l’Oie et le Grill peu de temps avant sa destruction en 1894. Au fond de l’impasse.

L’Oie et le Grill

Publié par Pierre Noël

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dimanche 25 avril 2021
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  • 6
    Etienne Hermant
    25 avril 2021 à 13h38 / Répondre

    C’est sûrement anecdotique, mais il me semble qu’il s’est glissé une erreur dans la datation julienne de la réunion du 24 juin 1717.
    De 1700 à 1800 l’écart entre le calendrier grégorien et le calendrier Julien était de 11 jours (il est à présent de 13 jours).
    Cà correspondrait donc au 5 juillet de notre calendrier et non au 10 juillet.

    La taverne « Le Pommier » : « le lieu de la réunion de 1716 est hypothétique si on en croit Prescott pour qui « Le Pommier » n’existait pas entre 1716 et 1717. »
    Ça reste effectivement une interrogation.
    Prescott remettait ainsi en cause les assertions de l’historien Robert Freke Gould qui, dans ses « Four old lodges » (London 1879), décrivit la migration dans Londres de la taverne « Le Pommier », signant, d’après lui, son existence en 1716.
    William Preston, quant à lui, en parla dans « Illustrations of Masonery » en 1781.
    William John Songhurst dans The Minutes of the Grand Lodge of Freemasons of England, 1723-1739 (Quatuor Coronatorum Antigrapha, n° 10, 1913), signale que dans le Londres de 1727, la taverne « La tête de la Reine », Knaves Acre, provient du « Pommier », Covent Garden, et fait état de plusieurs migrations de Loges à cette époque.

    L’importance est ici toute relative dans le marquage d’une maçonnerie spéculative londonienne en gestation…

    • 7
      Pierre Noël
      25 avril 2021 à 15h13 / Répondre

      « L’importance est ici toute relative dans le marquage d’une maçonnerie spéculative londonienne en gestation… »

      D’autant plus relative que j’ai parlé d’une dizaine de jours !! Comme je n’ai pas cité le jour exact du bombardement du quartier par la Luftwaffe !

  • 5
    etiennemicha
    25 avril 2021 à 10h51 / Répondre

    Je me souviens y avoir dîné avec ma Loge IRIS du GOB en compagnie d’un Atel GOF de la région parisienne qui nous recevait et nous avait fait la (belle ) surprise ! C’était en 1979 (?) EV.

  • 4
    lazare-lag
    25 avril 2021 à 10h21 / Répondre

    A défaut d’apporter une pierre (de reconstruction) à l’édifice détruit en 1940, je me souviens de cette évocation de, notamment, l’Oie et le Grill, dans une photo maçonnique du dimanche, publiée ici en février 2016.
    Une évocation de mémoire dans le Londres contemporain.
    En voici le lien:

    https://www.hiram.be/la-photo-maconnique-du-dimanche-7-fevrier/

  • 3
    Michel HERMAND
    25 avril 2021 à 9h56 / Répondre

    C’est également un restaurant à Rancon, dans la Haute-Vienne.

  • 2
    Pierre Noël
    25 avril 2021 à 9h27 / Répondre

    # 1 Tu as évidemment raison, ma plume a fourché.
    lla « création » de 1717 eut lieu de 24 juin, jour de la St Jean d’été, alors que l’installation d’u maître de loge avait habituellement lieu le 27 décembre à la St Jean d’hiver.
    Pour mémoire, le quartier a été entièrement détruit en décembre 1940 par le Blitz et reconstruit après la guerre (seule la cathédrale resta intacte).

  • 1
    Yonnel Ghernaouti
    25 avril 2021 à 5h02 / Répondre

    Mon TCF Pierre,
    Tu écris : « On répète, sans doute à raison, que la première Grande Loge [1] fut créée à Londres le 27 juin 1717… »
    Dans mon esprit, et d’après mes lectures, il s’agissait du 24 juin 1717 (et non du 27), à l’occasion de la saint Jean et date de la naissance, à Londres, de la « Grande Loge de Londres et de Westminster », acte fondateur de la Franc-Maçonnerie moderne.
    Qu’en est-il exactement ?

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