Genese REAA

Genèse du Rite Ecossais Ancien et Accepté

Publié par Martial Gabin
Dans Edition

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vendredi 24 février 2017
  • 5
    Chicon
    25 février 2017 à 19h18 / Répondre

    Certains rituels ont été modifiés au début du siecle précédent . En retirant tout ce qui faisait leur cohérence on a fait des rituels handicapés, incompréhensibles comme la messe en latin pour un zoulou. Que certains cherchent à redonner la cohérence et le sens de certains rituels , comme au REAA, ce ne peut qu’être utile. Mais attention certains rituels n’ont pas besoin d’être réparés.

  • 4
    Horus
    25 février 2017 à 12h05 / Répondre

    Ah qu’il est doux de taper sur la GLDF, sous n’importe quel prétexte. Ça fait du bien de dire du mal, de tenir des propos insidieux, de lâcher les rênes du cerveau reptilien.
    .
    Voilà qu’un Frère, de culture plutôt « française », disons « Modern » s’intéresse au rite d’à côté et délivre un travail historique intéressant, pour qu’aussitôt pleuvent les jugements de valeur sur le REAA et les Obédiences qui le pratiquent.
    .
    Au lieu de rester dans le registre historique et d’apporter une contribution éclairante, on préfère condamner, probablement sans même avoir lu l’ouvrage.
    .
    Heureusement qu’Hiram ressuscite chaque fois, car il y a sans cesse des mauvais compagnons qui se lèvent …

    • 6
      yasfaloth
      25 février 2017 à 20h45 / Répondre

      Bah, il faut voir qui tape aussi… quand c’est quelqu’un qui s’est fait virer de son obédience et de sa loge qu’elle n’avouait ne fréquenter qu’une ou deux fois par an, on est plus, du point de vue d’un maçon pratiquant, dans le comique de répétition que dans la critique !
      .
      Pou moi toute étude sur le REAA mérite d’être lu par ceux qui veulent comprendre le rite son histoire, et les points de vues qu’il suscite. Je le rajoute à ma liste dès que j’ai un moment, après les ouvrages de L. Trebuchet, A. Bernheim et quelques autres.

  • 3
    scotch
    25 février 2017 à 9h12 / Répondre

    La GLDF a toujours eu le postérieur entre deux chaises, mais elle s’en tire avec le talent des chaisières de son suprême conseil. Son rite, elle ne cesse de le bidouiller tout en recherchant désespérément une version néolithique. Remarquez qu’à la GLAMF et la GLNF ça ne vaut pas mieux, sauf qu’il n’y a qu’une chaise.
    J’espère qu’on appréciera cette analyse de haute portée symbolique.

  • 2
    luciole
    25 février 2017 à 0h40 / Répondre

    On peut soit faire comme les anglais et ne rien bouger,jamais.ou travailler,essayer d’aller plus loin que la « lettre »,
    chercher les sources comme l’a fait Philippe Michel,comparer,tacher de comprendre, faire vivre comme on doit le faire avec une partition musicale et surtout transmettre.

  • 1
    Emmanuel
    24 février 2017 à 17h58 / Répondre

    Bon alors si c’est Laurent J qui le dit….
    Martial Gabin a écrit : « Quant à celles et ceux qui, en loge, à leur niveau, veulent « réviser » le rituel de REAA qui est le leur, il leur permettra de réfléchir avant d’agir… » Faudra m’expliquer comment on fait dans les obédiences « sûres d’elles et dominatrices » comme la GLDF.

    • 7
      Martial Gabin
      26 février 2017 à 16h08 / Répondre

      Le Rite français a subi de nombreux « charcutages », entre autres sous l’influence « positiviste » « rationaliste » de l’aube du vingtième siècle jusqu’à être vidé de tout symbolisme. Le REAA de même, dans toutes obédiences. Certains Frères, au GODF, ont beaucoup de mal au 18ième degré du REAA. Le grand mérite de l’ouvrage de Philippe Michel est de se contenter de noter les « changements » dans les rituels. Libre à chacun d’envisager les raisons de ces changements. Quant à la phrase citée, elle met en garde les Frères ou Sœurs qui, au lieu d’essayer d’interpréter le texte, veulent « changer » le rituel pour le ramener à leur niveau de compréhension. Ce qui me semble contraire à la démarche maçonnique même.

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