« Pour rester libre un média ne doit dépendre que de ses lecteurs »
Amis lecteurs, Frères, Sœurs, ou profanes,
La gestion professionnelle et indépendante d’Hiram.be, Le Blog Maçonnique a un coût, qui croît régulièrement. Aussi, afin d’assurer la pérennité du blog et de maintenir sa qualité, je me vois contraint de rendre son accès payant. Rassurez-vous, la somme demandée est très minime : 20 € par an !
De plus, afin de ne pas « racketter » les nombreux visiteurs occasionnels et de permettre aux nouveaux lecteurs de découvrir un peu le blog avant de s’y abonner, la consultation de trois articles est offerte aux non abonnés. Mais dans tous les cas, afin de pouvoir gérer ces gratuits et l’accès permanent, la création d'un compte est préalablement nécessaire.*
Alors, si vous aimez Hiram.be et êtes satisfaits du service d’informations maçonniques qu'il vous rend chaque jour, soutenez-le, créez votre compte et réglez dès aujourd’hui vos 20 € pour votre accès permanent et illimité d'un an au blog.
D’avance je vous en remercie.
Géplu.
* Je certifie qu’Hiram.be ne fera aucun commerce et ne transmettra à personne les données recueillies, collectées à la seule fin de la gestion de ses abonnements. Géplu.
La curiosité aidant, je viens de consulter un site que je cite ci de temps à autre, Place des Libraires.
Les Francs-maçons, mais également les profanes avides de connaissances maçonniques, pourront trouver ce livre de Pierre Noël aussi bien chez des libraires à Nice qu’à Aix-en-Provence, à Royan comme à Vienne (Isère, pour l’Autriche, je ne peux répondre), à Gourdon dans le Lot, à Cherbourg et Nancy, ainsi qu’à Perpignan, Chambery ou Amiens. Pour ne rien dire de Paris.
A peine sorti et déjà bien distribué en librairie.
C’est bien.
Et Noël approche.
Non Pierre, là je ne parlais pas de toi (facile….).
@ LL : Merci de l’annonce. Je mentirais si je disais que cela ne me fait pas plaisir !
Je me suis bien amusé en écrivant ce livre, comme je me suis (presque) toujours bien amusé dans mon parcours maçonnique, en tentant d’échapper à l’esprit de sérieux qui caractérise certains cénacles maçonniques.
Le CV de notre frère Pierre est au sens premier du terme remarquable, personnellement je n’en savais pas tout cela.
Avide de parfaire ma connaissance maçonnique, est-ce cependant indiscret de demander ce que peuvent signifier les mentions « CBCS » et « installé KT à Londres »?
La réception dans chaque grade/degré, bleu ou postérieur, est désignée par un nom spécifique : initiation pour l’apprenti, élévation pour le maître, exaltation pour l’arche/arc royal(e), avancement pour la marque … et ainsi de suite. Pour le KT (knight templar), le terme est « installation ». CBCS est le 6° grade du RER (pratiqué partout en France, même au GO). Tous ces « hauts-grades » viennent très naturellement avec l’âge, càd l’ancienneté (pourvu qu’on en ait envie). Faut pas en faire un plat !
Merci MTCF Pierre pour le complément d’information.
C’est vrai que je n’ai pas spontanément pensé au RER, alors que je sais qu’il est pratiqué en mon obédience, au GODF, j’ai d’ailleurs eu l’occasion de visiter du RER et au GODF, on m’y avait même invité.
Quant au KT, je soupçonnais, grâce au K certainement, une british appellation.
C’est très bien.
La préhistoire de la Fraternité des « Maçons libres » est semée de
vestiges : allusions brèves, pamphlets sibyllins, catéchismes
obscurs. Ils apparaissent de ci de là sous l’épaisseur de l’histoire sociale,
politique et littéraire de l’Âge classique. la trame qui les unit est perdue.
On ne sait le plus souvent ni où ni quand ils
furent rédigés, on ignore à quoi ils servaient et par qui ils furent utilisés.
Dans ces conditions, mieux vaut, disent les érudits de l’École « authentique », s’abstenir de commentaires, a fortiori de conclusions, et se contenter de ressasser ad nauseam les rares données assurées. L’attitude
est prudente, mais stérile. Elle a en outre le grave inconvénient de laisser le champ libre à toutes les divagations et à tous les fantasmes. Les Francs-Maçons, comme tous les hommes, aiment les belles histoires et
les fables qui finissent bien. Ils ont besoin qu’on leur raconte que leur
société fut fondée par Salomon, les Templiers de saint Bernard, les
bâtisseurs médiévaux ou les Rose-Croix de l’Âge classique. Or c’est justement ce que leur enseignent les rituels eux-mêmes !