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Géplu.
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En ce qui nous concerne, nous sommes bien armés d’épées…
– Néophyte… si vous trahissiez votre serment, vous ne trouveriez, parmi tous les Frères répandus sur la surface du globe, que des vengeurs de la Maçonnerie et de la vertu ! Le jurez-vous, mes Frères ?
– Nous le jurooons !
mettez des détecteurs métaux à l’entrée de nos temples ….vous risquez de drôles de surprises ….
Tiens les metaux! N’est-on pas censés les laisser dehors?
Les lunettes, c’est pour voir mieux ou pour viser mieux ?
Ouf, il ne s’agit que d’un pistolet !
C’est déjà beaucoup plus acceptable !
Finalement, qu’il est doux de ne pas être « reconnu comme tel » , par de tels … abrutis !
Il s’agit d’un pistolet pas d’un revolver.
Ce n’est pas ce qu’il y a de plus important cependant le revolver possède un chargeur cylindrique parallèle au canon de l’arme, qui possède un nombre variable de trous (de cinq à sept) pouvant accueillir des cartouches. Après un tir, le chargeur tourne afin de présenter une nouvelle munition dans l’axe du canon et du marteau de l’arme, tant qu’un tour complet n’a pas été effectué.
Le chargeur du pistolet est lui situé dans la crosse de l’arme. Il est de forme parallélépipédique et peut contenir un grand nombre de munitions (de sept à une trentaine) et se charge par le bas de la crosse. Lors du tir, l’étui est éjecté de l’arme et une nouvelle cartouche (ou munition) est mise en place dans la chambre de percussion.
http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2006/08/11/01006-20060811ARTMAG90383-les_armes_du_crime.php
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