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Géplu.
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En théorie, on ne peut qu’approuver l’auteur. Moi-eme, je souhaite terminer mon parcours dans la dignité et sans être un boulet pour ma famille.
Cependant, la question qui se pose est celle des dérives possibles. On commence par permettre, puis on incite… Tout serait très bien si l’on pouvait faire confiance à notre société.
Euthanasie: avez-vous une seule bonne raison non religieuse de la refuser ?
« Euthanasie » oui, l’aide médicale au suicide non.
Les religions sont contre, les militants de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité sont pour, les médecins qui disposent des produits anti-douleur de plus en plus efficaces, pensent parfois que la question ne se pose plus. Pourtant, ils ne se servent pas toujours de ces moyens, et, en réalité, toutes les douleurs ne peuvent pas être effacées.
La question n’est pas de savoir si les médecins doivent tuer, mais s’ils doivent aider leurs malades à éviter la mort violente que ce soit dans la douleur au fond de leur lit, ou par pendaison, noyage, arme à feu, accident de voiture provoqué consciemment, etc.
Cepandant, la douleur n’est pas le seul facteur à prendre en compte.
« Mourir dans la dignité » ne signifie pas s’acheminer vers la mort sans douleur, entouré du corps médical, mais isolé du reste du monde.
Pour pouvoir accepter sa fin inéluctable, l’homme a besoin de voir et de sentir qu’il continuera à vivre dans les siens. Le débat sur les « soins palliatifs » et le « droit au suicide médicalement assisté » ne doit pas nous condamner à quitter la vie séparé des nôtres.
Le législateurs et les médecins ont encore du chemin à faire pour accepter une aide au suicide non seulement à l’hôpital, mais aussi à domicile des patients