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Géplu.
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Peut-être bien. Pour le perdre : certainement.
Encore une légende urbaine bien établie.
Elle est peut-être vraie à certains niveaux de la bourgeoisie maçonnique parisienne, ou dans certains réseaux du type affaire du Carlton, mais d’une manière générale, c’est bidon. Moi le premier, je n’aimerais pas recruter ou bosser avec un Frère, car il me serait plus difficile de bosser correctement, engueuler correctement, valoriser correctement un Frère qu’un collègue lambda. Et le boulot est assez difficile comme ça, sans qu’on se rajoute des complications…
Il existe dans plusieurs obédiences (dont la mienne) des structures pour les Frères en recherche d’emploi. Pour y être passé moi-même, je peux témoigner :
– ce n’est pas là ni grâce à ça que j’ai retrouvé du boulot, ni aucun des Frères qui y sont passés à ma connaissance,
– ça permet simplement de retrouver une structure, un groupe de soutien, des encouragements, et fournir de précieux conseils. Ce qui n’est pas rien (mais ne paie pas le steack).
Sur nos chantiers et dans nos Ateliers, il y a toujours du boulot pour les plus courageux , N’est-ce pas ?
Je trouve l’appellation « franc-mac » détestable. A noter tout de même que « nous » sommes placés après les dix solutions proposées, en ultime recours.