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Géplu.
Oui, côté chronologie Sylvain a raison et je ne sais si une fois la Chapelle construite on continua à louer à des « groupes amis ». Texeira Mendès fut un apôtre envoyé par l’Église du Brésil pour promouvoir la religion de l’humanité dans sa patrie d’origine où – il faut bien le dire – elle n’avait guère eu de succès. Beaucoup de Bibliothèques municipales conservent encore les plaquettes qu’il fit imprimer pour assurer sa mission.
Nous y avions organisé une réunion de l’IDERM il y a 20 ans. Le lieu reste émouvant. Belle notice dans Wikipédia.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Chapelle_de_l%27Humanit%C3%A9
L’immeuble du 5 rue Payenne n’a été acquis qu’en 1903/1904. En 1894 l’immeuble n’avait pas de lien particulier avec le positivisme d’autant plus qu’à l’époque il y avait une incertitude sur le 5 ou le 7 de la rue Payenne comme lieu du décès de Clotilde de Vaux.
A priori, aucun lien institutionnel entre la « Religion de l’Humanité » et la franc-maçonnerie. Bien sûr le positivisme gardait une grande influence sur les milieux républicains et progressistes… mais dans sa version plus conventionnelle et non dans les derniers rêves mystiques d’Auguste Comte. La « Chapelle de l’Humanité » était simplement louée par son propriétaire. Sa disposition intérieure se prêtait bien aux travaux maçonniques et diverses loges ou petits groupes initiatiques l’utilisèrent. Ainsi l’Ordre Martiniste de Papus y tint aussi ses travaux.