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Géplu.
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Les « Écossais » ne seraient-ils pas musiciens? Que des tabliers bleus dans l’illustration.
Non, si tu regardes bien, il y a tout de même 3 rouges (pour 5 bleus). Mais le plus marrant c’est le grand barbu du fond. On a l’impression qu’il vient du Havre… 🙂
Que le sous entendue passe inaperçu et la voie de la guérisons comme une main posé sur les plaie du moments et la blessure s’efface à la mamière des druides la voie est orale
Si nous considérons que la Franc-Maçonnerie vint en France dès 1725, nous notons que c’est en 1737 que le Frère Jacques Christophe Naudot (? – 1762) flûtiste et auteur de « Chansons notées de la très vénérable confrérie des francs-maçons (…) » fit publier ce premier recueil de chansons.
Sans oublier que nous trouvons dans les Constituions (1723) le Chant du Maître ou l’Histoire de la Maçonnerie, le Chant du Surveillant ou une autre Histoire de la Maçonnerie, le Chant des Compagnons, le Chant de l’Apprenti, etc.
Et que l’édition de 1738 sera encore plus riche en chansons.
Sans compter l’édition du marquis Louis-François de La Tierce (1699-1782), édition française des Constitutions, en vérité « Histoire, obligations et statuts de la très vénérable confraternité des Francs-maçons tirez de leurs archives et conformes aux traditions les plus anciennes approuvez de toutes les grandes Loges & mis au jour pour l’usage commun des Loges répandues sur la surface de la Terre (Francfort sur le Meyn, F. Varrentrapp, 1742), où nous avons quelques chansons des Francs-Maçons en usage dans les Loges : Chanson des Maîtres, Chanson des Surveillants, Chanson des Compagnons, Chanson des Apprentis, Chanson des Francs-Maçons hors des Loges.
Cette appétence des francs-maçons pour la chanson n’est peut-être pas tout à fait étonnante quand on sait la place qui lui est réservée dans la tradition compagnonnique (celle des opératifs bien sûr).