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Géplu.
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Je connais un franc-maçon qui, il y a quelques anées, suivaient la formation pour devenir inspecteur de l’enseignement. Un de ses frères lui dit un jour « comme tu es de chez nous, pas de problème! ». Le candidat inspecteur abandonna alors la poursuite de sa formation. Chapeau l’artiste !
Si sous la IIIe République les maçons étaient très présents dans l’hémicycle ce n’est plus le cas sous la Ve. Pour tenter de favoriser un vote aujourd’hui il est plus efficace de brandir son coupe-cigare que de lancer un cri de détresse. Ce signal ne doit d’ailleurs être employé qu’en cas de péril.
En France, en juin 1899, en plein cœur d’un débat houleux à l’assemblée nationale, l’ancien ministre, le député et franc-maçon Henri Brisson, du haut de la tribune, prend une posture peu ordinaire. Il croise les doigts, tend les bras au-dessus de sa tête, renverse son corps en arrière et lance un « à moi les enfants de la veuve ! ». Ce cri, dit-on aurait permis de rallier les députés francs-maçons présents et sauver le ministère Waldeck-Rousseau. Légende ou fait historique ? la vérité s’est perdue mais l’histoire est tenace.
Philippe Benhamou