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Géplu.
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Pour nos amis Giacometti et Ravenne à propos du « symbole retrouvé », sur leur affirmation que le cercle au centre pointé ne se retrouve pas en maçonnerie, je voudrais remarquer ceci:
1- il existe une interprétation de la lettre G selon laquelle ce graphisme évoque un cercle avec un rayon qui relie sa circonférence à son centre (de l’unité vers la diversité ou/et de la diversité vers l’unité: rayonnement ou réintégration)
2- Dans le rituel de la Sainte Arche Royale de Jérusalem (Royal Arch), on fait lors du banquet un signe traçant dans l’air POINT, TRIANGLE, CERCLE, et les 4 angles du CARRE. Le point central et le cercle sont donc représentés
3- Il existe une gravure (que cette boite aux lettres ne me permet pas de joindre) illustrée d’une équerre et d’un compas entrelacé encadrant une étoile rayonnante à six branches contenant la lettre G et intitulée « Le mystérieux quatrain des tailleurs de pierre » . Ce quatrain est::
Un point dans le cercle
Et qui se place dans le carré et dans le triangle
Connais-tu le point – tout est bien
Tu ne le connais point – tout est vain..
(…)
André
JE VIENS DE LIRE 3 DE VOS ROMANS ET DOIS MA GRANDE SATISFACTION MERCI
Eh bien ! « gogos, frustrés et lecteurs de hall de gare »… Merci pour le mépris.
Ce qu’il m’en semble, c’est qu’il s’agit avec Le Symbole perdu d’un excellent thriller. Bien meilleur que Da Vinci Code. Quelle joie de voir ressurgir des thèmes qui nous sont chers à travers un récit romancé joliment troussé.
En outre, maçonniquement, Dan Brown ne paraît pas raconter d’âneries.
On ne lâche pas le bouquin avant la fin. C’est excellent.
Merci Giuseppe…!
Dan Brown reste égal à lui même…d’ailleurs pourquoi changer un style, qui lui permet de bien gagner sa vie…!
Les gogos, les frustrés et les lecteurs de hall de gare en redemandent..
Bonjour Jiri,
Je te livre mon humble avis sur le dernier Brown …
Amitiés,
Le « Symbole perdu » Dan Brown et le « Temps perdu » du le lecteur.
Comme le beaujolais, le Dan Brown nouveau est arrivé (en français).
Ce nouveau chapitre du héros Robert Langdon nous plonge dans les méandres d’une vengeance avec pour toile de fond, la franc-maçonnerie américaine.
Fidèle à la recette qui fait son succès, Dan Brown met en vedette une ville et ses monuments : le Capitol et les oeuvres d’art de la ville de Washington liées à la naissance des Etats-Unis d’Amérique. Les francs-maçons, dont George Washington lui-même, ayant pris part à cette naissance.
Le scénario, sans dévoilement pour ceux qui seraient tentés par la lecture, est sans surprise et assez linéaire : un fils veut se venger de son père franc-maçon, pour ce faire, il utilise de stratagèmes, de rituels et d’objets cultuels improbables, le tout assaisonné d’un directeur des services de renseignements qui ferait pâlir de jalousie la dernière version de « M » de la série des James Bond.
Ce que Brown livre de la franc-maçonnerie est tout-à-fait superficiel, voire anecdotique et ne vaut pas la peine que l’on si attarde.
Et puis, il y a Robert Langdon … On a envie de s’attacher à Bobby! Ce prof d’unif plutôt sympa, avec ses étudiants sympa, vêtu de son éternel tweed et de ses loafers (vous savez les fameux mocassins « Collège »). Il est toujours à la mauvaise place, au mauvais moment. Surgissant dans le scénario comme un cheveux dans la soupe, il subit les actions des autres personnages et se contente de donner des explications généralistes, pour ne pas dire simplistes, sur les questions qu’on lui pose. Il a toujours l’air de débarquer … Et bref, il a vraiment l’air benêt! On voudrait s’attacher au personnage mais Brown manque toujours la cible …
En peu de mots : « The lost symbol » … a deception point …
(= titre du premier roman de Brown)
PS: rdv dans un an pour la version grand écran …