« Pour rester libre un média ne doit dépendre que de ses lecteurs »
Amis lecteurs, Frères, Sœurs, ou profanes,
La gestion professionnelle et indépendante d’Hiram.be, Le Blog Maçonnique a un coût, qui croît régulièrement. Aussi, afin d’assurer la pérennité du blog et de maintenir sa qualité, je me vois contraint de rendre son accès payant. Rassurez-vous, la somme demandée est très minime : 20 € par an !
De plus, afin de ne pas « racketter » les nombreux visiteurs occasionnels et de permettre aux nouveaux lecteurs de découvrir un peu le blog avant de s’y abonner, la consultation de trois articles est offerte aux non abonnés. Mais dans tous les cas, afin de pouvoir gérer ces gratuits et l’accès permanent, la création d'un compte est préalablement nécessaire.*
Alors, si vous aimez Hiram.be et êtes satisfaits du service d’informations maçonniques qu'il vous rend chaque jour, soutenez-le, créez votre compte et réglez dès aujourd’hui vos 20 € pour votre accès permanent et illimité d'un an au blog.
D’avance je vous en remercie.
Géplu.
* Je certifie qu’Hiram.be ne fera aucun commerce et ne transmettra à personne les données recueillies, collectées à la seule fin de la gestion de ses abonnements. Géplu.
C’est sûrement anecdotique, mais il me semble qu’il s’est glissé une erreur dans la datation julienne de la réunion du 24 juin 1717.
De 1700 à 1800 l’écart entre le calendrier grégorien et le calendrier Julien était de 11 jours (il est à présent de 13 jours).
Cà correspondrait donc au 5 juillet de notre calendrier et non au 10 juillet.
La taverne « Le Pommier » : « le lieu de la réunion de 1716 est hypothétique si on en croit Prescott pour qui « Le Pommier » n’existait pas entre 1716 et 1717. »
Ça reste effectivement une interrogation.
Prescott remettait ainsi en cause les assertions de l’historien Robert Freke Gould qui, dans ses « Four old lodges » (London 1879), décrivit la migration dans Londres de la taverne « Le Pommier », signant, d’après lui, son existence en 1716.
William Preston, quant à lui, en parla dans « Illustrations of Masonery » en 1781.
William John Songhurst dans The Minutes of the Grand Lodge of Freemasons of England, 1723-1739 (Quatuor Coronatorum Antigrapha, n° 10, 1913), signale que dans le Londres de 1727, la taverne « La tête de la Reine », Knaves Acre, provient du « Pommier », Covent Garden, et fait état de plusieurs migrations de Loges à cette époque.
L’importance est ici toute relative dans le marquage d’une maçonnerie spéculative londonienne en gestation…
« L’importance est ici toute relative dans le marquage d’une maçonnerie spéculative londonienne en gestation… »
D’autant plus relative que j’ai parlé d’une dizaine de jours !! Comme je n’ai pas cité le jour exact du bombardement du quartier par la Luftwaffe !
Je me souviens y avoir dîné avec ma Loge IRIS du GOB en compagnie d’un Atel GOF de la région parisienne qui nous recevait et nous avait fait la (belle ) surprise ! C’était en 1979 (?) EV.
A défaut d’apporter une pierre (de reconstruction) à l’édifice détruit en 1940, je me souviens de cette évocation de, notamment, l’Oie et le Grill, dans une photo maçonnique du dimanche, publiée ici en février 2016.
Une évocation de mémoire dans le Londres contemporain.
En voici le lien:
https://www.hiram.be/la-photo-maconnique-du-dimanche-7-fevrier/
C’est également un restaurant à Rancon, dans la Haute-Vienne.
# 1 Tu as évidemment raison, ma plume a fourché.
lla « création » de 1717 eut lieu de 24 juin, jour de la St Jean d’été, alors que l’installation d’u maître de loge avait habituellement lieu le 27 décembre à la St Jean d’hiver.
Pour mémoire, le quartier a été entièrement détruit en décembre 1940 par le Blitz et reconstruit après la guerre (seule la cathédrale resta intacte).
Mon TCF Pierre,
Tu écris : « On répète, sans doute à raison, que la première Grande Loge [1] fut créée à Londres le 27 juin 1717… »
Dans mon esprit, et d’après mes lectures, il s’agissait du 24 juin 1717 (et non du 27), à l’occasion de la saint Jean et date de la naissance, à Londres, de la « Grande Loge de Londres et de Westminster », acte fondateur de la Franc-Maçonnerie moderne.
Qu’en est-il exactement ?