B. Drovetti et la Société Secrète Egyptienne.

Bonjour mon Frère,
un texte bien intéressant à plusieurs égards, car l’esprit du carbonarisme s’est maintenu très proche du courant « égyptien » pendant très longtemps. Il en est même de très fermés qui se sont maintenus en italie jusqu’à une période très très récente et probablement encore aujourd’hui.
Chose curieuse, le rite égyptiens est, d’après ce que j’ai pu en savoir, encore très proche de celui de cagliostro…

Concernant Joly et Gaborria, leur patente du rite de Misraïm leur vient de Pierre Lassale de Naples et date de 1812 comme le montre les lettres et documents présents dans le fond Gaborria de la Bibliothèque d’Alençon (documents consultables en ligne). Celle des bédarrides provient de théodoric Cerbes de Milan.

Merci encore pour ce texte

Mon TCF Jacques,
j’ai pris le temps ( il en faut !) de lire ta remarquable étude sur Drovetti et la Société Secrète Égyptienne. Je ne te féliciterai pas, de crainte de te corrompre, comme disaient nos ancêtres créateurs des préceptes maçonniques.
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Ce sujet m’étant beaucoup moins connu que l’époque napoléonienne sur laquelle nous avons beaucoup échangé autrefois (le Sang des Francs-Maçons, de Valmy à Waterloo), ma curiosité a été comblée, et je t’en remercie.
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Comme l’écrit Jean d’Ormesson : « ce fut bien ! ».Bravo ! et bis…