Non, le bonheur n’est pas que dans le pré !
Encore une contribution envoyée par la GLIF, décidément intarissable depuis qu’elle a décidé un changement de stratégie en matière de communication, passant de la plus extrême discrétion à l’ouverture… 🙂
Non, le bonheur n’est pas que dans le pré !
Il est bien convenu que ce titre est quelque peu provocateur. Les malheurs du monde, les déchéances économiques et sociales de beaucoup, les maladies graves, nos seulement celles apportées par la pandémie du moment, mais les pathologies en tous genres, charrient leurs lots de souffrances et de misères. Alors comment parler de bonheur et de malheur ?
Et pourtant, si l’on admet que le destin n’est pas tout à fait déterministe, que nous avons une marge de manœuvre même infime sur le cours de notre vie, et que l’exemple et les leçons de philosophes nous parlent encore, alors essayons de comprendre et d’agir pour éloigner autant que faire se peut le malheur et pour tenter de bâtir en nous un état de bonheur, même temporaire. Ce projet doit être à la portée de tous, puisque, heureux ou malheureux, volens nolens, nous persévérons toujours dans la poursuite de notre être, cela même peut-être sans nous en rendre compte. Voyons une approche de cette conception.
L’être tripartite.
L’être humain, comme d’ailleurs toutes les créatures dans la nature, vivantes ou apparemment inertes, est tripartite : chaque créature naturelle est composée d’un corps, d’une âme et d’un esprit, dans des proportions
1 – Bon, il ne faut peut-être pas aller jusque là mon cher frère.
Ce qui m’interroge est plutôt la signification de ce texte.
Où veut-il en venir ? A « Le bonheur est à la mesure de chacun » ?
Content de l’apprendre
Hoho, les animaux captent nos vibrations neuronales !
Là je pense qu’il faut viser le Nobel !
Je persifle un peu, mais il me semble indispensable de nommer le ton du texte : de la philosophie ? de la poésie ?
En tous cas on est loin de la science, et en particulier des neurosciences, et rien ne le dit dans le texte ni le titre, …un peu comme dans un ancien texte religieux, que certains esprits, « instinctuels » ou non, utiliseront comme dogme pour asservir les crédules.