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Géplu.
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La GLDF a, ou a été tentée, par l’obtention de le reconnaissance « internationale ». Quelle a obtenu en 2002 grâce à la Grande Loge du Minnesota en cachant soigneusement, cela dit, son « irrégularité » (non respect de la croyance en un être surème, confermément au point n°2 des Basic Principles version 1989, amendés de la version 1929 : croyance au G.A.D.L.U et en sa volonté révélée…).
Mise à l’index par les Grandes Loges Régulières nord-américaines qui ne la reconnaissaient plus, grâce aux efforts vigoureux du Frère Nat Granstein (passé à l’Orient éternel), la Grande Loge du Minnesota fut contrainte d’annuler sa reconnaissance de la Grande Loge de France (GLDF) par l’édit du 13 juillet 2002 signé de la main de son Grand Maître Terry L. Tilton et de son Grand Secrétaire Douglas J. Campbell.
La GLDF a depuis, semble t-il, abandonné ses vélléités de reconnaissance sur la scène maçonnique internationale.
Aetalide
Ne publie pas ceci stp, mon TCF.
Cela fait un moment que nous ne sommes pas « vus », même si je viens quasi quotiennement sur ton site.
Tu es venu plancher il y a un bon moment – ça ne nous rajeunit pas n’est-ce pas 😉 – dans mon atelier à Liège (Tradition et Fidélité) « L’internet est-il maçonnique ? » si je me souviens bien.
Très chouette hiram.be ! Merci à toi.
Je t’embrasse très frat.
Marc
France, Belgique, même approche et même discrétion. La GLDF est assez en phase, mutatis mutandis, avec la GLB. Cela étant, historiquement, lors de sa création, nous Frères de la GLB avions cette reconnaissance de « régularité » de la part dela GLUA. Que nous avons « perdue » entre-temps, d’où la création de la GLRB. Et nous vivons très bien sans, comme le dit Zebrother.
J’ai toujours beaucoup de plaisir à travailler avec mes Frères de la GLDF, même si le rite qu’ils pratiquent est différent du nôtre (du moins en bleue), de même qu’avec ceux du SCDF avec qui le SupCoBel entretient depuis de nombreuses années des relations privilégiées. Et je le fais de façon régulière 😉
effectivement la reconnaissance de la GLUA n »est pas a l »ordre du jour a la GLDF , mais comme le dit le SGM pourquoi pas une reconnaissance réciproque de nos obédiences respectives d’égale a égale , avec ^pourquoi pas inter-visites ce qui ne serait pas pour déplaire aux FF des deux obédiences. j »ai dit.
effectivement la reconnaissance de la GLUA n’est pas a l’ordre du jour a la GLDF , mais comme le dit le SGM pourquoi pas une reconnaissance réciproque de nos obédiences respectives d’égale a égale , avec ^pourquoi pas inter-visites ce qui ne serait pas pour déplaire aux Frères des deux obédiences. (…)
La seule chose qui peut interesser les FF de la gl c’est de pouvoir visiter lors de voyages à l’étranger.Pour le reste JN Dubart a raison de dire que c’est étranger à leur façon de penser.Ce devrait être général!
Je suis dans ma 36e année de maçonnerie rue Puteaux et la reconnaissance de la GLDF n’a jamais été au coeur des préoccupations des frères « de base » dont je fais partie. Bien sûr lors des nombreux convents auxquels j’ai participé étalés sur une vingtaine d’années, cette reconnaissance était évoquée mais, me semble-t-il, plus pour des raisons d’égo de certains dignitaires. Pour ma part, je ne vois pas l’intérêt pour la GLDF de cette « reconnaissance ». Nous vivons très bien sans. En revanche, le spectacle que donne la GLNF ne donne vraiment pas envie d’être dans sa mouvance et laisse une impression déplorable de la maçonnerie.
Les choses ont visiblement évolué dans le bon sens à la GLDF, s’ils ne recherchent plus la reconnaissance de la GLUA.
C’est toujours avec beaucoup de dignité et de bon sens que le GM de la GLDF s’exprime.
J’en conclus donc qu’en faisant la fine bouche sur la reconnaissance éventuelle de son obédience par la GLUA, il veut juste faire preuve d’humour et dépassionner le débat. Lorsqu’on se remémore les efforts déployés par la GLDF, depuis des années, pour arracher à la GLNF la reconnaissance des loges anglo-saxonnes, on ne peut retenir son hilarité. Si je me souviens bien, une loge américaine avait fait cette pirouette, voilà quatre ou cinq ans, avant d’être rappelée à l’ordre par Londres et de rentrer dans le rang. Autant que je me le rappelle, on n’avait pas jugé cette reconnaissance éphémère comme une incongruité, rue Puteaux…
« Ils sont trop verts, et bons pour des goujats », essayait déjà de nous faire croire le renard de la fable, à propos de raisins trop haut perchés pour lui.