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Géplu.
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Les dossiers relatifs à la fin de vie et à la légalisation du cannabis sont, en effet, les travaux de réflexions – en cours – de cette première moitié du siècle. Mais ainsi que le précise très judicieusement Roger Dachez : « L’influence de la franc-maçonnerie sur le politique s’est considérablement réduite. » Les maçons n’ont – hélas plus guère de poids en général, en particulier pour les sujets si délicats, impopulaires et donc très difficiles faire passer (rappelez-vous l’avortement) et qui ne font pas l’unanimité – toutes classes et communautés confondues…. « une avancée humaniste », un « progrès », « une »amélioration de l’humanité », je suis assez d’accord avec le GO
Ce serait pas mal de « décider souverainement de sa vie ». Seulement, entre le moment où on peut décider souverainement et le moment ultime, il y a des pulsions de vie et des envies de vivre qui sont bien loin de la décision. 1/3 des personnes qui sont allées en Suisse afin d’en finir dignement ont reculé devant le geste qui les ferait partir, alors qu’elles se savent condamnées.
Donc, légiférer sur ces moments qui précèdent la fin me paraît bien délicat…