Limoges 030217

A Limoges, gros doutes sur le temple maçonnique « oublié »

Publié par Géplu
Dans Divers

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
dimanche 5 février 2017
  • 7
    lamouline
    12 février 2017 à 16h43 / Répondre

    Cette histoire sent un peu le soufre, mais est amusante. Je me demande en effet pourquoi une loge possèderait trois modèles de verres. Une hypothèse: un pour l’apéro, un pour le plat et un pour le digestif…

  • 6
    Hiram83130
    12 février 2017 à 11h25 / Répondre

    Par le Temple les marchands sont toujours attirés !!

  • 5
    Jacqueline Prévot
    5 février 2017 à 19h22 / Répondre

    ces verres avec un pied épais étaient utilisés pendant les banquets rituels

  • 4
    Charles J.
    5 février 2017 à 18h15 / Répondre

    Tant que le doute subsiste… Et que certains l’entretiennent !

  • 3
    Il rame
    5 février 2017 à 12h54 / Répondre

    LOL j’ai les meme verres….

  • 2
    Jovis
    5 février 2017 à 12h42 / Répondre

    Enfin une remise à niveau utile !
    Qu’est-ce qui pousse le journaliste à faire mousser ainsi un futur bar à bières ? Il est notable que si les autres personnes sont interdites d’accès, les portes lui sont déjà grandes ouvertes… permettant judicieusement de suivre l’avancée des travaux !
    Les verres photographiés – qui peuvent faire rebondir le buzz – ressemblent étrangement à ceux que l’on peut acheter sur certains sites en ligne – 3 formats différents, 3 gravures attirantes !
    Un huissier limougeaud sérieux pourrait-il faire un constat !!!
    Je conseille au propriétaire/créateur une ouverture le 1er avril prochain…
    Ah ces marchands du Temple !

    • 8
      NADALON
      12 février 2017 à 18h42 / Répondre

      Reprenons le texte du savant rédacteur:
      «  »Il n’en est malheureusement rien. Si la loge des « Amis réunis » a effectivement tenu ses assises dans l’ancien couvent des Récollets de Saint-François qui occupait l’emplacement de l’ancienne bibliothèque, les vestiges du couvent ont entièrement disparu lors de la construction de 1896. Les structures découvertes correspondent aux fondations sur radier, système constructif très utilisé à Limoges pour édifier des immeubles sur des terrains meubles » »
      A lui seul, le fait d’affirmer de façon péremptoire, livre une idée complète de la compétence du rédacteur.
      1) Il ne s’agit pas de fondation sur radier
      2) Qui peut affirmer qu’il ne reste rien du couvent??
      et en 3/ le fait que vous ne soyez pas en accord avec le journaliste ne devrait pas pour autant vous faire porter la casquette de l’adversaire ou de l’ennemi !
      Je ne parle pas des railleries et autres suspicions acariatres
      Je pense que certains devraient sortir respirer le grand air et chasser les araignées

  • 1
    Lionel MAINE
    5 février 2017 à 11h20 / Répondre

    De l’art de limoger la vérité historique !

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous