Encore Rivarol, toujours aussi puant, et révisionniste…

Tiens en lisant l’article, une faute en forme de lapsus
« une guerre éclaire »

Ex-Maréchal, te revoilà?
Mais ne vous en faites pas, la vigilance n’est pas morte
et il est bon de rappeler que de la bête immonde etc.

Je consulte ce blog pour avoir des informations sur la FM, pas sur ce que publie Rivarol. J’ai une idée assez précise de ce qu’est Rivarol pour me dispenser de souhaiter l’approfondir. Cessez donc de faire la publicités gratuite de ce torchon d’extrême droite.

mise au point quand aux « pavées de la mémoires ». Sur demande à l’artiste qui les a crées et un paiement symbolique , chaque Juif qui veut honorer la mémoire d’un martyr du nazisme peu faire placer ce pavé en cuivre devant le dernier domicile connu en Belgique de la victime. Sur ce pavé figure : nom, prénom, date de naissance date présumé de la mort et le lieu ainsi que la mention résistant ou f… M… si c’était le cas.

Soyons précis. L’article Wikipedia pointé par Jiri montre que Georges Pêtre était aussi membre de l’Armée Secrète. En quelle qualité fut-il donc abattu, sous les yeux de sa femme et de ses enfants, ainsi que mes parents me l’ont raconté, horrifiés, lorsque j’avais sept ans ?
Je crois que le débat actuel sur Hiram.be a été inauguré afin de déterminer si des francs-maçons ont été déportés ou exécutés pour cette seule qualité-là. Les célèbres « pavés de lumière » en laiton ont été insérés dans les trottoirs de Bruxelles devant les demeures où des francs-maçons juifs furent arrêtés durant la guerre. Rien n’est plus émouvant que de partir à leur découverte.
Mais von Falkenhausen a-t-il fait arrêter des gens pour leur seule qualité de franc-maçon ? Y en avait-il sciemment parmi les 240 otages fusillés par ses ordres ? Je l’ignore, mais vais relire ses mémoires et vous le dirai, s’il en parle.
Enfin, il est curieux de le voir épouser, en 1960, une ancienne dirigeante de la Résistance…

Extrait (un peu longuet) du livre « Bruxelles maçonnique » édité à Bruxelles par Télélivre.

La Loge belge « Liberté Chérie » ou
« La Lumière dans la Ténèbre a resplendi »
(Jean 1, 1-5)

Les deux francs-maçons belges Rochat et Sugg se retrouvèrent internés dans la baraque 6 du sinistre camp allemand d’Esterwegen, dans l’Emsland, près de la frontière avec les Pays-Bas.
Ce camp fut un camp de punition pour prisonniers. Il ne comportait pas de fours crématoires, mais on y pratiquait la torture, les exécutions et le travail forcé jusqu’à la mort.
Dans cet univers inhumain et atroce, les deux frères bruxellois Rochat et Sugg eurent néanmoins la consolation de se voir progressivement rejoints par plusieurs autres frères de Bruxelles : l’avocat Guy Hannecart, des Amis Philanthropes numéro 3 ; le juge Paul Hanson, de la loge Hiram, qui deviendra leur Vénérable Maître ; le journaliste Luc Sommerhausen, de la loge Action et Progrès numéro 3 ; le docteur Joseph Degueldre, du Travail à Verviers, et André Miclotte, de la loge Union et Progrès de Bruxelles.
Ils étaient désormais sept et, selon l’antique coutume des francs-maçons, sept rendent une loge « juste et parfaite ». Ils fondèrent de la sorte la Respectable Loge « Liberté Chérie », dont le frère Franz Bridoux, prisonnier lui aussi dans la même baraque 6 mais qui ne sera initié qu’après la guerre, sera l’auteur d’un ouvrage relatant l’incroyable odyssée de ce groupe d’irréductibles.
Cette loge hyper clandestine trouva le moyen d’affilier deux autres frères arrivés à Esterwegen en 1944, le frère Jean-Baptiste De Schrijver, de la loge La Liberté à Gent, et le frère Henri Story de la loge Le Septentrion, également à Gent. Et enfin, ils trouvèrent le moyen exceptionnel d’initier au grades d’apprenti, de compagnon puis de maître maçon, le frère Fernand Erauw, décédé en 1997.
Mais ce n’est pas tout, tant il est vrai que l’homme est du bois dont on fait les arcs ; plus on le tient courbé, plus fort il se redresse….

je souscrit avec enthousiasme à l’idée de Jean Van Win pour qu’il fasse une recherche plus approfondie des F. M. pendant la guerre ; Notamment s’il pouvais trouvé les documents attestants que la villa de Raoul Bertaux ,
près du bois de la Cambre était un endroit de rencontre clandestin des F… M…

Il faudrait perdre l’habitude de dire Maréchal PETAIN, car cette dignité de maréchal de France fut perdue pour haute trahison. Pour ceux qui le vénèrent toujours (cela existe) qu’ils disent Monsieur car il n’est même plus un officier digne de ce nom.
Avoir fait croire au peuple qu’il « tait un vrai gouvernement ayant ramené la paix (lui qui haïssait les mensonges qui firent tant de mal à la France) en effet la position d’armistice, n’est nullement la paix, ce n’est qu’une simple suspension des hostilités, mais en droit nous sommes toujours en état de guerre.
En temps de guerre pactiser avec l’ennemi est bien de la haute trahison : Montoir, la collaboration, la STO, la milice, etc… la chasse aux Français Résistants.
Et l’Alsace-Lorraine, ma petite Patrie… rien dans les conditions d’armistice ne permettait son annexion de fait par les nazis, ce qui entraina dans les Wehrmacht 110 000 des nôtres en Russie ou 40 000 restèrent à jamais étendus pour le compte.
A une remarque qui lui fut faite sur le sujet, il répondit : j’ai fait une lettre de protestation respectueuse !
Et que dire d’un maréchal de France, qui en 14/18 décore ses soldats pour bravoure, de la légion d’honneur, de la médaille militaire ou de la croix de guerre, et que 20 ans plus tard, il livre à l’ennemi parce qu’ils sont juifs ? Jamais un maréchal de France n’était tombé aussi bas.
Je précise que je suis un ancien Résistant du Mouvement LIBERATION NORD, Pdt de l’ANACR de Vendée et délégué 85 de la Centurie des plus jeunes CVR, et Maçon de surcroit depuis 44 ans (avec assiduité)

A lire sur Internet : Les francs-maçons sous l’occupant nazi. Edifiant !
http://www.levif.be/…/les-francs-macons-sous-l-occupant-nazi/article-normal-5...
Je recommande aussi un ouvrage publié en 1982 à Bruxelles : « La Vie quotidienne des Belges sous l’occupation (1940-1945) par Jacques de Launay chez Paul Legrainb, 53 rue Simonis, 1050 Bruxelles. Je crois ce livre épuisé, mais je le vois souvent dans les brocantes et foires aux livres. Il est très complet avec ses 286 pages. Si je trouve d’autres liens, je ferai suivre.

Divers historiens et journalistes belges ont révélé les noms de francs-maçons belges qui ont été déportés et/ou exécutés en raison de leur seule appartenance maçonnique. En 1934, le bourgmestre de Saint-Josse-ten-Noode, Georges Pêtre, Souverain Grand Commandeur du Rite Ecossais, a procédé au mariage de mes parents. Il fut assassiné en 1942, je crois. On trouve bien d’autres noms sur Wikipedia. Il est bien entendu difficile de déterminer si ces victimes n’étaient pas aussi des résistants ou des membres de l’Armée Secréte, tels par exemple François Bovesse. On a publié sur ce sujet ; je peux faire une recherche, si désiré par certains.

Entre ces fanatiques politique ou/et religieux ils faut garder la tête froide et répondre à toutes leurs attaques !

Toujours !

bonjour, j’espère que la France réagira et que plainte sera déposée, je suis de votre avis il ne faut jamais rien laisser passer le combat est permanent surtout depuis que le Pape vient de déclarer que la maçonnerie était une secte satanique et que Les islamistes veulent nous exterminer.

Pourquoi mettre sur le blog ce genre d’article. Tous les FF et les SS connaissent ce genre de parution. Elle n’apporte rien à notre réflexion. Mais nous énerve et nous met en colère.

Je devrais voir si je mets la main sur « La franc-maçonnerie sous l’occupation ». Si de nombreux maçons français et belges ont été déportés, ne l’ont-ils pas été soit parce qu’ils étaient juifs soit parce qu’ils étaient résistants mais non pour leur simple qualité de maçon? Par contre, en Belgique par exemple, des maçons ont été pris en otage ou ont été exécutés, en raison de cette seule appartenance, par des collaborateurs. Un historien peut-il confirmer?