A propos des réseaux d’influence en Belgique

Publié par Jiri Pragman

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samedi 12 mars 2011
  • 2
    Hayt
    13 mars 2011 à 16h04 / Répondre

    De toute façon, il y aura toujours des personnes pour dire « c’était mieux avant » et d’autre pour croire au « complot mondial judéo-maçonno-financier ». Les laisser dos-à-dos est le plus simple (et le moins fatigant) à faire.

    Si chacun est sincère, l’influence ou l’absence d’influence n’a de toute façon aucune importance. Je dirais même que la perte d’influence est une bonne chose: elle éloigne les personnes motivées par de « mauvaises » raisons.

  • 1
    apprenti
    12 mars 2011 à 17h24 / Répondre

    Donc si nous nous multiplions dans plusieurs obédiences nous perdons notre cohésion interne ? Si nous abandonnons notre influence nous sommes en déclin ? Si nous recrutons parmi les classes moyennes nous sommes en crise ?

    Et dire qu’il y a peu, on nous reprochait notre hégémonisme, notre élitisme et notre main mise sur la gouvernance mondiale.

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