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Je te rassure ; la citation que je fais est une généralité et ne concerne pas un petit cas particulier, après tout de peu d’importance.
Des querelles de famille, la maçonnerie en a connu un « grand nombre ». Elle survit, mais un peu comme le Titanic après sa rencontre avec un iceberg. Dont Goering disait : encore un coup des juifs…
« Elle survit, mais un peu comme le Titanic après sa rencontre avec un iceberg. » Merci Jean. L’image est bien réelle, belle et triste à la fois. Les rescapés sauveront-ils notre belle fraternité ? J’ose l’espérer.
« Le plus grand nombre est toujours subjugué par les voluptés de la servitude ».
André Comte-Sponville
Rassure nous… tu ne confonds pas servitude et loyauté par hasard ?
Tentons une approche différente mais tout aussi exacte.
Nos Ff de la glnf sont TOTALEMENT LIBRES .
Libres de visiter et recevoir qui ils veulent. C’est une liberté fondamentale quelques soient les volontés anti-maconniques d’entraver cette liberté.
Et tous ceux qui la pratiquent en sont heureux.
3 membres de loge glnf prevus a notre prochaine tenue.
Quelques soient les grognements de militants d’obédience, telle est la réalité. Réalité heureuse et fraternelle tranchant avec des discours grincheux.
Donc que tous sachent vivre cette liberté pour travailler maçonner ensemble.
Je rappelle ce qui déchaînait certains ici : . Je suis resté des années membre de loge Glua et officier de glefu. C’était pourtant bien banal et riche quand on le vit en macons. Insultes, colère de militants.
Donc que nos ff sachent vivre leur fm rien ne les oblige à quitter leur obédience .
Bien sûr di certains ici peuvent nous exposer ce que leur apporte cette soumission.
On peut aussi comprendre la trouille des oppresseurs que leurs adhérents constatent l’inutilité (euphémisme) des dérives obédientielles prétendues “sacrées “.
C’est quand même curieux, il y a des personnes qui, toute leur vie, ne perçoivent rien comme il faut pour bien en juger. Il y a tant de choses qui ne sont pas (ou si mal) comprises. Il y a tant de choses qui ne valent pas d’être dites. Et il y tant de gens qui ne valent pas que les choses leur soient dites. – Cela fait beaucoup de silence.
Brumaire … c’est toujours cette reponse bizarre… en fait tous macons sont nos FF y compris ceux de la Glnf( même si on leur inculque le sectarisme). Donc nous sommes tous concernés par les contraintes abusives, non d nos FF mais de l’organisation.
C’est elle qui est visee, mais lâchement nos Ff son utilisés comm “bouclier humain “ .
Il n’y a aucune raison de ménager les obédiences, leurs regles.
Et beaucoup d nos Ff de la glnf (pas seulement) sont heureux de constater qu’ils peuvent maçonner ailleurs sans ces contraintes bébêtes.
Ne serait-ce pas notre devoir de fraternité de leur témoigner cela?
Inversement, je ne comprends pas pourquoi des solidarités extérieures s’affirment, non a nos ff mais a des organismes.
Et si « on » fichait la paix aux FF de la GLNF qui savent bien où ils ont mis les pieds! Il y a suffisamment de choix pour trouver l’endroit où on sera bien!
Juste une chose: qu’on nous ( les SS et les FF des obédiences libérales) reconnaisse comme des FF et SS
@pnoel : cette question de “croyance “ est donc du baratin futile? Mais qui excite ceux qui se soumettent contre d’autres FM ?
Comme les “anciens devoirs” ?
On constatera votre leitmotiv: “les mécontents n’ont qu’à aller voir ailleurs, on leur accorde cette liberté “
On peut appliquer ce meme raisonnement aux F musulmans, talibans, OTS, t. Jehovah ?( indepedemment de la gravité du sectarisme..,).
Nb : je confirme, oui, qu’a la glnf alors, j’avais initié un musulman qui a pris son obligation sur le Coran.
1 In the beginning God created the heaven and the earth.
2 And the earth was without form, and void; and darkness was upon the face of the deep. And the Spirit of God moved upon the face of the waters.
3 And God said, Let there be light: and there was light.
4 And God saw the light, that it was good: and God divided the light from the darkness.
5 And God called the light Day, and the darkness he called Night. And the evening and the morning were the first day … (Genèse, I)
Chante, Déesse, du Pèlèiade Akhilleus la colère désastreuse, qui de maux infinis accabla les Akhaiens, et précipita chez Aidès tant de fortes âmes de héros, livrés eux-mêmes en pâture aux chiens et à tous les oiseaux carnassiers. Et le dessein de Zeus s’accomplissait ainsi, depuis qu’une querelle avait divisé l’Atréide, roi des hommes, et le divin Akhilleus. Qui d’entre les Dieux les jeta dans cette dissension ? Le fils de Zeus et de Lètô. Irrité contre le Roi, il suscita dans l’armée un mal mortel, et les peuples périssaient, parce que l’Atréide avait couvert d’opprobre Khrysès le sacrificateur. Et celui-ci était venu vers les nefs rapides des Akhaiens pour racheter sa fille ; et, portant le prix infini de l’affranchissement, et, dans ses mains, les bandelettes de l’Archer Apollôn, suspendues au sceptre d’or, il conjura tous les Akhaiens, et surtout les deux Atréides, princes des peuples (Iliade, premier chapitre) …
AU FOND DU TERRIER. (Alice in wonderland, chap I)
ALICE, assise auprès de sa sœur sur le gazon, commençait à s’ennuyer de rester là à ne rien faire ; une ou deux fois elle avait jeté les yeux sur le livre que lisait sa sœur ; mais quoi ! pas d’images, pas de dialogues ! « La belle avance, » pensait Alice, « qu’un livre sans images, sans causeries ! »
Elle s’était mise à réfléchir, (tant bien que mal, car la chaleur du jour l’endormait et la rendait lourde,) se demandant si le plaisir de faire une couronne de marguerites valait bien la peine de se lever et de cueillir les fleurs, quand tout à coup un lapin blanc aux yeux roses passa près d’elle. Il n’y avait rien là de bien étonnant, et Alice ne trouva même pas très-extraordinaire d’entendre parler le Lapin qui se disait : « Ah ! j’arriverai trop tard ! » (En y songeant après, il lui sembla bien qu’elle aurait dû s’en étonner, mais sur le moment cela lui avait paru tout naturel.) Cependant, quand le Lapin vint à tirer une montre de son gousset, la regarda, puis se prit à courir de plus belle, Alice sauta sur ses pieds, frappée de cette idée que jamais elle n’avait vu de lapin avec un gousset et une montre. Entraînée par la curiosité elle s’élança sur ses traces à travers le champ, et arriva tout juste à temps pour le voir disparaître dans un large trou au pied d’une haie. Un instant après, Alice était à la poursuite du Lapin dans le terrier, sans songer comment elle en sortirait…
Quoi de plus beau et plaisant que ces extraits poétiques, où l’imagination devient inspiration et celle-ci œuvre d’art ? Séparer la lumière de l’obscurité, porter les bandelettes de l’arc divin dans les nefs rapides ou ne pas s’étonner qu’un lapin parle ? Mais, pour les pieds nickelés de ce feuilleton si aimé, il faut y voir la tare indélébile de « la croyance » insupportable pour tout esprit élevé dans les écoles bien-pensantes et donc fulminer un ultime anathème. (Ils en oublient la marquise).
Comment appelle-t-on une communauté dont obligation est faite pour y appartenir de croire en Dieu et sa Volonté révélée, où sont pratiqués des rituels qui répondent des principes religieux, dont le Volume de la Loi Sacrée est la Bible et dont la finalité est la compréhension du sens véritable des textes bibliques ?
La GLNF, certes, mais encore ?
Merci , yasfa, de confirmer , montrer en direct ce que j’énonçais sur ce comportement tres méprisant.
Dans mon cas tu confonds mépris avec commisération…
18 – Ce qui est pire. Joab’s était donc très en-dessous de la réalité.
Tu n’étais pas Maître Secret à un moment ? C’était un bon moment, calme, silencieux.
On constate cette solidarité entre ceux pour qui la liberté est celle d’àller voir ailleurs: femmes, non sexistes, respectueux de la laïcité, du droit a croire ou pas …
Et les mêmes piétinent les autres FM, tout en leur accordant(qu’elle générosité!) d’aller maçonner ailleurs. Révélateur d’une mentalité bien particulière inculquée dans ces groupes. On notera que l’allégeance au machin obédientiel prévaut pour eux à toute fraternité maçonnique.
On pourra noter aussi l’absurdité totale de cette obligation : comment s’assurent ils que cette condition soit disant essentielle est sincère … et ne change pas … rien , évidemment.
Leur reste à se complaire dans la propagande farfelue qu eux, is seraient « dans La tradition » … triste constat de voir que des FM se réclamant des 3lumieres sombrent dans de telles crédulités.
Gageons que eux qui rejettent et méprisent donc des FM, pas sous leur même allégeance qu’eux vont nous faire un numéro d’offusqués. Les bordées d’insultes vont certainement pleuvoir… allez-y !
Pavlov a encore frappé !
🙂
MMTTCCFF
Je fais partie de la GLRB – Grande Loge Régulière de Belgique – où nous respectons également les Landmarks ( pas de visites à d’autres obédiences, pas de Femmes, croyance obligatoire, pas de politique ni religion )
Le profane le sait lors des enquêtes et est encore libre de ne pas adhérer ou s’engager.
Très important, il y a cette « obligation de croyance « en Dieu, être supérieur que l’on appelle le GADLU et que l’on a la liberté de définir, puisque la Franc-Maçonnerie ne le fait pas.
Autrement dit, avec humour, si j’ai envie de définir mon chat et de croire en lui………….
Donc il n’y a pas lieu de se dire que les maçons « déïstes », comme on nous appelle ( ce qui m’irrite), soient à ce point braqués sur ce point.
A 7 – En effet mon cher F, Yasfaloth, je suis de concert avec ton commentaire. De même qu’il ne viendrait à personne l’idée d’aller aux Seychelles si l’on n’aime pas la chaleur, on n’adhère pas à une association « si on n’est pas d’accord avec ses principes ».
Au demeurant, en FM il est donné à vivre à tout un chacun une spiritualité sans référence aux dieux des religions. En effet le mot spiritualité ne signifie pas autre chose que « vie de l’esprit dans sa relation avec l’Absolu ou l’infini » Et c’est quoi l’absolu ou l’infini ? Toutes les appellations lui conviennent, et il y en a autant que d’Hommes qui pensent.
Ce point fut évoqué à de nombreuses reprises dans ces colonnes et les intéressés pourront le re-confirmer si nécessaire : l’impétrant à la GLNF peut à ma connaissance prêter serment sur le livre qu’il considère comme sacré pour lui-même (la liste est longue outre bible, coran et torah, etc.). Donc pas nécessairement sur la bible (celle-ci étant néanmoins toujours présente pendant les travaux).
Cher Will iam,
Pour la GLNF, voici que qu’elle considère comme livres saints et livres sacrés. Les livres saints doivent présenter les caractéristiques fondamentales de révélation, ce sont la Bible (Ancien et Nouveau Testament), seul Volume de la Loi Sacrée (VLS), le Coran des Musulmans (ne peut être le VLS), la Torah du judaïsme (ne peut être le VLS). Par ailleurs, outre ces livres saints, elle admet comme livres sacrés pour le serment ou obligation les quatre livres, de la doctrine de Confucius, le Tao Teh King des taoïstes, le Tripitaka – le canon « en trois corbeilles » – du bouddhisme, les Vedas de l’hindouisme ainsi que le Zend Avesta du zoroastrisme.
Leur Règle en 12 points qui date de 1968 stipule en son point « 7 – Les Francs-Maçons prennent leurs obligations sur un Volume de la Loi Sacrée, afin de donner au serment prêté sur celui-ci, le caractère solennel et sacré indispensable à sa pérennité. »
Au Rite Écossais Rectifié, le serment se prête toujours sur la Bible, comprenant l’Ancien et le Nouveau Testament, toujours ouvert au prologue de l’Évangile selon Jean et pas un autre livre…
A 1- Croire qu’il y quelque chose plutôt que rien. Quelque chose qui nous dépasse… Toutes les appellations lui conviennent. L’esprit prime sur la lettre.
« Etre croyant » dans l’esprit GLNF, ce n’est pas croire en quelque chose qui nous dépasse, mais bien en Dieu. C’est d’ailleurs dit en toutes lettres dans les textes.
Et puis, c’est bien sur la Bible que l’impétrant prête serment. Pas sur quelque chose d’indéfini… La lettre prime bien sur l’esprit, si je puis me permettre.
Et après ? Où est le problème ? Et pour qui est-il ?
« Il est néanmoins nécessaire d’être croyant ». Et la liberté de conscience ? Elle n’existe pas à la GLNF ?
Même si l’on entend souvent que « Croire en Dieu élève l’Homme », pour moi la spiritualité (vie de l’esprit) n’a pas besoin d’une croyance quelle qu’elle soit pour aider l’homme à s’élever. Bien au contraire.
Mon Très Cher Frère, qui te conteste le droit de considérer que la spiritualité n’a pas besoin d’une croyance ? Cela s’appelle la laïcité que de laisser à chacun sa liberté de croire ou de ne pas croire. Mais, pour ce qui la concerne, la GLNF s’inscrit dans la continuité de la tradition maçonnique qui, des Anciens Devoirs jusqu’aux Constitutions d’Anderson, fait de la croyance en Dieu – sans connotation confessionnelle, théologique ou cultuelle – l’un des fondamentaux, sinon le fondamental, de sa spiritualité, dont la pratique se fonde sur des mythes issus des textes vétéro-testamentaires. D’autres Obédiences ont une autre vision et c’est naturellement leur droit le plus absolu, comme c’est le droit le plus absolu de la GLNF de s’inscrire dans cette tradition comme une majorité des Obédiences et des Maçons dans le monde.
J’ajoute que, si pour les raisons que je viens d’indiquer, le Volume de la Loi Sacrée qui est, avec le Compas et l’Equerre, présent en Loge est la Bible, l’impétrant prononce son serment sur ce qu’il considère comme le Volume de la Loi Sacrée (par exemple, le Coran pour nos Frères Musulmans) et non pas systématiquement sur la Bible.
Je ne suis pas à la GLNF mais la liberté, y compris de conscience elle est de ne pas adhérer à la GLNF si on n’est pas d’accord avec ses principes, les « landmarks » qui la fondent.
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J’ai un peu de mal avec ce genre de considérations, les Frères et Sœurs qui entrent en M.°. sont des adultes responsables qui le font en toute conscience, en principe ils se sont entretenus avec le président de la loge à laquelle ils postulent, ont pu dialoguer avec leurs enquêteurs, on très souvent un parrain M.°. , ils doivent savoir où ils « mettent les pieds ».
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S’ils souhaitent vivre une spiritualité sans référence à Dieu ils ont le choix, mais qui sommes nous pour critiquer le cheminement de ceux qui choisissent autrement que nous, s’ils sont sincères ?
#1 « Il est néanmoins nécessaire d’être croyant ». Et la liberté de conscience ? Elle n’existe pas à la GLNF ? ».
la liberté de conscience, c’est de ne croire en rien ou à tout, podfermil !! Deux vues de l’esprit!
Certains vous répondront que, in fine, c’est la même chose ! Au Kamtshatka comme dans le Luberon.