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Géplu.
Si la FM veut se séparer de son héritage et de ses racines,se déconsidérer davantage et offrir aux historiens le récit d’une débacle il faut ajouter l’écriture inclusive pour nos Rituels.
Bonne chance pour les futurs Surveillants (et tous les autres.)
J’avoue aussi que l’écriture inclusive exerce sur moi comme un effet repoussoir.
Pourtant j’aime lire et j’aime les livres. Et j’en achète quelques uns….
Mais peut-être que certains auteurs n’aiment pas la langue et ne cherchent pas vraiment à séduire le lecteur. C’est possible.
Personnellement j’en suis encore à certains fondamentaux du style: » ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément ».
Je n’ai pas l’impression qu’avec l’écriture inclusive les mots arrivent aisément. C’est fort dommage.
Il est des ateliers d’une certaine obédience où les instructions des AA se font en loge autour ou face au tapis. Les Maîtres et les CC sont là; et c’est extrêmement profitable à tout le monde – quel que soit le tablier.
Rien que le titre- mis en écriture inclusive- me rebute.
D’autre part, qu’est-ce que les « tenues d’instruction » dont il est question dans le sommaire? L’instruction ,ou plutôt l’information, ça ne se fait pas en tenue, ou alors?
Voici une nouvelle maison d’éditions avec un tout petit catalogue pour l’heure mais qui va peut-être se développer ?
On imagine assez facilement qu’après un livre sur l’apprenti, les auteurs vont continuer sur le compagnon puis le maître ?
Ceci dit, j’observe comme un regain d’intérêt littéraire pour les grades bleus du rite français sous toutes leurs formes, avec ce livre mais aussi après le triptyque alchimique et le vade mecum de Alain Mucchielli aux éditions de la Tarente, l’excellent « Le rite français : une construction dialectique entre démarche initiatique et engagement social » de Didier Molines chez Cepadues, ou encore la trilogie qui tarde à venir de Gérard Contremoulin chez Detrad Avs.