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Géplu.
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Une remarque: l’absence de représentant de la GL-AMF
Une question: s’agissant d’une rencontre inter- OBEDIENCIELLE, que viennent faire ici les étalages d’appartenance de certain(es) au 5e ordre du RF, au SCFF ou au GPF? Faudrait il y voir un gage de compétence? J’apprécie à cet égard la discrétion des autres participants.
Parce qu’´Il n’a pas besoin de dire pour exprimer, une manifestation quelconque, mais le genre humain ne sait pas regarder. Hugo a dit « la Nature parle mais le genre humain n’entend pas. » PN a raison.
à PN (8) & Luciole (10)
Qui ne dit mot consent ! 😉
À la question posée par les Amphis (qui fait que le gadl’u n’est plus pris dans son sens symbolique), on pourrait répondre sans crainte de se tromper : qu’à l’heure de la conquête spatiale on voit bien où notre grand architecte ne réside pas.
Ce que j’aime bien dans le GADLU, c’est qu’il ne dit jamais rien.
Bien dit ! 😊 Et l’être humain qui d’ailleurs ne sait rien, parle de « ça » (et fait conférence) quand il cesse d’être en paix avec ses pensées ? Ou pour le gain ? Ou pour les deux à la fois ?
à PN 8 Il ne dit pas autre chose non plus.
Que peut-on dire de plus quand on ne dit rien, jamais ?
Cela rappelle la légende du Grand Inquisiteur de Dostoievski. l’inquisiteur parle, parle, dénonce, menace, condamne … Jésus ne dit rien et finalement s’en va, laissant l’autre sans voix.
Le GADLU ne dit jamais rien….
… et si le GADLU n’était qu’un apprenti?
Mais éternel apprenti. Non?
A 13 Lazare – Dans un monde en mouvement, où tout est en devenir, c’est difficile à imaginer. Non ? 😊
Question insoluble que celle posée par les Amphis! Ça se saurait depuis longtemps s’il y avait une réponse!
Le débat tournera autour de quoi si les participants ne s’aventurent pas dans le domaine métaphysique qui est exclusivement personnel?
Mes FF, Ce que Nous disons en croyant le penser en dit long sur ce que parfois nous croyons être et que manifestement nous ne sommes pas. Du reste il me semble que nous nous écartons du sujet « Y-a-t-il un grand architecte De l’univers » ? Cela posé, du fait qu’en dehors du grand tout rien n’existe, notre fameux architecte, s’il existe, est bien Dans l’univers et non de l’univers.
Chacun aura sa définition de la franc maçonnerie. Pour ma part, elle exclut toutes les tentatives même déguisées de prêchi prêcha et surtout, elle exclut de mon vocabulaire le verbe croire pour lui préférer le verbe penser.
De fait, quand je pense j’argumente et quand je crois je suppose.
2 – J’espère que, quand tu interviens dans ta loge en croyant penser et en croyant argumenter, ton discour ne se transforme pas en un prêchi-prêcha indigeste pour tes S. et F. auditeurs. 😉
@ Yvan d’Alpha (2).
Bien sûr que chacun aura sa définition de la Franc-maçonnerie, et même sa définition du GADLU.
–
Et comme nous sommes, au niveau français, environ 170 à 180 000 frères et soeurs, toutes obédiences confondues, dont les six conviées à Lyon, le ressenti personnel de chacun importe assez peu finalement.
Puisqu’il sera assez difficile de faire une synthèse de 180 000 points de vue individuels.
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Ce qui me semble intéressant dans cette initiative lyonnaise,c’est le traitement inter-obédientiel de ces questions. La confrontation des points de vue, l’échange, qui peut être riche d’enseignements.
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Quant à l’opposition des verbes croire et penser est-elle vraiment si frontale?
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Comme si on opposait aussi rationalité et croyance?
Science et religion?
Progrès et fondamentalisme?
La difficulté, ou ce qui est délicat en l’occurrence, c’est que le verbe croire ne s’applique pas qu’à la religion, et le verbe penser ne s’applique pas qu’à ce qui relève de l’esprit.
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Surtout quand en plus le terme spiritualité , qui ne devrait recouvrir que ce qui touche à l’esprit, a pu être absorbé, ou détourné, ou dévoyé par la religion.
Tout est dans tout et inversement.
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En foi (involontaire ou volontaire de ma part?) de quoi j’ai beaucoup de mal à Penser que le verbe Croire soit aboli totalement de ton propre vocabulaire.
Les mots existent tous, ils sont des outils à notre disposition.
Ils ont leur histoire, de possibles évolutions au cours du temps, des significations différentes selon les contextes de leur emploi. Les mots peuvent nous jouer des tours.
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Je crois bien (mince, le verbe croire…) qu’il me serait difficile, là tout de suite, ici et maintenant de pouvoir affirmer que tel mot ou tel verbe est exclu de mon vocabulaire personnel.
En tout cas, je m’en garderai bien, car en matière de langue, comme dans d’autres domaines, je préfère avoir la prudence de ne pas affirmer que de telle fontaine je ne boirai jamais de l’eau.
–
Et si je puis me permettre une petite pensée malicieuse:
Peut-être pourrais-tu essayer, pendant une semaine, ou ne serait-ce qu’une journée, de voir si vraiment tu te passes réellement de l’emploi du verbe croire?
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A cet égard, nous sommes vraiment peu d’entre-nous à avoir le talent de Georges Perec.
Cet écrivain qui avait écrit un livre ( « La disparition ») en se fixant pour règle de n’utiliser que 25 lettres de l’alphabet, et en omettant volontairement l’une d’elle pendant tout le livre.
2 – entre les grenouilles et les philosophes, tu comprends mon TCF Yvan que ta (notre) vision de ce que devrait produire la (juste) pratique maçonnique ce n’est pas pour demain.
Ils en ont, chacun dans leur genre, fait justement un prêchi-prêcha où les idées les plus indigentes ont droit de citer dès lors qu’elles n’expriment pas de violence.
Bref, l’insipide hissé au rang de vertu, en trois lignes lapidaires ou 40 sirupeuses, d’un intérêt majeur, ça va de soit.
Meilleurs vœux à tous !
« De » l’univers : je ne crois pas « Dans » l’univers, c’est possible.