« Pour rester libre un média ne doit dépendre que de ses lecteurs »
Amis lecteurs, Frères, Sœurs, ou profanes,
La gestion professionnelle et indépendante d’Hiram.be, Le Blog Maçonnique a un coût, qui croît régulièrement. Aussi, afin d’assurer la pérennité du blog et de maintenir sa qualité, je me vois contraint de rendre son accès payant. Rassurez-vous, la somme demandée est très minime : 20 € par an !
De plus, afin de ne pas « racketter » les nombreux visiteurs occasionnels et de permettre aux nouveaux lecteurs de découvrir un peu le blog avant de s’y abonner, la consultation de trois articles est offerte aux non abonnés. Mais dans tous les cas, afin de pouvoir gérer ces gratuits et l’accès permanent, la création d'un compte est préalablement nécessaire.*
Alors, si vous aimez Hiram.be et êtes satisfaits du service d’informations maçonniques qu'il vous rend chaque jour, soutenez-le, créez votre compte et réglez dès aujourd’hui vos 20 € pour votre accès permanent et illimité d'un an au blog.
D’avance je vous en remercie.
Géplu.
* Je certifie qu’Hiram.be ne fera aucun commerce et ne transmettra à personne les données recueillies, collectées à la seule fin de la gestion de ses abonnements. Géplu.
Sous la conduite de l’Ange de lumière (la Femme), les descendants de Hiram (Myriam-Hathor dont on a fait Moïse) monteront à l’assaut de la Jérusalem céleste pour réduire à l’impuissance Adonaï (Dieu masculin représenté par le Prêtre), principe du mal.
Car le nouveau Dieu-homme qui prêchait, allait tuer la raison et vaincre toute Vérité.
En Egypte, c’est Hermès, nom générique de la classe sacerdotale ; c’est lui que les femmes représentent comme le grand crocodile du Nil qui veut les dévorer.
Chez les Hébreux, le monstre marin qui engloutit la femme, c’est le grand Léviathan, la caste lévitique.
Partout c’est le Prêtre.
La femme, avalée par le monstre, c’est-à-dire supprimée du monde, cachée symboliquement ou réellement dans des cavernes, des cryptes, représente sa défaite dans les Mystères. Le thème habituel est celui-ci : La Déesse a été tuée, elle est descendue aux enfers, ou au tombeau, (ou dans le ventre de la baleine telle la ridicule légende de Jonas), mais après un temps (on dira 3 jours), elle ressuscitera, elle reviendra à la vie sociale, elle reprendra sa place dans le monde et son règne.
C’est le fond de toutes les légendes religieuses. Un Dieu meurt, descend au tombeau, ressuscite le troisième jour.
Mais à la Femme, qui protège l’espèce humaine, appartient le triomphe final.
On attend le fils ou la fille d’Hiram (Myriam), c’est-à-dire la personne qui reprendra et continuera son œuvre.
Rappelons que « Hiram » doit se lire de droite à gauche comme lisent les Hébreux et non de gauche à droite suivant L’usage des Européens : Hiram alors devient Maria ou plutôt Myriam. Le heth (H) final en hébreu se prononce A.
Myriam, c’est la grande femme dont le nom brille dans l’histoire du peuple d’Israël, comme une resplendissante lumière qui éclaire plus de dix siècles ; c’est elle qui est l’auteur d’un livre de science, le Sépher, qui servira à faire le premier Livre de la Bible, la Genèse, qui en sera la caricature.
L’Egypte a gardé le souvenir de Myriam et l’a glorifiée sous le nom de Hathor (Ha-thorah, la Loi, en hébreu).
On consacra à cette Déesse un temple magnifique à Dendérah, sur la rive gauche du Nil, au sud de Thèbes.