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Géplu.
Fin de vie, choisir sa mort…
A l’approche de Pâques …vaste sujet..
Belle journée à vous tous,
…
Dans l’expression « suicide assisté », le mot « suicide » par son aspect violent, me dérange fortement pour désigne un accompagnement de fin de vie « en douceur » avec une assistance médicale.
L’assistanat ira jusqu’à faciliter le suicide et dispenser d’un ultime acte de liberté
L’assistanat ? Terme péjoratif pour désigner le système social français, quel rapport avec le sujet ?
Mais allons jusqu’au bout d’une logique qui m’échappe, sauf si je t’ai mal compris : la jungle est préférable à « l’assistanat » ? Ou bien faudrait-il l’acharnement thérapeutique plutôt que l’assistance à mourir dans la dignité lorsque tout indique qu’il ne sert plus à rien de poursuivre des traitements qui ne sont plus curatifs, mais motivés par des conceptions théoriques ?
Ou bien la liberté consisterait à laisser mourir les gens dans la souffrance ?
Et d’où faciliter le suicide, qui, par définition, est un acte choisi par la personne concernée, pourrait-il relever de l’assistanat.
Avec la meilleure volonté je ne comprends pas ta phrase.