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Géplu.
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Ce rappel était inutile. La question centrale est en fait la suivante : comment pratiquer sérieusement un rite importé, qui connaît des variantes plus ou moins prononcées d’une loge à l’autre en Ecosse, sans le voir mis en œuvre ‘in situ’ ; sans pouvoir recevoir de visiteurs écossais pour confronter les expériences ; sans pouvoir retourner régulièrement aux sources du rite ? Une gageure…bien hexagonale, que le GPdG, la GLNF, la GLAMF, et autres GLTSO n’hésitent cependant pas à relever. D’autant que ces obédiences se sont toutes attachées à vouloir standardiser un rite qui intrinsèquement ne l’est pas Il est vrai qu’on peut simplement se contenter de la convivialité, et occulter tout le reste.
Faut-il rappeler à « W.Schaw » qu’AUCUNE obédience française n’a plus la reconnaissance de la GL d’Ecosse. Et la GLNF n’a pas plus de légitimité pour cela que le GPdG.
Faut-il pour autant renonçer à pratiquer ce rite très convivial dans les loges françaises?
Grave méconnaissance ou volonté délibérée d’abuser le lecteur?
On est en effet fondé à s’interroger sur la démarche car :
– il n’est de ‘Rite écossais en Ecosse’ que le rite dit standard pratiqué en Ecosse par l’ensemble des loges bleues (Craft), incluant la degré de Marque, sous l’égide de la Grande Loge d’Ecosse fondée en 1736,
– Il n’existe pas en Ecosse de ‘hauts grades’ à l’instar du REAA, mais des ordres de Maçonnerie clairement autonomes et distincts de la GL (ex: Arche Royale, Lodge&Council, Cryptic, KT, etc) avec leur administration propre
– Il est pour le moins paradoxal de revendiquer des sources écossaises et de pratiquer un soi-disant ‘Rite écossais en Ecosse’ sans avoir le moindre droit d’inter-visite avec les loges écossaises qui ne reconnaissent pas le Grand Prieuré des Gaules. Il en va d’ailleurs de même de la GLUA et de la GL d’Irlande.