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Géplu.
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Au bout de dix opus, on était déjà lassé du système : un chapitre historique, un chapitre contemporain, technique poussive d’écriture à quatre mains. Mais au moins il y avait cohérence et l’intrigue tenait d’aplomb. Dans ce onzième opus, les auteurs ont conspiré pour nous offrir deux histoires, écrites séparément, avec les pieds, comme le disait une journaliste de l’Obs, à propos du « Sade » de Ravenne.
Sans doute les auteurs sont-ils mieux occupés « ailleurs » .
Toujours est-il qu’ils auraient pu, au moins, vérifier la véracité des faits historiques ; La partie historique est truffée d’erreurs.
Bon vent à Largo Winch, scénarisé par Giacometti ! Quant à Marcas, il va se sentir bien seul. Dommage, il était sympathique.
Commencé la lecture avant-hier, avec plaisir et gourmandise. On y retrouve de vieux amis, et on n’a plus envie de lâcher le livre. Quel dommage d’habiter si loin de Bruxelles !