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Géplu.
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Cela me rappelle un interview de W. Christie lu dans le Télérama, où il déclarait que « la Franc-maçonnerie ne lui parlait pas »…et il s’attaquait à l’Oeuvre de Mozart. Que dire des journalisme qui commente une oeuvre qu’il ne comprennent même pas.
Tout à fait d’accord avec Brumaire. Il est consternant de voir que la Flûte magique (les anglophones ont raison en écrivant The Magic Flute) suscite encore des commentaires absurdes.
La véritable signification de la Flûte magique a été publiée ici il y a quelque temps. Elle émane de feu notre F. Robert Wangermée qui était un musicologue de réputation mondiale, professeur d’université, administrateur général de la RTBF et franc-maçon du GOB.
Les sempiternelles divagations sur Mozart et sa Flûte sont exaspérantes. C’est du niveau Amadeus.
Je partage l’avis de Brumaire. A quoi bon adapter le répertoire classique, antique ou baroque en costumes et décors modernes ou futuristes ? Je me souviens d’un Richard III accoutré en chef fasciste, mi-Mussolini mi-Hitler, dans un décor de ruines et désolation, réclamant « un cheval » (of course! C’est dans le texte.) entre deux tanks éventrés !
Pourquoi donc voir la Flûte comme si c’était une histoire vraiment vécue? C’est un conte dont le message n’a pas besoin des 3 unités, de vraisemblance, de cartésianisme pour être entendu. Je me demande ce qu’entend par « fatras maçonnique » le « journaliste spécialisé » qui écrit ces mots…c’est vrai que par là, il n’entend pas grand-chose!
Comme le 14 juin dernier, et Luciole ne me contredira sans doute pas, je pense toujours que ces opéras en costume de ville, voire pire, ne véhiculent rien d’autre que l’indigence intellectuelle et l’imagination infertile de leurs metteurs en scène.
Tout le monde n’a pas le talent de Marc Minkowski (voir sa version géniale de « Platée »)
Ce n’est sans doute pas notre seul point de convergence ma chère soeur.Il faut seulement comprendre que les budgets « costumes » sont très couteux et que chaque metteur en scène qui entend « imprimer sa marque » essaie de se faire un nom ou de paraître plus en avance que ses prédécesseurs.
Le résultat est le plus souvent consternant pour de vrais mélomanes et spectateurs à qui il ne reste que leurs oreilles pour pleurer.