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Géplu.
Les gouts, les couleurs… ce qui est amusant c’est que le Piano en question ait signé un batiment en Ouganda…. je serais ravi de connaitre le montant des honoraires…. de mon temps en Afrique on appelait ces trucs là des éléphants blancs…
Futur siège intergalactique de la C.M.F ?
Poisson d’avril ??
@souva – c’est un poisson d’avril évadé précocément de son bocal….
voilà une info qui me rajeunit de 47 ans alors que jeune apprenti dans une loge du G.O., je fus sollicité pour la souscription de tickets détachables représentant une brique posée sur deux briques…pour contribuer à la construction du magnifique Temple de la Rue Cadet…
Le S.G:.M:. de l’époque en connut – en conçut – quelques difficultés…
Il est vrai qu’en voyageant on peut admirer à l’étranger des Temples qui nouys laissent béats d’admiration et d’envie.
Dommage que la rue Cadet n’offre pas le même dégagement que la place du Colonel Fabien..! ! !
@sevin pierre – la façade de l’immeuble rue cadet, en forme de grandes orgues silencieuses, m’a toujours laissé perplexe. Quel est l’intention de l’architecte qui l’a dessinée ? Le temple du DH avec sa tribune signifie la prise de parole. Le temple GLNF comme un immeuble de bureaux signifie le business. Le temple du GODF laisse lui perplexe, fermé sur la ville et centré intérieurement sur lui-même avec des grandes orgues élancées mais muettes ? L’architecture trahit toujours ses intentions ?
Tout à fait vérifiable, 8 rue Puteaux !
Les architectes de la façade sur la rue Cadet et des temples qui se trouvent juste derrière s’appelaient Henry et Louis Marty. Commencés en 1964, les travaux ont été achevés en septembre 1966 et les locaux inaugurés en 1970. Henry, le père, est surtout connu pour avoir réalisé quelques barrages remarquables (Bord les Orgues et Roselend, notamment). Avec son fils Louis, il est également l’auteur de l’ensemble du Cap Janet à Marseille et du VVF de Saint-Jean de Monts, un des rares exemples d’architecture brutaliste en France.
La façade de la rue Cadet évoque, de mon point de vue, de nettes réminiscences de l’esthétique des barrages. La symbolique qu’on pourrait y trouver, peut être involontaire, et pourtant emblématique de la volonté d’écarter les profanes, tel que cela pouvait se penser à l’époque. Le rez-de-chaussée a été ouvert et vitré récemment, afin de donner une image plus accueillante depuis la voie publique : la politique de communication a bien changé depuis les années 1960 !
@francois gruson – l’analogie avec les barrages est bien vue compte tenu du passé professionnel de l’architecte. Un barrage qui s’oppose à la poussée d’aval des profanes ou à la poussée d’amont des énergies naturelles ? L’architecte n’est peut etre pas allé aussi loin dans sa réflexion.
Le temple « Mother Lodge » d’une obédience et ses annexes ont besoin de 1.000 à 2.000M2 . Ce qui fait démolitions comprises 3M€ € à 6M€. plus 20% de TVA. Quelle est l’obédience qui s’y colle ?
pourquoi le D H ?
Ce doit être un problème spécifique au Droit Humain… parce que les autres me obédiences semblent pourvues… ou ne pas avoir les moyens…
renzo piano ou Norman foster ou Frank o guerry, cela nous évitera l’architecte français spécialiste du n’importe quoi improvisė coqueluche des bobo.
Comme vous y allez sur les architectes français…On a quand même deux prix Pritzker cocorico !