Daniel Keller. Photo D.R.

Daniel Keller à Alès ce vendredi 19 janvier

Publié par Géplu

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vendredi 19 janvier 2018
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  • 4
    Huré
    30 janvier 2018 à 14h42 / Répondre

    il est pas beau notre KELLER, élection en préparation, commençons la campagne électorale, déjà la légion d’honneur, le conseil économique et social très haute instance de l’état, président des anciens de l’ ENANA, pourquoi pas une mairie (étiquette Macron) ?
    Bien fraternellement a toutes et tous.

    • 5
      lazare-lag
      30 janvier 2018 à 18h38 / Répondre

      Et sur le thème « Pourquoi devenir franc-maçon aujourd’hui », un avis? Une idée? Une pierre à apporter à l’édifice? Fraternellement?
      Il est vrai qu’un tel thème permet difficilement les attaques ad nominem.

  • 3
    lazare-lag
    20 janvier 2018 à 12h07 / Répondre

    « Pourquoi devenir franc-maçon aujourd’hui? » telle est la question de notre Frère Daniel Keller.
    Ce à quoi LAI68 (pourquoi pas MAI, erreur de frappe entre L et M voisins sur le clavier?) estime ou vient nous dire presque, quasiment en substance: « Pourquoi rester franc-maçon aujourd’hui? »
    Il y a donc tant de choses divergentes entre cet acte de devenir et cet acte de rester ?
    Déjà dans devenir il y a plusieurs aspects.
    Devient-on Franc-Maçon uniquement parce qu’on atteint et dépasse la seule tenue d’initiation ?
    Ce devenir ne s’inscrit-il pas dans la durée? Et cette durée ne découle-t-elle pas du fait de rester ?
    Ceci pour la notion de temps.
    Je n’oublie pas non plus que si l’action de devenir Frère ou Sœur est certes un acte volontaire émanant de soi-même pour ce qui est d’entrer en Franc-Maçonnerie, on ne devient franc-maçon que si vos pairs veulent bien vous reconnaître comme tel. Il y a donc une une interaction entre une volonté et une décision personnelle et une acceptation, une « reconnaissance » qui échappe à l’individuel puisqu’elle relève du collectif.
    Ceci pour la notion de groupe, de composante.
    Et, découlant peut-être de la précédente, il y a ce qui relève de la participation du franc-maçon lui-même, de son activité au sein du collectif, de son implication dans la loge et dans le temple.
    Il me semble que cette participation, cet investissement, cette implication personnelle va venir témoigner de plusieurs choses:
    – témoigner à ses propres yeux que l’on devient autre chose qu’un profane, et même autre chose qu’un initié d’un jour,
    – témoigner aux autres, tout d’abord à ceux de son atelier que l’on apporte sa pierre à l’édifice. Ce peut être par une production régulière de planches, ce peut-être en assumant une charge dans l’atelier, en tenant un plateau d’officier, ce peut-être plus prosaïquement en participant à l’installation et à la désinstallation du temple, etc…
    – et ce faisant, je dirai même plus, ou ne ce faisant pas, on témoigne aux autres son intérêt ou son désintérêt à une oeuvre et une construction qui sont à la fois sa propre construction, sa propre évolution, et une construction d’une équipe, d’un collectif.
    Personnellement, je suis assez désolé que des maîtres, qui plus est n’exerçant pas de responsabilité dans l’atelier ne présentent pas de planches depuis dix ans.
    ¨Personnellement, je suis assez désolé que tel ou tel estime qu’une installation de temple n’est que du ressort de l’apprenti lorsque lui même ne l’est plus ou, plus sournoisement et de manière non dite, parce que sa position sociale et profane ferait que ce n’est pas de son niveau.
    Le fait de devenir et/ou de rester franc-maçon est donc quelque chose de plus subtil ou de plus manichéen qu’il peut y paraître de prime abord
    On peut rester en franc-maçonnerie pour mille raisons, les bonnes comme les mauvaises.
    Parce qu’on s’y sent bien, j’espère que c’est la majorité des cas, et qu’on s’y enrichit du contact avec les autres.
    Parce qu’on construit quelque chose ensemble, et qu’on y croise des gens qu’on n’aurait pas découvert autrement.
    Et qu’il n’est pas interdit d’en estimer bon nombre, voire de s’en faire des amis.
    Par ce qu’on aime exercer certaines responsabilités. Selon qui les exerce, ou plutôt comment elles sont exercées, on jugera alors qu’il ne s’agit que de cordonnite, ou a contrario on aura de la reconnaissance pour qui se consacre à un tel investissement.
    Et puis il y a ceux qui ne restent pas.
    Parce qu’ils se faisaient une idée trop haute de la maçonnerie ?
    Parce qu’ils n’y ont pas assez participé et ce n’était pas fait pour eux ?
    Parce que l’atelier n’a pas été aussi fraternel que ça ?
    Bref mille raisons, et pas toutes de même ordre, et pas toutes de même niveau.
    Des raisons estimables comme des raisons bien moins nobles, parfois déguisées en motifs plus présentables.
    Mais on peut aussi devenir et rester et être heureux de son sort.
    Et n’hésitant pas à conclure sur un trait d’humour, (un peu piteux j’en conviens) peut-être pourrait-on dire :
    A l’Orient, rien de nouveau.
    A l’Ouest rien de nouveau.
    Alès rien de nouveau

  • 1
    Lai 68
    19 janvier 2018 à 10h02 / Répondre

    Le devenir est il plus facile que le rester ?

    • 2
      Désap.
      19 janvier 2018 à 17h08 / Répondre

      C’est tout à fait certain !
      Le rester c’est constater les ravages de l’opportunisme.
      Le plus rude c’est la clairvoyance acquise, c’est définitif, il faut en porter le poids.
      Le plus triste c’est, tout(e) maçon(ne) n’ignorant rien de la vacuité de la quantité, de constater que certains usent de l’opportunité que constitue d’y succomber, surement pour soulager le poids de la réalité, du moins le croient-ils … mais comme un(e) maçon(ne) ne croit en rien (la croyance c’est juste bon pour la qualification du profane), que la seule chose qui compte c’est co-mprendre …
      Bien fraternellement à toutes et tous.

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