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Géplu.
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traduction:
à En Père (à Pierre):
très heureuse que me réponde un catalan. Quand ma santé sera rétablie, peut-être pourrons-nous nous voir à Perpignan, en visite d’une Loge à l’autre.
Que cette année qui commence soit heureuse en tous points pour toi, cher Frère et, ainsi que nous, catalans, le disons: « Bonne année, et pour longtemps! »
Merci Bibiche. Mon petit doigt me disait que ce devait être du catalan…
Hola Germana
He tingut la teva trujada
Dema te trujare tambe.
gracis
Fins ara
Pere
a Pere,
contentissima que em contesti un català. Quan estigui jo més bé de salut, potser que ens podrem veure a Perpinyà, de visites d’una Llotja a l’altra.
Que aquest Any nou que comença sigui feliç en tots punts per tu, germà estimat,i com diem nosaltres els catalans: « Per molts anys! »
Merci Bibiche, mais une traduction pour les non autochtones ne serait pas inutile !
hola Germà
te desitche que vajis millo, y que nos podem veure en llotja.
al meu tel es 06.28.25.85.98
gracis
en Pere
D’accord avec vous sur Sarda Garriga, sauf que la Respectable Loge de ce nom n’existe plus.
bien fraternellement à vous.
à Philodeme
J’aimerais bien voir cette « révision ». Pouvez-vous m’en donner les références ?
Dominés ? Certes, l’Ile de France domine tout: politiquement, économiquement et, pour Paris, on pourrait dire: culturellement.
Mais, personnellement, je n’ai jamais vu les Catalans « diminués » culturellement… Je crois pouvoir dire que, intellectuellement (et par « production »), ils valent les autres!
Pardonnez-moi mais il me faut rajouter une précision à propos de Sarda-Garriga, de qui GOOGLE dit qu’il était « de basse extraction ». Et c’est l’expression qui m’indigne.
1) Personne n’est de « basse » naissance ! et moins encore « extrait » bassement!
2) Qui plus est: le Mas de Blanes, où il est né, est une des plus riches propriétés agricoles du pays. (La terre est si fertile à Pesillà et le climat si favorable qu’on y fait, en alternant, quatre récoltes par an sur le même terrain).
3) il y a, à Perpignan, une Loge qui porte son nom
Mon arrière-grand-père libre-penseur (que j’ai bien connu) était le fils d’un proscrit des élections de 1852 (Llaurens O… né en 1802) banni pour avoir voté « républicain » contre Napoléon III. Et cela: « confessé » au curé par une dévote en confesse, puis dénoncé par le curé aux « autorités », avait valu à mon trisaïeul républicain (Llaurens O… ) d’être envoyé aux travaux forcés en Algérie, à Bône. A Pesillà, ils étaient treize bannis, mais sur 3 destinations différentes, suivant le degré de « subversion » de leurs « menées » (c’était le terme d’accusation). Les moins « subversifs » étaient envoyés à côté: en Espagne, les plus méchants en Algérie (c’est le cas de mon aïeul) et les irrécupérables au Mexique. J’ai retrouvé, sur la demande de ma mère (une pure républicaine!), le registre du département où ils ont été tous consignés (registre à onglets alphabétiques);
Dans quelques jours, je reviendrai (avec des précisions) sur un énoncé écrit dans ce blog hier à propos de la franc-maçonnerie en Espagne. Il est inexact qu’elle soit presque inexistante. Bien qu’ayant été annihilée par Franco (hélas, c’est tout à fait exact. Ils étaient même exécutés « au garrot » (!!!!!), elle a repris et, en particulier: en CATALOGNE, à Barcelona où ce sont deux Françaises (âgées) qui les ont aidés à se reconstituer.
Et le nombre est maintenant impressionnant, et tout fonctionne très, très bien.
Salut, mes frères! Et bonne année à tous , i per molts anys!
à Bibiche
Il est très probable qu’à chaque époque il y a sans doute eu une France des dominants et une France des périphéries dominées économiquement et culturellement.
Sa répartition en géographie humaine change (un peu régulièrement) … Christophe Guilluy vient d’en faire une révision … et les dominants actuels lui tombent dessus.
Oui, je connais SARDA-GARRIGA. C’est un Roussillonnais, mon compatriote, né au mas de Blanes, grande propriété agricole à l’entrée de Pézilla la Rivière que j’ai habité et qui est le village d’origine de ma lignée maternelle.
Sarda-Garriga est de la « grande » époque des Arago (François, Etienne), et il est vrai que la franc-maçonnerie et la Libre Pensée ont été très tôt implantées en Roussillon (la plaine) avec un solide sentiment républicain. Ma famille « en était ». Dans ces villages, il y avait et il y a toujours deux clochers: le clocher « religieux » (chrétien) et le clocher civil. Et les deux « moitiés » de la population ne se mélangeaient pas: ni pour la fête votive (qui était double) ni pour les enterrements. A la mort de mon arrière-grand-père (qui était très apprécié pour sa grande qualité « humaine »), un des « autres » (les « rastellers ») a suivi la cérémonie « laïque » et républicaine, et cela a provoqué dans le village comme une petite émeute…
Je précise tous ces détails car, en général, on ne sait rien en France de ce qui se passe dans le bas de l’Hexagone qui est carrément regardé avec mépris et dérision, peuplé par des « rigolos » pas très sérieux et avec un drôle d’accent.
Et, puisque l’occasion s’en présente, il est de mon devoir d’essayer de corriger les inexactitudes de Google à propos du nom de Sarda-Garriga (inexactitudes qui confirment l’esprit spécial qu’on a en FRANCE vers le « Midi »). Le double patronyme Sarda-Garriga N’EST PAS UN SURNOM, mais son nom véritable et dans SON ENTIERE IDENTITE telle qu’elle est exprimée en CATALAN (et dans la législation catalane du temps où la Catalogne était un Etat souverain, ça a duré mille ans). Or donc, le nom identitaire était constitué du Patronyme paternel + Patronyme maternel.
De même, la femme mariée gardait toujours les deux patronymes de ses géniteurs et ne prenait jamais le patronyme marital. (on peut changer de mari, et plusieurs fois, mais les parents sont immutables!)