Jonathan Spence, Pro Grand Maître de la Grande Loge Unie d'Angleterre (UGLE),
Carol Cole, Grand Maître de l'Honorable Fraternité des Anciens Francs-Maçons (HFAF),
et Zuzanka Daniella Penn, Grand Maître de l'Ordre des Femmes Francs-Maçons (OWF).

Angleterre : La GLUA et les GL féminines créent un « conseil » commun

Publié par Géplu
Dans Divers

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vendredi 16 août 2024
  • 6
    Yvan d’Alpha
    17 août 2024 à 13h25 / Répondre

    Les deux obédience féminines traditionalistes dont il est questions ici, ont-elles des relations avec une quelconque ou plusieurs obédiences féminines françaises ?

  • 4
    Joab’s
    17 août 2024 à 11h09 / Répondre

    En effet, la GLUA est en bonne voie pour sortir du sexisme, cette honte dont se vantent des obédiences en France , sexisme qu’elles imposent à leurs loges, loges « libres » d’aller voir ailleurs…
    En effet la LNF de roger Dachez a su évoluer dignement de cette triste coutume du sexisme et nous montre une image apaisée avec un travail traditionnel anglais dans des loges ou plus personne n’évoque cette triste coutume.

    • 5
      Yasfaloth
      17 août 2024 à 12h05 / Répondre

      Méthode Coué quand tu nous tiens ! 🙂
      .
      Tu as lu le dernier paragraphe ?

  • 2
    Cécile Revauger
    16 août 2024 à 13h45 / Répondre

    Pour ma part je n’ai rien à ajouter au dernier paragraphe de GEPLU. Tout est dit!

    • 3
      Brumaire
      16 août 2024 à 17h22 / Répondre

      Alors pourquoi faire des phrases qui ne servent à rien?

  • 1
    Yvan d’Alpha.
    16 août 2024 à 9h49 / Répondre

    Chaque information consacrée à la maçonnerie britannique mérite d’être lue en faisant abstraction de notre conception franco française de la maçonnerie. La maçonnerie anglaise, ce n’est pas la maçonnerie du Grand Orient de France. Et ce n’est pas non plus celle de la Grande Loge Nationale Française qui bien que très proche de la conception britannique, s’est aussi construite en opposition à la pratique du GO.
    Ce n’est que mon opinion, mais si on veut quelque chose de très proche de la maçonnerie britannique, il faut surtout regarder du côté des loges qui en France travaillent au rite anglais de style émulation et plus particulièrement, du côté des loges LNFU (bien que mixtes) dont la pratique est très fidèle à la lettre et l’esprit.
    Pour ce qui est de « l’alliance » anglo-galloise, n’est-ce pas une forme de féminisme conservateur très anglaise de la part de la GLUA d’encourager au développement de la maçonnerie féminine ?

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