GLNF. Pour la constitution d’un District de l’UGLE en France

Publié par Jiri Pragman
Dans Divers

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jeudi 21 juillet 2011
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  • 6
    Bu Peter
    27 juillet 2011 à 21h42 / Répondre

    Les fondateurs de la franc-maçonnerie moderne, dont plusieurs appartenaient à l’Académie royale des sciences de Londres, faisaient partie des esprits les plus éclairés de leurs temps. Ils ont compris que le monde entrait dans une nouvelle période d’évolution de l’humanité à l’échelle planétaire. Pour faciliter ce passage, ils ont élaboré des outils initiatiques permettant d’aborder avec respect toutes les civilisations passées et présentes. Il s’agissait
    – d’accepter la diversité des hommes et des cultures,
    – de s’en inspirer,
    – de développer l’homme et l’humanité dans l’esprit d’une fraternité universelle.
    Certes, la franc-maçonnerie se vit en loge, mais ne se limite pas à la loge. Sinon, nos ancêtres londoniens auraient créé un club, institution typiquement britannique, au lieu de poser les bases d’une confédération des loges.
    Cette évolution n’est pas terminée. La franc-maçonnerie est toujours d »actualité.
    En sommes-nous suffisamment conscients?
    Sommes-nous dignes de cet héritage?
    Les FF.:MM.: peuvent-ils perpétuer leurs divisons à l’époque de la « globalisation », alors que même les églises ont cessé de s’excommunier mutuellement?
    La GLNF n’étant plus « reconnue » par les Obédiences « régulières », n’est-ce pas le moment pour discuter librement sur
    – le sens de la franc-maçonnerie dans le monde d’aujourd’hui,
    – l’incohérence entre l’idéal de fraternité universelle et le refus de communiquer avec les autres courants de la franc-maçonnerie que le sien?
    Merci de participer à ce débat sur http://www.call-of-bratislava.com (le site est en cinq langues)
    Reçois, T.:C.:F.:, mes salutations fraternelles.
    Peter Bu

  • 5
    Bu Peter
    27 juillet 2011 à 9h15 / Répondre

    Les fondateurs de la franc-maçonnerie moderne, dont plusieurs appartenaient à l’Académie royale des sciences de Londres, faisaient partie des esprits les plus éclairés de leurs temps. Ils ont compris que le monde entrait dans une nouvelle période d’évolution de l’humanité à l’échelle planétaire. Pour faciliter ce passage, ils ont élaboré des outils initiatiques permettant d’aborder avec respect toutes les civilisations passées et présentes. Il s’agissait
    – d’accepter la diversité des hommes et des cultures,
    – de s’en inspirer,
    – de développer l’homme et l’humanité dans l’esprit d’une fraternité universelle.
    Certes, la franc-maçonnerie se vit en loge, mais ne se limite pas à la loge. Sinon, nos ancêtres londoniens auraient créé un club, institution typiquement britannique, au lieu de poser les bases d’une confédération des loges.
    Cette évolution n’est pas terminée. La franc-maçonnerie est toujours d »actualité.
    En sommes-nous suffisamment conscients?
    Sommes-nous dignes de cet héritage?
    Les FF.:MM.: peuvent-ils perpétuer leurs divisons à l’époque de la « globalisation », alors que même les églises ont cessé de s’excommunier mutuellement?
    La GLNF n’étant plus « reconnue » par les Obédiences « régulières », n’est-ce pas le moment pour discuter librement sur
    – le sens de la franc-maçonnerie dans le monde d’aujourd’hui,
    – l’incohérence entre l’idéal de fraternité universelle et le refus de communiquer avec les autres courants de la franc-maçonnerie que le sien?
    Merci de participer à ce débat sur http://www.call-of-bratislava.com (le site est en cinq langues)
    (…).
    Peter Bu

  • 4
    EMEREK
    23 juillet 2011 à 7h08 / Répondre

    Et que dit la Juridiction Sud-Américaine du REAA…car enfin c’est elle qui a le dernier mot sur ce rite …???

    On connait l’amour de la GLUA pour le REAA,car en dehors du style Emulation et ses déclinaisons…nothing

    Déjà le RER a été une véritable découverte archéologique pour eux lors de la création de la GLNF….!!!

    Les Américains …quand on les rencontre maçonniquement ,confessent qu’ils ne comprennent pas grand-chose à ce « french bordel »….et finissent par dire,aux « irréguliers » que eux aussi ils ont toujours eu beaucoup de soucis, dans leur histoire… , avec les anglais….. à suivre

  • 3
    Menas
    21 juillet 2011 à 22h04 / Répondre

    Nous vivons une époque formidable que les moins de 80 ans n’ont pas connue……..

    Ces évènements ressemblent furieusement à ceux du 2 octobre 1958, les affaires financières en moins, lorsque la Grande Loge Nationale Française – Opéra publia son manifeste :

     » … le retour à l’universalisme, la fin des querelles stériles, la prééminence de la Loge, tels sont (nous le savons d’expérience certaine) les voeux d’un très grand nombre de Frères sincères et déc=voués qui se désolent de l’impasse où tant de bonnes volontés se perdent actuellement…
    « … il s’agit de rompre avec la tentation des querelles byzantines, et de contribuer à la rénovation de la véritable fraternité maçonnique, afin qu’elle redevienne une réalité constructive… »

    Voila deux extraits du manifeste de 1958, lorsque de la GLNF-Bineau se sépara la GLNF-Opéra, la GLTSO d’aujourd’hui.

    Lorsque l’on dit que l’histoire est cyclique !

    Comment des Frères élevés dans une Franc-Maçonnerie tronquée, qui a vu l’abandon de la Loge au profit du Grand Maître, Dieu incarné sur terre, l’imposition des Vénérables Maîtres par la hiérarchie, comment ces Frères pourront rebondir ? Ils ne connaissent de la Maçonnerie uniquement la GLNF, et on ne peut pas dire qu’elle soit un exemple à ce niveau là.

    Hélas il y a une majorité de Frères sincères, engagés maçonniquement, profondément honnêtes et spiritualiste à qui l’on a fait croire que seule la régularité constituait un rempart contre les irréguliers et leur maçonnerie décadente et sans spiritualité.

    Maintenant que le régularité et la reconnaissance sont tombées que va-t-il leur rester ? Il faudra beaucoup plus que cette initiative de sortir les Loges de la GLNF. Le défi actuel de tous ces Frères est de mettre totalement à plat la structure et les cadres de la GLNF et de revenir à moins de tabliers bleus et à plus de spiritualité, plus d’éthique, plus de Maçonnerie. Ils souhaitent rester entre eux, c’est leur affaire. Ils doivent revoir, repenser complètement leur fonctionnement qui est d’ailleurs très franco-GLNF, ils se sont éloignés tout à la fois des pratiques anglo-saxonnes et françaises. La GLNF doit revenir à des pratiques maçonniques normales, oserais-je le dire « régulières ».

    Que voit-on aujourd’hui se disputer le cadavre : les pros-Grand-Maître, qui veulent garder leur place, les Myosotis, qui lavent plus blanc que blanc et qui ne veulent que prendre la place des pros-Grand-Maître, des out siders qui veulent eux aussi la place, des « attendons de voir pour voler au secours de la victoire », un groupe de Grands Maîtres Provinciaux qui se transforment en « Seigneurs de la Guerre chinois », ceux qui se demandent laquelle de ces factions va leur donner leur tablier bleu…. et c’est avec cela que vous voulez refonder la GLNF ! Bon courage.

    On remarque que toutes les obédiences qui, depuis une vingtaine d’années, sont issues de Frères démissionnaires de la GLNF, ont tout simplement refait, copié, singé, à l’identique, la GLNF ; tabliers bleus, provinces, Grands Maîtres Provinciaux….

    Ce qui reste d’authentique à la GLNF devrait avoir l’humilité et le courage de tout refondre et d’essayer de repartir en abandonnant les anciens schémas.

    Ainsi que Dieu vous soit en aide.

  • 2
    Fox7ans
    21 juillet 2011 à 21h55 / Répondre

    Au moins, c’est clair, ceux là préfèrent rester accrochés au rocher anglais et à la prétendue « régularité » que de s’ouvrir aux frères des autres obédiences françaises.

  • 1
    Patrick37
    21 juillet 2011 à 17h45 / Répondre

    Bonsoir, mes chers Frères,

    Moi aussi, Maître-Maçon Régulier (et reconnu par mes Frères de toutes Obédiences), je suis atterré par ce ballet délirant de suspensions:

    1: GLNF suspendant UGLE
    2: UGLE suspendant GLNF
    3 : Frères se suspendant leur propre Obédience

    De quoi donner le tournis et susciter la compassion.

    Cordialement,

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