« Pour rester libre un média ne doit dépendre que de ses lecteurs »
Amis lecteurs, Frères, Sœurs, ou profanes,
La gestion professionnelle et indépendante d’Hiram.be, Le Blog Maçonnique a un coût, qui croît régulièrement. Aussi, afin d’assurer la pérennité du blog et de maintenir sa qualité, je me vois contraint de rendre son accès payant. Rassurez-vous, la somme demandée est très minime : 20 € par an !
De plus, afin de ne pas « racketter » les nombreux visiteurs occasionnels et de permettre aux nouveaux lecteurs de découvrir un peu le blog avant de s’y abonner, la consultation de trois articles est offerte aux non abonnés. Mais dans tous les cas, afin de pouvoir gérer ces gratuits et l’accès permanent, la création d'un compte est préalablement nécessaire.*
Alors, si vous aimez Hiram.be et êtes satisfaits du service d’informations maçonniques qu'il vous rend chaque jour, soutenez-le, créez votre compte et réglez dès aujourd’hui vos 20 € pour votre accès permanent et illimité d'un an au blog.
D’avance je vous en remercie.
Géplu.
* Je certifie qu’Hiram.be ne fera aucun commerce et ne transmettra à personne les données recueillies, collectées à la seule fin de la gestion de ses abonnements. Géplu.
La cuisine doit rester frugale.
Peut-être ne mangent-ils qu’un plat ?
Agapes doit être employé au pluriel et non au singulier pour exprimer des repas laïques.
Si Victor Hugo emploie « agape » au singulier pour signifier un riche repas, pourquoi nos frères Suisses ne le pourraient-il pas ?
Agape au singulier désigne le repas des premiers chrétiens, agapes au pluriel un joyeux festin partagé par des amis.
Il serait bien de préciser l intégralité de la phrase et son contexte dans laquelle Victor Hugo emploie agape au singulier.
Je ne suis ni grammairien ni linguiste donc je puis me tromper.
Pourquoi « laïques » ? Ne serait-ce pas une fois de plus l’expression d’une pensée politiquement correcte qui s’obstine à purger la Maçonnerie de ses aspects spiritualistes? Les banquets d’Horace étaient ils « laïques » ?
Frugal? Ce mot vient du latin frugalis qui désigne le fruit. Il a été détourné de son sens d’origine. Il s’agissait en effet de repas faits des fruits de la terre. Dans l’antiquité greco-romaine on se repaissait souvent de fruits secs, noix, amandes, raisins, pain accompagnés de vin sucré au miel. La notion de « frugalité » est issue du fait qu’il n’y avait pas de viande lors de ces repas et n’exprime pas la rigueur alimentaire particulière que nous lui attribuons aujourd’hui. Voici qui devrait plaire aux vegans.