Pierre Mollier Hauts Frades RF

Les hauts grades du Rite Français : Histoire et textes fondateurs

Publié par Géplu
Dans Edition

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dimanche 27 août 2017
  • 8
    huré
    1 septembre 2017 à 16h09 / Répondre

    Très bon livre. Bravo

    • 9
      Pierre Mollier
      1 septembre 2017 à 18h38 / Répondre

      Merci 🙂

  • 7
    PIERRE MOLLIER
    30 août 2017 à 14h45 / Répondre

    Le Ve Ordre a été créé pour proposer aux FF:. des grades au-delà du R+. Comme finalement c’était assez compliqué les FF:. du Ve Ordre ont finalement adopté la séquence 19-30 puis 31-33 du REAA. Ce passage se fait entre 1815 et 1823 ou le Souverain Chapitre Métropolitain est officiellement transformé en Conseil de Kadosh.

  • 6
    Chicon
    30 août 2017 à 10h14 / Répondre

    La création du V éme ordre oú sa tentative correspond à quel besoin ?

  • 5
    pierre noel
    29 août 2017 à 8h44 / Répondre

    Commentaire bien utile de P.Mollier, auquel il faut ajouter que viendra s’ ajouter à la liste le Consistoire (ou conseil) du 32° degré « Les Amis Philanthropes » à Bruxelles en 1813.
    Celui-là ne se ralliera pas au Grand Consistoire des rites du GODF (que rejoindront tous les GIG du SDCDF à quelques exceptions près) mais sera constitué en « Suprême Conseil pour les Pays-Bas » en mars 1817 (par le général JP Rouyer, ancien Grand Administrateur du Rit Ecossais Philosophique et membre du SCDF avant sa mise en sommeil)

  • 4
    PIERRE MOLLIER
    29 août 2017 à 6h48 / Répondre

    Pour ceux qui sont sur Paris – et que cela intéresse ! – présentation et signature du livre jeudi 31 aout, de 17h à 19h, chez nos amis de Detrad rue Cadet.

  • 3
    PIERRE MOLLIER
    29 août 2017 à 6h46 / Répondre

    Merci Pierre pour cette présentation synthétique tout à fait exacte. A partir de 1810 cependant, le Suprême Conseil a lui aussi quelques ateliers en Province. Il a agrégé ou constitué sous sa Juridiction directe : une Cour du 27e à Carcassonne (au nom éponyme des Commandeurs du Temple) ; trois Tribunaux du « 31e » : à Lille (La Fidélité), Toulouse (Le Faisceau) et Valenciennes (La Parfaite Union), celui érigé à Neufchâteau en 1812 a finalement été déclaré irrégulier ; cinq Conseils du « 32e »: à Toulouse (Le Faisceau), Valenciennes (La Parfaite Union), Limoges (Les Amis Réunis), Orléans (L’Union Parfaite) et au Havre (Les 3 H).
    Pour mettre un peu d’ambiance… Tous ces ateliers rallieront le Grand Consistoire des Rites en 1815 et resteront par la suite fidèles au Grand Collège des Rites !

  • 2
    Chicon
    28 août 2017 à 18h41 / Répondre

    Le Nihil Obstat de Pierre Mollier et Pierre Noel, ce livre s’appuie donc sur des vérités historiques certaines. Il peut siéger dans une bibliotheque

  • 1
    pierre noel
    27 août 2017 à 18h04 / Répondre

    Superbe travail, qui vient heureusement compléter L’Ecossais 18-19 de 2015. On cessera peut-être (enfin) de ne voir ces années-là qu’un conflit entre deux « puissances maçonniques » équivalentes alors qu’il ne s’agit en réalité que de l’actualisation de la fable de la grenouille qui se voulait un bœuf.
    Si je ne me trompe, Il y avait en France, en 1811 (pour fixer une date)
    – Le Grand Orient de France et son Grand Chapitre Général, gérant les grades du «régime selon le GODF» jusqu’au grade de Rose-Croix inclus, avec des chapitres dans toute la France (de l’époque !)
    – Cinq organismes de hauts-grades (supérieurs ou plutôt postérieurs au R+) dont les membres appartenaient tous au GODF.
    1. Un Suprême Conseil du V° Ordre (rite français)
    2. Un Suprême Conseil des GIG pour la France (27 membres)
    3. La Mère-Loge écossaise de France et son Chapitre métropolitain (rit Ecossais Philosophique)
    4. Une Grande Loge d’Hérédom de Kilwinning.
    5. Un Suprême Conseil pour les îles françaises d’Amérique (en exil) (réveillé par Delahoque mais n’existant que sur le papier)
    Tous ces (micro-) organismes se trouvaient à Paris, sauf le Chapitre métropolitain de la Mère-Loge qui avait des chapitres et des tribunaux de hauts-grades de son rite hors de la capitale (Il y en avait au moins deux en Belgique) et la Grande Loge d’H de K (même remarque)

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