il exista bien quelques loges de maçons de métier, documentées en Ecosse, voir les travaux de David Stevenson, mais en dehors de ces faits historiques, tout est imagination…
Les Statuts Schaw de 1598 et 1599 ne donnent pas naissance aux Loges Ecossaises.
Il leur apporte une visibilité.
Comme le souligne David Stevenson dans son article « Four Hundred Years of Freemasonry in Scotland » (octobre 2011, pp 280-295) : « les loges sortent alors soudain de l’obscurité ».
Il y précisera une chose importante, à savoir que des Loges étaient autonomes et échappaient donc à toute autorité : (p 282) « These Lodges were autonomous bodies ».
Les Statuts Schaw visaient à unifier les « masons » affranchis des villes et des bourgs, organisés alors en corporation, avec les « masons » de Loges autonomes.
Il y avait dans le chef de Jacques VI une volonté d’unification afin qu’il n’y ait plus qu’un seul corps constitué regroupant le Métier et Ecosse, et non deux.
Dans certaines villes cohabitaient des « Incorporations » et de Loges, cad des maçons sédentaires dépendant des villes, et des maçons nomades, deux organisations du Métier qui apparemment n’avaient pas de contact, tout en se réunissant dans le même lieu (D. Stevenson in « The Origins of Freemasonry : Scotland », p 52).
Jacques VI fut le premier monarque écossais à contrôler directement le Métier, ce rôle étant par le passé, dévolu aux autorités civiles ou au parlement (voir D. Murray Lyon « History of the Lodge of Edinburgh (Mary’s Chapel N° 1) », pp 4-5)
Les Statuts de 1598 s’adressent d’ailleurs à tous les maîtres maçons du Royaume (préambule).
L’Article 3 des Statuts de 1599 mentionne l’ordre de préséance des Loges : Edimbourg, Kilwinning et Stirling.
D’autres Loges n’apparaissent pas comme étant de génération spontanée, malgré une première datation issue des Statuts Schaw, comme « Aitchinson’s Haven Lodge » dont les minutes de la loge commencent au 9 janvier 1598, « St Andrew Lodge », premières minutes le 27 novembre 1599, « Haddington » et « Dunfermline » qui sont partie prenante de la « First Saint-Clair Charter » (1600/1).
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Il ne s’agit pas de dévaloriser inconsidérément ces Loges opératives, comme il ne s’agit pas de les valoriser inconsidérément.
La difficulté réside sans doute là.
Il n’empêche on ne peut pas passer sous silence le discours symbolique sur les outils qui se pratiquait dans les Loges opératives ainsi que le désigne le « Maçon Accepté » Randle Holme III dans son ouvrage Academy of Armory publié en 1688.
Difficile de passer sous silence les recueils d’emblèmes de la Renaissance qui propulseront le sens allégorique attribué aux outils déjà très présent dans le passé puisque la spéculation des maçons de métier sur leurs outils est attestée par la maçonnerie allemande de la fin du 15e siècle.
Et ni David Stevenson, ni l’historienne Frances Yates ne passent pas sous silence la pratique de « L’Art de la Mémoire » chez les opératifs qu’ils relient à l’hermétisme, même si William Schaw n’en donne pas la définition.
« Art de la Mémoire » déjà exercé au 13e siècle dans le Métier, ce que nous montrent les « Cahiers de Villard de Honnecourt ».
On peut faire état des travaux de JM Mathonière qui nous parle de la « vision fantasmée de l’opératif » du XVIIe siècle.
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On est bien entendu autorisé à rejeter ces éléments, comme impropre, comme on est autorisé à dégager des hypothèses de travail qui n’ont rien à voire avec une quelconque imagination.
@1 Cécile REVAUGER,
Possible de connaître qq faits historiques et qq éléments de ce qui est imagination ?
Merci par avance