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Géplu.
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On peut parler de tout, à condition de faire oeuvre d’histoire.
Un exemple, parmi d’autres: Grasse Tilly: qui va se risquer à écrire sa biographie?
On a dit ce qu’il fallait dire sur le tonton, pourquoi pas sur Mollet?
« Les engagements divers et variés » ne se valent pas au regard de l’éthique maçonnique
ce me semble.
Certes il y eut depuis toujours des maçons des deux côté lors des grandes fractures historiques.
Une chose est de ne pas accabler ceux qui furent des agents actifs du colonialisme, une autre est de les célébrer.
Ou alors rien ne veut plus rien dire.
Qui parle de célébration des agents actifs du colonialisme ?
A ce compte là, on ne peut plus parler de rien!
Il est toujours assez aisé de juger a posteriori mais qu’aurions-nous fait ou pu faire à l’époque ou le Frère Guy Mollet était en charge des responsabilités ?
Certes je pleure mes camarades appelés et décédés pendant la guerre d’Algérie à laquelle j’ai eu la chance d’échapper et j’enrage en considérant 43 ans après Evian les tristes conséquences tant pour les Algériens que pour les Français.
…et je pleure encore à chaque fois que je relis « Mon Pays la France » du Bachaga BOUALEM…
Evidemment ! Les relectures a posterori de l’histoire sont toujours piégeuses. Il est toujours difficile de cerner ce qui fait l’unité d’un homme, d’un parcours, etc. Les trajectoires sont souvent sinueuses, pleines de contradictions, de déchirements, de passions, etc., mais aussi de convictions, d’engagements divers et variés.
Tant mieux si les maçons d’Arras ont souhaité braquer à nouveau les projecteur sur cet ancien président du Conseil, maçon fidèle, aujourd’hui oublié du plus grand nombre.
Il est dommage que je sois géographiquement éloigné car je m’y serais bien rendu pour tout simplement écouter, apprendre et faire ensuite mon propre jugement.
Frère peut être…Mais bien triste sire surement…Les guerres coloniales il en connaissait un rayon sans éclairage devant le guidon. Le non respect des Droits de l’homme également avec au final des milliers de morts pour rien, et nous en payons toujours le prix aujourd’hui. Pour le reste sans commentaire ce F:. ne laissera pas un grand souvenir, ni un souvenir flatteur dans notre histoire.
Que de fraternité dans ce commentaire qui n’engage que son rédacteur.
La Fraternité est une chose, mais regarder la réalité en face en est une autre. Envoyer des opposants ou des rebelles à la guillotine n’avait rien de très fraternel non plus. On ne peut pas célébrer Camus et Mollet en même temps, et c’est ainsi que chacun choisit son camp, et les valeurs qui s’y impriment également.