Changement de couleur de robe à la GLFF ?

Il ets vrai que l’adoption du kilt par les Bretons – et encore plus en loge – comme un symbole de leur culture et identité depuis le début des années 2000 est fascinante. Cela illustre bien comment les traditions peuvent être réinventées ou adoptées pour renforcer l’identité culturelle d’une région, même si elles n’étaient pas historiquement associées à celle-ci. L’adoption du kilt par certains Bretons, bien qu’ils n’aient pas une tradition historique de porter ce vêtement, reflète la fluidité et la dynamique de la culture et de l’identité.
Le mouvement pour incorporer le kilt comme une expression de l’identité bretonne, poussé par des créateurs et des associations militantes, montre un acte de réappropriation culturelle et un désir de mettre en avant et de célébrer les racines celtiques de la Bretagne. Le choix de porter le kilt lors d’événements significatifs, tels que la fête de la Bretagne, le festival interceltique de Lorient, ou même des mariages, sert non seulement de déclaration d’appartenance mais aussi de promotion de la culture bretonne dans sa diversité et sa spécificité.
Les tartans bretons, avec leurs couleurs symboliques – le noir et le blanc pour la Bretagne, le vert pour l’Argoat (les terres), le bleu pour l’Armor (la mer) – et les petits carreaux blancs représentant les neuf pays bretons, incarnent une richesse de signification et une connexion profonde avec le patrimoine et le paysage bretons. Le fait que ces kilts doivent être en laine et sans polyester pour être considérés comme une tenue traditionnelle souligne l’importance de l’authenticité et de la qualité dans la préservation et la célébration de cette tradition réadoptée.
Cette réinvention et adoption du kilt en Bretagne est un bel exemple de la manière dont les peuples peuvent s’approprier des éléments culturels pour renforcer leur identité et leur cohésion communautaire, tout en respectant les origines et la signification des traditions qu’ils choisissent d’embrasser.
Et en plus, « Ils ont des chapeaux ronds, Vive la Bretagne ! Ils ont des chapeaux ronds, Vive les Bretons ! »

Cher LIONEL MAINE,
Puisque tu évoques « Pour les SS, rien ne vaut Hugo BOSS ! », je saisis cette occasion pour faire un point d’histoire, considérant toutefois que ce thème soit sérieux et historiquement significatif. Il est, pour moi, important de faire preuve de sensibilité et de prudence lorsqu’on aborde des sujets liés à l’histoire du nazisme, étant donné leur gravité et leur impact, encore de nos jours.
Des archives et des documents d’époque ont révélé les contrats entre Hugo Boss et l’armée nazie pour la production d’uniformes. Ces documents montrent clairement que l’entreprise, fondée en 1924, était un fournisseur pour les SS, la Wehrmacht, et d’autres groupes militaires et paramilitaires nazis.
C’est ainsi que des historiens et des chercheurs ont examiné le rôle des entreprises allemandes pendant le régime nazi, y compris Hugo Boss. Leurs recherches s’appuient sur des archives, des témoignages, et d’autres sources primaires pour établir le rôle économique et industriel de ces entreprises dans le soutien au régime nazi.
Face à des allégations croissantes et à une prise de conscience publique, Hugo Boss a commandé une étude historique indépendante pour enquêter sur son passé pendant la période nazie. Publié en 2011, ce rapport, réalisé par l’historien Roman Köster, un professeur à l’Université Bundeswehr de Munich, a confirmé que l’entreprise avait produit des uniformes pour les SS, la Wehrmacht, et la Hitlerjugend (Jeunesse hitlérienne). Il a également révélé l’utilisation de travailleurs forcés et de prisonniers de guerre dans la production.
La combinaison de ces sources a permis d’établir un consensus historique sur le rôle d’Hugo Boss pendant la Seconde Guerre mondiale.
Cette période de l’histoire de l’entreprise Hugo Boss étant désormais largement reconnue et documentée…
Ainsi, à la suite de la publication dudit rapport et face à la pression publique, Hugo Boss a officiellement reconnu son rôle durant cette période sombre et a présenté des excuses, notamment pour l’utilisation de travail forcé.

A 6 – avec la contribution de notre sœur Manon, nous apprenons au moins quelque chose. A la GLFF, comme dans beaucoup d’obédience : « C’est vraiment le bazar » » avec des « egos de plus en plus démesurés ». Ainsi comme suite à mon post 1, touchant au « professionnel réputé pour choisir une vêture digne de ce nom », je pense que pour satisfaire tout le monde en général et en particulier les egos surdimensionnés de quelques-unes, le choix de la tenue devrait être correcte, certes, mais laissé à l’appréciation de ces dames. Oui chacune devrait être libre de choisir ses oripeaux ! Certaines pourrait ainsi attirer les regards des autres et se pavaner « semblable à un paon en toutes choses, excepté en beauté ». 🤣🤣🤣Du reste au-delà de nos oripeaux, ne sommes-nous pas ressemblants comme deux gouttes d’eau, chantait jadis le poète Toulousain.

Et les sandalettes… mais ça c’est plutôt par respect pour les coutumes des FF et SS pour ceux qui vont visiter certains ateliers 🙂

Ah oui, bonne idée, étant donné qu’ils initient des femmes, allons jusqu’au bout !!!

Et le kilt pour les Rites écossais?