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Géplu.
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C’est un excellent article sur l’essentialité du silence… qui ne devrait pas inspirer tant de bavardages ! 😉
30 – C’est un bon moyen de dire quelque chose quand on n’a rien à dire et de flatter son égo en se positionnant, facile, au-dessus de la mêlée.
Je suis toujours frapper par cette sanctification du silence par ceux, comme Eckhart, qui n’ont cessé d’écrire sur Dieu ou par ceux qui ont le nez dans la bible, un livre écrit par des gens qui prétendaient connaître la prétendue volonté divine, des gars qui connaissent Dieu, qui l’ont entendu même, bref un sacré bavardage que celui-ci ! ?
Dieu n’existe pas, Dieu merci
Dieu n’existe pas (vision exogène), il insiste (vision endogène)
« Il y a une voix qui n’utilise pas les mots. Écoute. » (Djalâl Al-Dîn Rûmi )
« Dieu existe bien sûr, mais de là à y croire… » G. Perros
« Dieu est une hypothèse » nous dit Marc-Alain Ouaknin. Peut importe qu’il existe ou non,ce qui existe,ce sont les écrits que ce Dieu a inspiré aux Hommes et qui nous ont façonnés,que nous ayons ou non la foi,et ces écrits méritent que l’on s’y attache et que l’on tente de les décrypter. Quelque soit le Rite que nous pratiquons, ces écrits ont inspirés les « créateurs » de la Franc-Maçonneire, c’est à nous de les étudier et d’en chercher le ou les sens.
Je lis avec plaisir ces discussions théologiques, puis, au bout d’un moment se superpose une phrase de Pierre-Simon de Laplace, mathématicien, astronome et physicien, répondant à Napoléon qui le questionne sur sa religion : « Dieu? Je n’ai pas eu besoin de cette hypothèse. »
Je n’oublie pas que la foi transporte des montagnes mais est-ce de cette foi dont nous avons besoin pour accomplir notre tâche de francs-maçons?
» Qu’est-il arrivé avant le commencement des temps pour qu’il y ait commencement »
La pensée juive a répondu à cette question par la » Théorie du Tsimtsoum » , indiquant que Dieu s’est retiré de sa création pour que celle-ci ait lieu .
C’est une façon de répondre à la question de son » existence » et de n’envisager Dieu que par ses manifestations . Mais que sont les » manifestations de Dieu »
Dieu n’a jamais dit qu’il existe . Il suffit de lire la Bible . Les mots ont un sens. Dans l’épisode du buisson ardent , Moïse a entendu une voix lui disant: Je suis celui qui est . Il n’a pas dit : je suis celui qui existe .
L’ESSENCE N’EST PAS L’EXISTENCE .
La seule question métaphysique est : L’essence précède-t-elle l’existence ou l’inverse .
Si l’essence précède l’existence , c’est Dieu qui a créé les hommes .
Si l’existence précède l’essence, ce sont les hommes qui ont créé dieu .
Quelques philosophes ont correctement posé cette question , à commencer par Descartes, sans apporter de réponse .
Cette question n’a pas de réponse rationnelle logique et probante .
La réponse est affaire de foi .
22 – La difficulté semble être que si l’Être est le principe (l’essence) de l’Univers, il ne possède pas toutes les propriétés pour prétendre au titre d’Origine, il lui manque notamment les propriétés du non-Être dont il procède nécessairement. Ce dernier n’étant pas le néant, mais la dimension des principes, de l’immatériel absolu au-delà même de l’esprit (celui-ci encore et toujours matière).
Ainsi le Dieu de Moïse serait au mieux un démiurge et, toujours du point de vue métaphysique, existerait effectivement puisqu’il s’agit de sa dimension.
En revanche, le Dieu au sens où l’entendaient les Égyptiens et les Grecs se situe au-delà de l’Être et du non-Être. C’est l’objet de l’une des critiques les plus fondamentales du Monothéisme par les philosophes grecs tardifs.
Le différent est intéressant parce qu’il permet justement de pousser la réflexion au-delà de la foi.
J’ai lu les 37 commentaires (dont aucun ne traite de l’article proposé), je n’ai que des sons exprimant des idées humaines, trop humaines
18 – Eh bien écoute n’hésite pas, fais-nous part de tes idées non-humaines traitant de l’article proposé, disposés que nous sommes toujours, et même avides, d’apprendre.
J’aurais du ajouter « les marottes et les obsessions éternelles des imprécateurs, l’antiquité tardive, les philosophes vs les religieux, les obédiences et les réguliers/irréguliers, le monothéisme honni «
20 – Non, il ne s’agit pas de cela.
Tu qualifies de « sons », de « trop humaines » et sans rapport avec l’article les idées développées avant ton intervention.
On écoute donc tes idées, si tu veux bien cesser de brasser du vent.
16 – Je crains qu’il faille faire preuve d’un grand effort d’imagination pour dissocier le « johanisme » (si tant est que celui-ci existe) de la religion.
St Jean théorise la révélation, c’est l’Apocalypse.
Encore une fois les mots ont un sens ; je crains que « l’ésotérisme du christianisme » soit une construction et je me permets de rappeler que celui-ci est condamné par les églises pour relativisme.
Si je ne cesse de conseiller de lire les philosophes néoplatoniciens ce n’est pas par obsession ou par militantisme, Dieu m’en garde (si j’ose dire ?), mais bien pcqu’il vaut mieux tjrs s’en remettre à l’original plutôt qu’aux plagiats.
Sans le néoplatonisme il n’y a pas de pensée chrétienne et si peu juive.
Il a bien été pillé et fâcheusement appauvri.
Sans le néoplatonisme pas de théologie négative !
@desap et Reboussié.
Dans les 2 cas, nous voyons un positionnement favorable ou opposé à ce qui est appellé « dieu ».
Dans les 2 cas on s’en prend à « quelque chose » soit une connaissance, soit une astuce de groupes humains dit religieux qui font la promo d’un tel concept.
Pourtant, à la base, il est sain de constater qu’il n’y arein et d’observer s’il y aurait quelque chose d’autre que les lis de l’univers que nous, humains découvrons, comprenons, de mieux en mieux, ce qui élimine ce qui étaiti attribué auparavant à des « dieux ».
Sur cette base, on peut donc considérer, par continuité que « dieu » serait une notion évolutive pour désigner ce qui nous est encore inconnu ou innacessible. Ce qui se restreint, de fait dans le temps.
Et dans ce cas, on peut considérer le dit « dieu » comme éternel, puisque chaque nouvelle compréhension ne fait qu’ouvrir une nouvelle part d’inconnu.
Sinon, nous avons l’idée bien installée, que le fonctionnement de la nature serait résultant d’intention, volonté d’un (ou plusieurs) être au fonctionnement très similaire à des humains … ce qui justement entame la crédibilité, car ressemblant très fort à une simple projection de comportement humain sur une chose imaginée. Sans parler des mythes fabriqués pour la bonne(?) cause de nationalisme, patriotisme, asservissements, intérêts sexuels, commerciaux.
La FM et le discours johannique : Justement le johanisme invite à une demarche similaire à ce à quoi nous invite la FM. Donc si on evite de se laisser enfermer dans le baratin religieux, c’est un outil très interessant pour nous, FM.
Pourquoi n’avoir pour seule référence les religions et les points de vue des religieux au sujet de Dieu ?
Que faites-vous de celui de la philosophie ?
Qui écarte par principe, sans manquer d’en faire la démonstration, toute dogme, toute notion d’homme providentiel et dit à son propos à peu près ceci : si l’on ne peut exprimer la nature du dieu, sa connaissance est en revanche accessible.
Le néoplatonisme ne traite presque exclusivement que de cela, raison pour laquelle juifs et chrétiens se le sont appropriés tout en le dénaturant en faisant rentrer de force la révélation religieuse.
Le GADL’U est une conception exactement néoplatonicienne de la transcendance.
Lorsque je lis cet excellent texte de ce frère de la GLIF, je m’y retrouve (sauf ce qui concerne le silence qui est une condition de la méditation et non une fin en lui-même parce qu’il faut bien exprimer l’objet de cette méditation, ou bien comment faire progresser la réflexion et transmettre ?) cependant que je ne peux qu’être dans l’incompréhension totale : comment faire de la bible un texte fondamental et de l’évangile de Jean l’épitomé de la pensée maçonnique, sauf à ce que cela soit la marque très prononcée d’une crainte purement identitaire ?
Il y a tout de même un moment où les mots ont un sens, on ne peut pas se satisfaire d’une telle contradiction, on ne peut pas dire tout et son contraire.
Si l’on admet que les contraires sont complémentaires, c’est qu’il s’agit de principes dont on ne perçoit pas l’exacte réalité.
Mais il ne peut en aucun cas en être ainsi des idées, ceci pour des raisons qu’il ne me parait pas utile de préciser tant elles tombent sous le sens.
comme pour bien d’autres sujets , on s’égare . Avec qui a t on des soucis ? Dieu ? on doit le féliciter pour sa discrétion ….quelques miracles ? qu’il en soit pardonné
parlons plutôt de ses porte parole , de l’administration que sont les églises , et du mode de vie de ses fonctionnaires ..La aussi , comme dans la société des hommes ? ce qui est en haut n’est pas tout à fait comme ce qui est en bas …et c’est qui qui paye ? je croix même me souvenir du déficit d’un certain restaurant bien connu des parisiens ??? 3 euros par tète ??????
Comme sur les médias , on va chercher les grands principes , l’histoire ancienne , les grands mystères de la nature , même le big bang est récupéré …j’ose pas le quantique …quoi que vu sa capacité à être présent partout , et en même temps ? comme un certain président , mais bon , l’absence a aussi ses vertus …
Un grand principe ? c’est le UN qui me gène ..oui , il y a des principes … plus ou moins généraux ..la pesanteur , l’eau qui va du point le plus haut au plus bas …l’entropie ….L’unicité ? la tendance à tout vouloir simplifier ..malgré certain qui nous cause de la complexité …j’ai essayé de simplifier cette notion pour la faire mieux comprendre ..je me suis attiré des compliments époustouflants ..toi et ta manie de vouloir compliquer les choses ??? Alors Dieu ?? ne croyant pas à la chose ? avoir peur du mot ? notion trop complexe pour ma petite tête par contre , l’expérience d’Oparine m’interpelle sur l’apparition de la vie …
Leibniz dit quelque chose comme ceci, je cite de mémoire:
« Si Dieu existe, alors pourquoi la guerre? Si Dieu n’existe pas, alors pourquoi la paix?
Ce pourquoi je travaille au GO à la FMU ( Franc Maçonnerie Universelle = douce utopie … ) sans la présence d’un GADLU qui a du mal à dire son nom et dont l’existence me semble coloriée d’un certain dogmatisme …
Si nous examinons la question de Dieu au travers de récits qu’en ont fait des humains, on ne peut que s’interroger sur le monile … des écrivains.
Et finalement, basiquement, c’est simple, compréhensibe et constant à toute époque et dans le monde entier : Il s’agit de trouver des explications au monde qui nous entoure et en particulier des effets très conséquents sur notre vie : le soleil, la pluie, la foudre, le vent. Ces éléments agissant, les hommes en trouvent des « acteurs » appellés « dieux ».
La démarche est finalement de même nature que la recherche scientifique…. (dans sa raison d’être : donner une explication, un sens).
Et finalement les créateurs des dieux créent des dieux à l’image des hommes, et reciproquement, comme l’énonce la Bible. des dieux tellement à l’image des hommes qu’ils racontent des fables mensongères (Eden) sont jaloux, craintifs, maladroits, revanchards, violents.(Bible encore).
Mais la création des dieux devient une activité très efficace lorsqu’elle séduit et la religion devient un outil de structuration de la société ?
Qu’en est-il du dieu GADLU des Franc-maçons ? Le concept s’est sophistiqué puisque devenant une idées sous-jacente de l’organisation de l’univers, non decrite ni active. Les premiers franc-maçons ont indiqué qu’il se refere au même concept que le (les?) dieu de la Bible.
Par conséquent, en FM, il s’agit d’une notion mouvante et évolutive dans sa manifestation et conception. Il est donc important d’eviter de sombrer dans une « croyance » en une description d’un personnage divin répondant à des idées locales d’un autre temps, tout en respectant que la dite croyance en son temps et son lieu répondait à un objectif respectable.
La volonté d’eradiquer totalement la demarche est elle aussi un apauvrissement.
Alors si on peut clairement éliminer, de nos jours, par evidence la description de dieux « humains », personnages capricieux aux pretentions d’universalité mais très locaux et privés, il est très dommage d’effacer la demarche maçonnique autour d’un concept organisé pilotant la nature.
Rappelllons que dans le rituel Emulation, par ex., justement la cérémonie d’initiation fait passer de la conception périmée mais respectable du dieu des religions vers le concept GADLU.
Un journaliste a dit : « Dieu est la première fake-new » !
Un condamné est transporté vers la potence. L’aumônier lui demande :
– Mon fils, croyez-vous à la Sainte Trinité ?
– Vous êtes drôle. On m’emmène à la mort et vous me posez des devinettes.
……
Un rabbin très pieux tombe dans un puits. Il arrive à s’accrocher à une racine et appelle au secours.
Dieux lui répond :
– Tu m’es très fidèle : lâche cette racine et mes anges te porteront jusqu’au ciel.
Le rabbin appelle à nouveau :
Y a-t-il quelqu’un d’autre ?
……..
Enfant, j’ai prié Dieu pour qu’il m’offre un vélo.
Plus tard j’ai compris que Dieu ne fonctionnait pas comme ça.
J’ai volé le vélo et je me suis confessé pour être pardonné.
…
« Dieu ne recevra jamais le prix Nobel de la paix. » José Artur
https://www.amazon.fr/dp/B082Z7CH1X
Dieu n’existe pas ; voir l’étymologie.
Dieu EST.
Les religions ont besoin d’un dieu pour exister, pour s’expliquer, pour se légitimer, soit il un faux, pourvu qu’il en soit un. Alors que Dieu, le vrai, lui, n’a besoin de personne pour exister, lui! L’être humain est sa création, l’être le premier et l’humain le dernier. Entre les deux, avant qu’il n’y ait lieu la douloureuse jonction, y a une histoire personnelle et individuelle avec notre Créateur, dans un chemin tendu tordu par un des nôtres, où, Dieu, lui, le seul et unique vrai, lui qui est l’Amour, la Sagesse, la Bonté, la Lumière, la Vérité, la Patience, la Bienveillance, la Justice, la Science, la Toute-Puissance absolus, il n’y était pas, lui….
Quelle différence entre un « vrai » et un « faux » dieu ?
Astrophysicien STÉPHAN HOPKINS était convaincu que l’euniver est un affaire chimie et Phasique et son livre indique que grand architecte d’univers n’existe pas
Mais si n’existe pas et divers religion sont éliminer , ? Il y aura plus de 3 milliard être humain sans travail sur la planète terrer et élimination par guerrer civile etc… S.F
Stephen Hawking était beaucoup plus nuancé que cela, que ce soit dans « Une belle histoire du temps » (suite de Une brève histoire du temps ») et dans « Y a-t-i un G.A. dans l’Univers? », à rapprocher des hésitations d’Hubert Reeves. Philosophes et scientifiques se rapprochent, et, tant que les derniers n’ont pas trouvé « le Graal », il y a encore de beaux jours pour les religions.
Par quels miracles permanents on ne trouve pas une feuille d’arbre exactement pareille qu’une autre? deux êtres complètement semblables? est-ce dû au seul hasard, mot dérivé de l’arabe az-zahr: le dé…qui a permis à Einstein sa célèbre phrase: « Gott würfelt nicht! »
Dieu existe puisque c’est l’homme qui l’a inventé !
et si vraiment il existait (pour paraphraser NTCF:. M. Bakounine) il faudrait s’en débarrasser !
Dans la première éclosion de la pensée humaine, l’homme jeta autour de lui un regard, étonné d’abord, puis interrogatif. Tout ce qui l’entourait était mystère ; il voyait partout des effets produits par des causes inconnues ; il apercevait planant par-dessus toute la nature, une force immense, une puissance qui semblait tout diriger, sa vie comme le reste.
Les observations qu’il fit autour de lui pendant ces premiers jours de son histoire, durent être empreintes d’une grande précision, car lorsqu’il eut l’idée de définir, d’expliquer, de représenter cette puissance inconnue, il lui donna des attributs qui sont bien réellement ceux de la « force » qui régit le monde cosmique et le monde organisé. Il avait donc tout aperçu, tout deviné ; à défaut de science il avait l’intuition. Dans toutes les mythologies de l’antiquité, ces derniers vestiges des conceptions primitives, nous voyons la force personnifiée dans toutes ses manifestations ; chacune d’elles reçoit mille noms : on les appelle des Dieux. Les Dieux sont les principes qui gouvernent le monde.
Or, quelle que soit la corruption apportée plus tard à l’idée que représente le mot « Dieu », on n’a jamais pu en changer la signification primitive. Dieu est toujours resté « un principe qui gouverne le monde ».
Existe-t-il donc réellement un principe tout-puissant, qui soit à la fois l’origine et la cause de tous les phénomènes de la Nature, un principe qui donne et entretient la vie, un régulateur permanent qui soit si nécessaire et si évident que l’homme primitif, malgré son ignorance, le découvrit spontanément dans la Nature.
Interrogeons la science. Que nous dit-elle à ce sujet ?
Affirme-t-elle qu’il existe réellement un principe possédant une telle puissance, un principe à la fois physique, chimique et physiologique, car les phénomènes de la Nature relèvent de ces trois sciences, un principe qui soit surtout le grand agent biologique et en absence duquel la vie disparaitrait, ou plutôt, n’aurait jamais existé ?
Oui. La science répond affirmativement.