GLNF. Le Président du Conseil des Sages ‘libéré’ de sa charge

Publié par Jiri Pragman

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mardi 23 août 2011
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  • 15
    Ronan
    24 août 2011 à 17h54 / Répondre

    Je ne sache pas que les « tabliers bleus » soient un signe distinctif d’une fonction élective.

    Ce sont bien, ou alors détrompe moi, des quolifichets régaliens décernés ad vitam par le chef pour services rendus. On n’est pas très loin de la prébende et en tout cas à mille lieux de la notion d’offices telle que la pratiquent les obédiences démocratiques (GO, GL, DH, GLFF) où l’on est élu à un poste par ses frères, en toute transparence, et pour une durée limitée et une fonction précise.

    Et le collier ou le tablier appartiennent alors à la fonction, à l’office, pas à l’officier…

    Si je me trompe, merci de nous éclairer sur le mode d’attribution et la signification des « grands bleus »…

  • 14
    Polybe
    24 août 2011 à 16h58 / Répondre

    @ Flupke

    Souvent mais pas toujours, nous sommes d’accord.
    Ne dramatisons pas, je te suis.
    Il est permis de considérer l’humour comme l’une des vertus cardinales de la franc-maçonnerie, j’y applaudis. Or l’autodérision est l’une des formes les plus fines de l’humour. Elle aide à se connaître soi-même.
    Mais on se la sert soi-même avec assez de verve, comme disait Cyrano, sans forcément apprécier que d’autres la servent, surtout lorsque l’humour semble absent du propos. L’autodérision est à usage personnel, comme son nom l’indique. Sur la simple dérision appliquée à nos usages, je n’ai plus envie de suivre.
    Je me rappelle un GOP qui assurait trente installations dans le courant de septembre : il en souriait, car c’était un brave frère, tout dévoué aux autres et à la mission qu’il avait acceptée. Mais, comme nous en parlions vers le 25 du mois, il n’avait plus guère le goût d’en rire. Je demeure persuadé que le salut par trois que nous lui accordions était bien mérité. C’est un peu en pensant à lui, en particulier, que j’ai exprimé ce point de vue.

  • 13
    Flupke
    24 août 2011 à 13h51 / Répondre

    « Ceux qui daubent sur les « arbres de Noël » et autres « colifichets dorés » sont souvent ceux qui ne consacrent à la franc-maçonnerie que des visites épisodiques à leur loge, une ou deux fois par trimestre. « 

    « sont souvent » mais pas toujours !!!
    Car on peut se moquer de ce que l’on a connu et en avoir constaté sur soi les pièges potentiel au niveau de l’égo, et au final rire de soi…………….
    et avoir quitter cette voie après s’être observé et avoir observé en miroir ces compagnons temporaires de route.

    On ne peut pas balayer d’un revers de main la propension humaine comportementale qui consiste à croire (on est ici dans la croyance) que plus on grimpe en numérotation plus on est supérieur.
    Je ne préciserais pas ce que dit la croyance populaire …. pour grimper il faut l’avoir vraiment très propre et .. ce n’est pas toujours le cas ! (çà peut l’être parfois certes)

    Mais c’est vrai que toute généralisation est idiote dans un sens ou un autre.
    Mais ne dramatisons pas car on peut avoir le tempérament naturellement gai portant à rire des « arbres de Noël », nous sommes nombreux dans cette disposition ……… la plupart de humoristes sont dans cette disposition ………….

  • 12
    Polybe
    24 août 2011 à 11h20 / Répondre

    @ Geomaillon

    Je relève, dans ton message plein de sagesse, une phrase qui me peine : « J’exhorte vraiment mes frères de la GLNF, même s’ils ne me reconnaissent pas comme tel… » Hormis quelques atrophiés du bulbe (il y en a partout), je te garantis bien que n’importe quel frère de la GLNF te reconnaîtra comme tel, à quelque obédience que tu appartiennes.
    Il ne faut pas se fier à des rigidités statutaires purement formelles. La preuve en est que lorsqu’un frère d’une autre obédience nous rejoint (et en ce moment, il y faut de l’abnégation), on ne le réinitie pas, ce qui serait ridicule.
    Si ton impression est partagée par d’autres, il est utile de les détromper. La lumière qui brille dans le cœur du maçon se reconnaît d’une obédience à l’autre.

    @ quelques autres…

    Ces éternels quolibets sur les tabliers bleus commencent à être lourdingues… Que veut-on ? Un système totalement égalitaire, sans officiers nationaux et provinciaux ? Sans conseils de l’ordre et autres souverains grands comités ? Alors, supprimons le principe de l’obédience et généralisons le tablier blanc. On relèverait, à la rigueur la bavette des apprentis, mais il n’y aurait plus ni signes distinctifs, ni bijoux de loges, ni même sautoirs, ces survivances du port aristocratique de l’épée. Le maître secret ne se distinguerait plus du 33ème. Pendant qu’on y est, supprimons la Légion d’honneur, les Palmes académiques et la Croix de guerre…

    Pour 95 % de ceux qui en portent, le tablier bleu est d’abord le signe de reconnaissance d’un engagement au service de la collectivité des frères. Je connais beaucoup de ces « dignitaires » qui n’ont que faire d’honneurs et de reconnaissance sociale, qui ont obtenu l’un et l’autre dans leur vie profane, comme Raymond Sasia, et qui consacrent beaucoup de temps et d’efforts à faire marcher la maison. Ceux qui daubent sur les « arbres de Noël » et autres « colifichets dorés » sont souvent ceux qui ne consacrent à la franc-maçonnerie que des visites épisodiques à leur loge, une ou deux fois par trimestre.

    Ce nihilisme confortable me paraît annonciateur de lendemains très sombres.

  • 11
    vladaboom
    24 août 2011 à 10h27 / Répondre

    Hé ho mail bombing ……?
    ce n’est pas ce que je propose !
    Qui d’entre nous ne c’est pas à un moment senti offensé par l’attitude de stifani ?
    ladite attitude est elle celle d’un FM?
    n’avons nous pas juré de défendre la FM?
    Pensez vous vraiment que si les Frères et Soeurs offensés disent leur sentiments en vrais Maçons stif s’en bats les cordons de son joli tablier ?,
    et même alors pourquoi ne pas s’adresser directement au fauteur de trouble?s la rédemption est possible….oui je sais même moi je n’y crois pas, mais sa fait plaisir, alors pourquoi pas !

    Le mail-bombing est une technique d’attaque visant à saturer une boîte aux lettres électronique par l’envoi en masse de messages quelconques par un programme automatisé. On utilise les termes de mail-bomber pour caractériser l’action de faire du mail-bombing (de saturer de messages/courriels) et de mail-bomb pour le courrier reçu sous cette forme et dans ce but.

    Cela se traduit concrètement par l’envoi d’une grande série de courriels à la même personne dans l’intention de bloquer sa boîte de messagerie (dont la capacité est généralement limitée chez le FAI / Hébergeur).

    Si l’attaque réussit, le serveur hébergeant la boîte aux lettres visée arrivera alors à court d’espace disque, ou, si l’espace de la boîte aux lettres est limité (ce qui est le plus souvent le cas pour les services de boîtes aux lettres aux particuliers), la boîte aux lettres deviendra pleine et son utilisateur légitime ne pourra plus recevoir de messages avant de l’avoir vidée. Dans le premier cas, la bombarderie peut provoquer un déni de service. La taille des messages n’a qu’une importance technique : plus ils sont petits, plus on peut en envoyer à la seconde pour (flooder) le serveur, littéralement le submerger ou le noyer sous un déluge de messages jusqu’à saturation.

    Le terme bombarderie a été proposé par l’Office de la langue française du Québec pour désigner cette notion (décembre 1996). C’est un mot-valise fabriqué à partir des mots BOMBARDer et messagERIE.

  • 10
    Severino
    24 août 2011 à 10h25 / Répondre

    Une expression tres a la mode en Afrique Centrale s’appliquerait a Stifani:  » Cet homme est née avant la honte »

  • 9
    EMEREK
    23 août 2011 à 21h24 / Répondre

    …..épuration des membres peu fiables ,création d’un grand conseil inféodé,élimination des Rites et Juridictions casse-pieds……???

    Pour enfin être Maître chez soi et peut-être renégocier???? (avec un rite « Anglais » traditionnel et exclusif) une reconnaissance outre- Manche….
    (Un effectif réduit est peut-être suffisant pour » faire tourner la machine » ?)

  • 8
    Flupke
    23 août 2011 à 16h32 / Répondre

    Mes Frères de la GLNF vous allez finir par tous par tomber du nid poussés par l’ÉNORME coucou …………….

  • 7
    Philippe
    23 août 2011 à 14h43 / Répondre

    Et puis, à quoi cela servirait?
    Depuis le temps, les mails n’ont plus aucun effet sur lui.
    Même un déballage médiatique sans précédant ne l’atteint pas.
    Même des courriels de Grands-Maîtres, de le touche pas.
    Même la honte et le ridicule ne le touchent pas.

    Alors des mails?!

    A ce stade de la maladie, j’opterai plus pour l’indifférence de tout le monde sauf des frères qui sont directement touchés par son attitude narcissique.
    Il ne mérite pas qu’on s’y attarde.

  • 6
    Jiri Pragman
    23 août 2011 à 14h33 / Répondre

    J’attire votre attention sur le fait que si chacun peut envoyer un mail personnel à une personne le fait de l’exposer à ce qui pourrait apparaître comme du mail bombing est punissable.

  • 5
    vladaboom
    23 août 2011 à 14h25 / Répondre

    Que diriez vous (…) de faire part de vos sentiment directement à stifani au sujet de son attitude ?
    Correspond elle à ce qu’on attend d’un FM ?
    Correspond elle aux serments qu’il a prêtés ?
    Que pensez vous de l’état de la Franc-Maçonnerie en France et dans le monde après son accession à la Grande Maîtrise de la GLNF ?

    (…) je pense qu’avec un strict respect des lois de notre République, et en nous comportant en Maçon, nous pouvons faire part à monsieur stifani de notre sentiment!

    fs@glnf.com

    faites vous plaisir !

  • 4
    Jiri Pragman
    23 août 2011 à 12h45 / Répondre

    i[faire publier par le journaliste François Koch une photo de lui prise sous l’Arc de Triomphe… la poitrine bardée de décorations : de nouveau, une affirmation non étayée. Au nom de quoi peut-on prétendre que cette photo a été communiquée par Sasia ? Un journaliste normalement qualifié est tout à fait capable de se procurer une photo pour illustrer en article !

    Personnellement, je regrette d’avoir dû arreter en son temps la pratique du tir (je préfère le revolver au pistolet, le calibre .38 au .357 pourtant si symbolique mais ceci est une autre histoire).

  • 3
    georges
    23 août 2011 à 12h23 / Répondre

    Faut-il remercier Raymond Sasia pour ce grand sourire qu’il m’a offert de bon matin ? S’offusquer des personnes qui cherchent les honneurs et faire publier par le journaliste François Koch une photo de lui prise sous l’Arc de Triomphe… la poitrine bardée de décorations… un premier sourire. Qualifier des frères de « porte flingues » lui le garde du corps, lui le spécialiste du tir instinctif, lui le président du stand de tir de l’Etoile, un second sourire plus long encore que le premier. merci Raymond pour ton humour. amitiés à toi et à tous, Georges.

  • 2
    vladaboom
    23 août 2011 à 11h29 / Répondre

    Hum……intéressante cette adresse dans le courrier réponse de Sasia à stif :
    fs@glnf.com
    Hum…….
    j’ose ?
    oseriez vous ?

    Osons !

    quelques « breves » en retour !

  • 1
    geomaillon
    23 août 2011 à 10h52 / Répondre

    Une leçon de toute cette affaire, c’est que la loyauté est une valeur qui doit être maniée avec précaution, et je le dis d’autant mieux que cette valeur figure dans la devise de ma loge. Tant d’actes graves ont été commis au nom de la loyauté, que cette valeur se doit d’être hiérarchisée méticuleusement avec toutes les autres, à commencer par les droits de l’homme, et surtout le libre arbitre. Et placer la maçonnerie au dessus de tout dans une espèce de bulle déconnectée des réalités humaines c’est s’exposer à des dérives.
    J’exhorte vraiment mes frères de la GLNF, même s’ils ne me reconnaissent pas comme tel, a prendre leur destin en main, car en agissant de la sorte ils seraient bien plus proches du message maçonnique originel qu’en restant paralysés par un respect et une loyauté envers des structures « traditionnelles » qui ont failli, car elles ont permis ce qui se passe aujourd’hui.
    Ce ne sont que des constructions humaines après tout. La tradition n’est pas l’immuable, cela doit être l’accumulation des bonnes idées, le temps ayant fait sombrer dans l’oubli les mauvaises. La tradition ce n’est pas dénier à une génération d’apporter des améliorations à l’oeuvre. Si les bâtisseurs de cathédrale n’avaient pas sans cesse oeuvré pour améliorer les techniques de construction, quitte à bousculer souvent radicalement les méthodes traditionnelles, on serait resté à l’art roman avec des charpentes en bois !
    Bref il est temps qu’on finisse ce mauvais feuilleton qui nous éclabousse tous et que la GLNF retrouve à la fois sa discrétion légendaire et tant qu’à faire un peu de démocratie directe en plus ce qui ne fera pas de mal…
    Bonne chance et bon courage mes frères

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