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Géplu.
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Excellent thème pour alimenter la quadrisectomie d’Anwen semble-t-il….
Religion et orientation sexuelle … où une certaine conception de la franc-maçonnerie la fait résolument avec le café du commerce d’antan ….
Catholicisme et homosexualité : ne soyons pas partiaux !
Toutes les religions de l’antiquité ont adoré la Femme. Le Catholicisme l’avait d’abord supprimée pour lui substituer un homme. Mais, comme l’homme n’adore pas un autre homme, il en est résulté que le Catholicisme n’a été qu’une religion pour les femmes faibles, qui ont adoré le Principe mâle dans Jésus.
Quant aux hommes qui ont voulu retrouver une satisfaction à donner à leurs aspirations religieuses, ils ont introduit dans leur religion le culte de la Vierge Marie, pour perpétuer l’antique culte de la Femme.
Le culte de Marie se répandit plus vite que celui de Jésus, parce que Marie représentait une Déesse antique et avait un passé glorieux, tandis que la légende de Jésus, avec toutes ses invraisemblances, ne pouvait être écoutée que comme une histoire sans valeur.
Puis, dans la Gaule, déjà, on attendait la Vierge qui devait enfanter (Virgini Parituræ) ; on était donc préparé à la recevoir, mais on n’attendait pas un homme, d’autant plus qu’on voyait déjà, dans ce culte renversé des Catholiques, qui adoraient l’homme et n’adoraient pas la Femme, la cause des mauvaises mœurs qui régnaient partout et allaient prospérer.
C’est ce renversement des facultés psychiques des sexes qu’on appelait le Satanisme.
Donnant à l’homme la Divinité de la Femme, il y avait une apparence de logique à lui donner aussi le culte rendu à la Déesse, mais cette substitution fut grotesque et fit naître, pendant tout le Moyen Age, la querelle résumée dans l’histoire du Satanisme.
L’Église, qui n’a jamais été qu’une société politique, n’a pas su appliquer aux besoins moraux de l’humanité les vérités profondes des lois de la Nature. Ses prêtres sont impuissants à comprendre l’antique science et le secret des Mystères.