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@ JB31
Une température de 40 n’a jamais été signe de bonne santé.
De même une hostilité au genre féminin au point d’avoir la prétention d’interdire à de parfaits inconnus de vivre en mixité dans une autre loge du GODF ne me semble pas un symptôme de bonne santé …
Les outils scientifiques sont en effet intéressants pour aller voir derrière les apparences ou les rideaux de fumée y compris de la FM …
La bonne thérapeutique pour les cœurs à prendre ou les cœurs qui soupirent c’est … l’amour … et cela a en sus l’avantage de soulager l’environnement …
Ceci dit à chacun son regard sur les êtres, les choses et les événements … la FM même du GODF n’est pas un prêt à porter !
@ Flupke
« Encore une dérobade qui évacue le motif affectif personnel » …
« On retrouve comme au rejet de femme au GODF la cicatrice douloureuse d’un désastre sentimental personnel non surmonté ou dépassé. »
à partir du moment où vous considérez que tout raisonnement, toute intervention est une dérobade parce qu’elle provient de quelqu’un qui ne partage pas votre opinion sur au moins un point de l’organisation du GODF.
Et que, vous jugez, vous fondant sur la psychologie ou la psychanalyse, disciplines que certains veulent à tout prix parer de valeurs scientifiques, alors qu’elles sont plus qu’incertaines (★) il est inutile d’échanger.
Pour la bonne raison qu’on n’est jamais dans le sujet …. ce qui est l’exemple même de la dérobade rhétorique n’est ce pas ?
Rompons là car en plus nous sortons du sujet du post.
★ voir le débat Roudinesco/ Onfray sur Freud.
@ JB31
« C’est un rejet non explicite, mais évident, de la laïcité qui est , elle, profondément respectueuse de l’intimité de chacun. Intimité sexuelle, de croyance, de foi, mais qui pour vivre implique la liberté de chacun et l’égalité entre tous dans un espace où justement on a conscience que le seul objectif de la liberté, sa seule raison d’être, est justement de garantir la liberté.
Sinon tout cela capote. «
Encore une dérobade qui évacue le motif affectif personnel qui conduit à ce mêler des décisions de loges autres que la sienne !!!
D’accord avec cette envolée de « beaux sentiments cache misère »
Oui mais alors pourquoi interdire à une loge du GODF qui n’est pas la mienne et que j’ai peu de chance de visiter compte tenue d’un panel de plus 1000 loges à visiter rien qu’au GODF ?
On retrouve comme au rejet de femme au GODF la cicatrice douloureuse d’un désastre sentimental personnel non surmonté ou dépassé.
Au premier contact avec la FM, sous le bandeau, on nous demande d’être sincère …
Difficile n’est-il pas !!!
Certains ayant leur petite coquetterie disent « on reste toujours des apprentis », plus j’observe notre microcosme plus je pense que ce stade n’est en général pas voire jamais atteint.
l’information de Spahi, nous montre bien que nous sommes dans un « système » communautariste à caractère identitaire.
Ici, pardon dans ce cas, les « gays et lesbiens ». Mais peu importe. C’est la recherche permanente d’une référence communautaire qui est le problème.
je veux bien prendre le risque de me faire vilipender mais je maintiens que toute tendance au repli identitaire fondé sur une communauté quelle qu’elle soit (Basque, Bretonne, Lesbienne, Gay, religieuse … ) est une régression, un refus de l’aventure de la vie.
C’est un rejet non explicite, mais évident, de la laïcité qui est , elle, profondément respectueuse de l’intimité de chacun. Intimité sexuelle, de croyance, de foi, mais qui pour vivre implique la liberté de chacun et l’égalité entre tous dans un espace où justement on a conscience que le seul objectif de la liberté, sa seule raison d’être, est justement de garantir la liberté.
Sinon tout cela capote.
http://yagg.com/2011/03/09/liberation-a-du-mal-a-voir-olivia-chaumont-comme-une-femme-liberation-fr/
Franche maçon
Olivia Chaumont. Cette architecte transsexuelle a fait évoluer la franc-maçonnerie vers une acceptation des femmes.
Il y a quatre ans encore, Olivia Chaumont était un homme. Aujourd’hui, femme, transsexuelle, lesbienne, personne n’aurait l’idée de remettre en doute sa féminité : longue chevelure argentée, taille de guêpe dans un manteau de fourrure gris, pantalon de cuir noir, talons hauts. Au premier abord, elle se montre toute en retenue. Sa voix doucereuse accompagne des gestes empruntés et délicats. Cette architecte transsexuelle vivant à Paris ne se fait aucune illusion quant à l’image que les autres ont d’elle. Là est sa force : «Une trans reste trans. Pour les femmes, je ne suis pas vraiment une femme. Pour les hommes, je ne suis plus un homme. Les trans ne sont nulle part. Si on l’accepte, ce n’est pas dur. Je n’ai pas honte d’être trans, rien n’est pire que de chercher à le cacher.»
En 2007, elle saute le pas de l’opération : ablation du pénis et des testicules, construction d’un vagin et d’un clitoris. Direction la Thaïlande, le must pour ce type d’opération, où des voyages sont organisés, tarif : 15 000 euros, all inclusive. De ce moment difficile, elle parle avec humour : «Ils m’ont montré des photos. C’était un mécano démonté. Je me suis dit « heureusement que le chirurgien n’a pas eu une syncope ! »» Elle évoque le moment magique où elle découvre son nouveau sexe : «Waouh ! Quand je me suis vue dans la glace, c’était beau, c’est ce que je voulais. Cette image de moi dans le miroir, je veux mourir avec.» Son sourire parle pour elle.
Olivia est célibataire. Niveau fonctionnalité, elle n’a pas l’air de se plaindre, avoue avoir des orgasmes, même si elle ne prétend pas connaître la jouissance d’une femme. Elle raconte à mi-voix ce moment unique, cette première fois, quand elle a fait l’amour avec un homme telle une jeune novice. «Tu te retrouves un peu conne, tu ne sais pas trop quoi faire, mais c’est génial de découvrir ça, je ne m’étais encore jamais senti aussi femme.»
Le changement de sexe n’est qu’une étape d’un long parcours du combattant.En 2001, elle commence sa métamorphose et cherche à prendre des hormones. Elle reproche à la France sa frilosité en matière d’accompagnement : «Accompagner, c’est empêcher qu’on se mette en danger. Aujourd’hui, il y a des salopards de droite qui sont homophobes, transphobes et qui veulent revenir en arrière.» Et elle s’indigne des conditions de changement d’état civil. «Imposer de passer par l’opération et la stérilisation, c’est barbare ! Tout ça pour ne pas avoir à gérer les situations de couples du même sexe avec des enfants.»
Avant Olivia, vivait Olivier. Proche de ses sœurs, le petit garçon pouvait passer des heures à les regarder se maquiller. Cette famille de petite bourgeoisie vit à Asnières-sur-Seine. Le père est officier dans la marine, la mère s’occupe des cinq enfants, Olivier est le dernier de la fratrie. Après des études scientifiques brillantes, il décroche un diplôme d’architecture. Sans parler de souffrance, Olivia se rappelle son malaise quotidien : «On veut être l’autre et c’est obsessionnel. Je me disais : « Je ne suis pas ce que je suis, je ne vis pas ce que je dois vivre. »» Plus tard, homme à femmes, marié deux fois, tout en parlant d’«arrangement», elle admet : «J’ai eu des moments merveilleux, je n’ai pas refusé mon sexe ni le plaisir qu’il me donnait. Mais, je n’étais pas le mâle dominant, c’était très tendre. Finalement, je vivais une certaine féminité dans mes rapports amoureux.»
Tout cela n’est qu’une partie de l’histoire. En 1992, effrayé par la montée de l’extrême droite, Olivier entre au Grand Orient de France (GODF), la principale obédience maçonnique française dont il partage les valeurs humanistes et progressistes. «Meurs et deviens», écrivait le maçon Goethe. Le «frère» veut être «sœur» dans une obédience exclusivement masculine depuis sa création, en 1728. Et là, les principes se heurtent à la réalité. Car, l’association qui se gargarise d’être universelle, la fière instigatrice de grandes avancées sociales reste constituée exclusivement d’hommes ! La majorité de ces messieurs ne considère toujours pas comme souhaitable la participation de l’autre partie de l’humanité à leur savante réflexion.
Pourtant, cette posture figée va évoluer. Le 11 janvier 2007, Olivia annonce à ses «frères» sa volonté de devenir femme. L’accueil est plutôt bon : «Ça va foutre le bordel, mais on est avec toi.» Il faut dire que la citadelle maçonnique est affaiblie par des années de débats internes sur l’ouverture aux femmes. Les
partisans de la mixité gagnent du terrain. Mise au pied du mur, la direction du GODF lui suggère de rejoindre une obédience féminine. Olivia s’obstine et refuse. Suite à un vote favorable, le Conseil de l’ordre accepte finalement Olivia Chaumont en tant que femme, tout en insistant sur le caractère exceptionnel de cette situation. Mais, la brèche est ouverte. Le Grand Orient devient mixte de fait.
Pour autant, Olivia Chaumont ne revendique pas la fonction de porte-parole d’une évolution vers la mixité et l’on s’aperçoit vite qu’elle a été dépassée par les conséquences de son action. Lucide, elle remarque : «Si je m’étais posée en militante, cela se serait sans doute plus mal passé.»
L’ampleur de l’événement la rattrape en septembre 2010, lorsqu’en tant que présidente de son atelier elle doit prendre la parole au Convent de Vichy, face à 1 200 hommes. Tailleur noir, décolleté, le moment est historique, elle est la première femme à prendre la parole lors de cette réunion annuelle. «Dans l’allée qui mène à la tribune, je sentais les regards peser sur moi et je regardais droit devant. On entendait les mouches voler. Je me suis dit : « Je ne vais pas pouvoir parler. »» Son allocution est saluée par l’assemblée. Guy Arcizet, grand maître du GODF, se souvient : «J’ai été très ému par son intervention. Elle s’est présentée avec distance et simplicité. Certains avaient prédit des jets de chaussures, mais pas du tout.» Il rend hommage à sa discrétion, sa conduite exemplaire tout au long du processus d’acceptation. «Elle a eu un rôle discret, mais évident. On était bien conscients des changements que sa présence apporterait.» Ce jour-là, une décision historique est prise : chaque loge sera désormais libre d’initier des femmes.
Etre maçonne, Olivia en est fière. De gauche tendance mélenchonniste, un besoin d’égalité, de justice sociale lui tient lieu de colonne vertébrale. Sa transformation l’a rendue encore plus lucide sur la place faite aux femmes dans notre société : «En passant de l’autre côté, je suis devenue plus féministe qu’une femme. Les injustices me sautent aux yeux !» Le plus grand chantier de cette architecte-maçonne : une société nouvelle où chacun aurait sa place, où le citoyen retrouverait son entière souveraineté, où la justice serait indépendante
et la presse libre et protégée. «La Ve République est à bout de souffle, mais je crois en la jeunesse et je suis sûre que les lendemains chanteront.» Une optimiste qui croit en l’humanité de l’homme.
Photo Léa Crespi
En 5 dates
30 octobre 1950 Naissance à Meudon. 1992 Entre au Grand Orient en tant qu’homme. 20 novembre 2007 Opération, change de sexe. 22 janvier 2007 Première femme inscrite officiellement au GODF. 2 septembre 2010 Convent de Vichy, les loges sont libres d’initier des femmes.
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Il m’aurait étonné que notre très cher JB31 ne trouve pas une ânerie plus grosse que lui à raconter sur ce sujet.
Rions, Rions, Rions !
@ JB31
Les beaux sentiments mis en avant par la FM ne sont pour beaucoup de francs-maçons que des caches misères.
La haine de la femme reste ce qui structure intellectuellement nombre de francs-maçons.
Elle est probablement pour chacun de ces blessés de la vie l’expression de leur désastre sentimental personnel.
Etant à la fois Dr Hyde et Dr Jekill je compatis en éclatant de rire.
J’oubliais un autre mal: celui de la commémoration. Les Francs-maçons n’y échappent pas.
inspirons nous de Pierre Nora: le foisonnement des lieux de mémoire devenant des objets de musée et la folie des passions commémoratives illustrent ensemble la mutation du significatif. Du représentatif on passe au tout venant.
Hélas par les temps qui courent pour le GODF .
C’est pourquoi je vois poindre l’idée saugrenue, car très tendance, que soit chanté, désormais à chaque ouverture du Convent du GODF, la mémoire de ce temps, instant originel de la première femme (sic) à y avoir pris la parole. Septembre 2010.
Il y aura le avant .. et le après.
Peut être même, poursuivra t-on dans le délire commémoratif par un calendrier maçonnique: Avant O.C. et après O.C. et qui sera appelé en toute simplicité: calendrier de la fraternité.
Concluons avec Vialatte « le progrès fait rage et le futur ne manque pas d’avenir »
Je partage totalement l’avis de Flupke. L’essentiel dans la situation d’Olivia, c’est que la loge (et son obédience) l’ont accompagnée dans sa démarche, ce qui est la plus grande preuve de fraternité qu’elle était en droit d’attendre d’elles.
Qu’Olivia ait joué un rôle dans le basculement de la majorité du GODF, peut-être mais ce n’est pas l’important. Quoi qu’il en soit, elle restera comme la première soeur du GODF a avoir pris la parole devant le convent de l’obédience.
J’adhère totalement à ce que dit Jiri.
Je remarque que dans le cas cité ce n’est pas tant finalement de l’acceptation des femmes au GODF que la reconnaissance d’un transsexuel qu’il s’agit.
Il n’y a qu’à lire, ou se souvenir des interview données alors dans les revues ou magazines spécialisées (dédiés serait plus juste non ?) par l’intéressé(e).
Cet article de Libé correspond plus à l’air du temps « communautariste » où il est de bon ton d’appartenir à une communauté et de se définir à partir de celle-ci. Plutôt que d’exister en tant que citoyen tout banalement. Il faut se distinguer par tous les moyens.
C’est le fameux « droit à la différence » qui ne convainc que les sots, car institutionnaliser les différences c’est faire exploser la société et la Laïcité.
Le compassionnel n’a rien à voir dans cette affaire.
Certains feraient bien de se souvenir de Brassens et « les trompettes de la renommée ».
Il est du meilleur goût aujourd’hui de dire « avec qui et dans quelles positions on plonge dans le stupre et la fornication » cela rappelé pour mémoire. et là on est dans le « devoir » de transparence.
Les deux maux de notre temps: le droit à la différence qui est une absurdité car la différence est par nature (il n’existe pas deux êtres identiques en tout point) et le devoir de transparence qui dépersonnalise !
Je cite : personne n’aurait l’idée de remettre en doute sa féminité : longue chevelure argentée, taille de guêpe dans un manteau de fourrure gris, pantalon de cuir noir, talons hauts.
Et si notre sœur était un garçon manqué, cheveux courts, aux formes callipyges, remettrions-nous en doute sa féminité ?
Quand je pense que c’est une femme qui a écrit cet article.
Pour en revenir au GO. Il est évident qu’aujourd’hui, aux yeux des profanes, des médias, il est la principale vitrine de notre ordre. Qu’on le veuille ou non. Que ses travaux soient conforment à l’idée que s’en font la majorité des maçons ou non. Que nous partagions ses points de vues ou non. Je suppose que pour nous tous (que nous en faisions parti ou non) nous devons être capable d’assumer tous ses travaux, tous ses grands moments et tous ses déboires. Il en va ainsi dans la cité, ou tout doit pouvoir se résumer à des concepts simples et aisément assimilable par la masse profane. « La franc-maçonnerie vient de devenir mixte », dont acte. Quand un profane qui connaît ma condition maçonnique me pose la question, je lui répond « Et oui, tout arrive, enfin ! » Et même si dans mon obédience, la mixité est très ancienne.
Trop d’explication tue la compréhension. Voyez les sondages pour l’extrême droite.
Pour celles et ceux qui voudront en savoir plus, ils feront la démarche de venir jusqu’à nos parvis, et apprendront notre histoire.
En ce qui me concerne je salue les membres de la loge qui ont accompagné ce frère devenu sœur.
Je suis étonné que personne ne relève le haut niveau de fraternité de ce groupe que l’on appelle loge.
Et après ce sont ces mêmes journalistes qui se plaignent que leurs ventes s’effondrent, sans accepter de voir que c’est toute cette accumulation de réductions, de manque de sérieux et de rigueur dans de nombreux domaines, qui leur fait perdre leur clientèle !
c’est effectivement écrit à la mode « Libé ».
Mais si comme Jiri l’écrit, c’est sans doute réducteur pour ceux qui ….
J’ai le souvenir d’avoir lu des écrits d’opposants à la liberté des Loges qui analysaient l’acceptation de notre Soeur comme le prélude de la mixité du GODF et en voulaient beaucoup au CO qui, par ce « geste « , avait initié le mouvement vers la reconnaissance des Soeurs.
J’ai, même, été témoin d’une discussion très dure à l’endroit de notre Sœur.
Disons qu’elle a eu sa place dans les discussions.
@Pichard
Ce qui est maçonniquement consternant, c’est de réagir comme une groupie du GODF et de n’être pas en mesure de lire convenablement un article du Blog Maçonnique. Celui-ci dit clairement que la journaliste, dans le châpo de son article, confond Franc-Maçonnerie et GODF. C’est une réalité et je ne vois pas en quoi ce serait une attaque contre le GODF de relever ce travers journalistique.
L’idée même que notre Soeur Olivia Chaumont aurait fait évoluer la franc-maçonnerie vers une acceptation des femmes paraît également un raccourci. Notre Soeur a certainement fait avancer la cause transsexuelle et certainement au sein d’une Obédience qui, jusqu’à elle, poussait les transsexuelles vers d’autres Obédiences. Rappelons également qu’un Grand Maître a bien rappelé que notre Soeur avait été initiée comme Frère. Son « non rejet » après son opération n’a pas de lien réel avec la cause de l’initiabilité des femmes au sein du GODF.
Enfin, dans l’article, la journaliste détaille l’intervention de la Soeur Olivia Chaumont au Convent de septembre 2010 et ajoute, après que son rôle a été évoqué: Ce jour-là, une décision historique est prise: chaque loge sera désormais libre d’initier des femmes. Comme si son intervention avait été le déclencheur de cette décision. C’est sans doute réducteur pour tous ceux qui ont défendu le principe du choix de la mixité pour chaque Loge.
Toujours dans le même principe, le Godf tire la couverture de son côté : »faire évoluer la franc-maçonnerie vers une acceptation des femmes »…. on en rirait même, on ne les a pas attendu pour cela….c’est faire fi de plus de cent ans de mixité acquise par la création du DH et de plus de 50 ans pour le mono-genre féminin par la Glff….. la position officielle des obédiences masculines de l’époque était diamétralement autre…..
Et puis le GO n’est pas mixte réellement, il permet seulement l’initiation de femmes….dans les loges qui le désirent…. La mixité initiatique est bien autre…..
Quel à priori contre le GODF !!! c’est franc maçonniquement consternant 🙂