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Géplu.
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L’essai intitulé « Etienne Morin, un homme aux sources de l’Ecossisme » est en tous points remarquable, tant dans ses aspects symboliques qu’historiques.
J’insisterai tout particulièrement sur l’insistance sur le tétramorphe, vision d’Ezéchiel (les quatre vivants) comme des quatre évangélistes, qui est le thème central du grade du Royal Secret comme il l’est du « Royal Arch » (traduit par « Arc Royal » par les puristes). C’est en effet la clé du grade comme il l’est de la maçonnerie en général. L’article de Dominique Jardin, pp. 91-147, est exemplaire en ce sens et devrait être médité par tous. Il montre aussi la remarquable concordance entre tous ces grades de facture si diverse, qu’ils viennent de France ou d’ailleurs. Tout aussi remarquable est cette présentation des degrés successifs, non comme l’échelle hiérarchique chère aux dignitaires d’autrefois, mais comme une progression concentrique vers le « centre de l’idée » propre à chacun.
C’est pourquoi le volume commence par une étude d’Eric Saunier qui présente la société à Saint-Domingue autour de 1760: sa composition, ses tensions, les enjeux économiques et politiques…
C’est une excellente chose: je suis de plus en plus convaincu qu’il est illusoire de vouloir comprendre l’histoire maçonnique sans s’être intéressé de près à l’histoire générale.
Et il y a un autre travers à éviter: faire des Maçons du passé (voire du présent…) des parangons de vertu suivant nos critères actuels. A l’époque qui nous occupe, maçonnerie et esclavagisme faisaient excellent ménage.
Il n’est pas inintéressant de parcourir le n°245-248 de la Société haïtienne d’Histoire, de Géographie et de Géologie (janvier-décembre 2012) concernant « la révolution de Saint-Domingue et son contexte mondial à l’époque des révolutions (1789-1804) ».
On y apprend beaucoup de choses concernant la société coloniale et esclavagiste des « Indes Occidentales » de l’époque (qu’elles soient Françaises, Britanniques, Hollandaises ou Espagnoles). Qu’on le veuille ou non, Morin, Franken, Grasse-Tilly, Delahogue, Fondeviolles et les autres en furent spectateurs ou acteurs engagés (Grasse-Tilly notamment). La production du sucre, l’économie cafetière jouaient un rôle essentiel dans cette évolution, bien peu marquée par la franc-maçonnerie de l‘époque (seule intervint « la Société des Amis des Noirs », bien minoritaire et pas du tout « maçonnique »).
on peut l’acheter sur place ? j’y vais demain…
Réponse des bureaux de l’AMHG
« S’ils m’adressent un mail de commande, je peux transmettre un RIB.
Ils font un virement dont ils me transmettent le justif et Go… »
l’adresse mél est amhg@amhg.fr … et voilà
Un tout grand merci!
Tu remarqueras l’intérêt des belges pour cette publication… et d’autres de l’AMHG.
Michel, tu me coupe l’herbe sous le pied!… Nos amis français ont toujours beaucoup de mal avec les codes IBAN!
Bonjour!
J’espère que Pierre Mollier, que je salue au passage, lira mon commentaire.
Ayant la malchance d’être né outre-Quiévrain, je suis bêtement privé depuis plus de quinze ans de ce merveilleux moyen moderne de paiement qu’est le chèque, étant contraint de me rabattre sur un antédiluvien virement (sans frais) effectué de préférence sur mon smartphone.
Cet ouvrage (ainsi que les autres publications de l’AMHG) est-elle accessible aux habitants des contrées tant septentrionales qu’arriérées?
Excellente journée.
Michel.
Faisant partie de la même peuplade septentrionale que mon F. Michel H., habitant la même province et partageant avec lui un même intérêt pour vos publications, je vous pose la même question. Ne pourriez-vous pas rendre possibles d’autres moyens de paiement (plus largement répandus, me semble-t-il), comme les cartes de crédit, PayPal, etc. ?