Consécration de la loge Thévah de la GLIFF

Publié par Géplu
Dans Divers

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dimanche 7 février 2021
  • 21
    Une sœur du sud
    11 février 2021 à 19h18 / Répondre

    Une consécration réussie en pleine crise sanitaire, ça nous promet une belle évolution ! Merci à ces SS qui ont su braver la tempête et nous montrer que la flamme de l’Espérance continue de briller. En espérant de tout cœur venir en visite bientôt et assister à la consécration de la loge parisienne ?
    Longue vie à Thevah !

  • 19
    Brumaire
    8 février 2021 à 12h18 / Répondre

    Le REAA, né en 1804, réorganisé dans les années 1830 en regroupant tous les régimes écossais, est un Rite très souple dans son utilisation. Je ne sais pas ce que nos SS de Thevah, à qui j’adresse un grand MazelTov, au passage, ont choisi comme rituels aux 3 degrés pour leur Loge dans les détails, car REAA 1802, c’est un peu juste.
    L’essentiel est dans les fondamentaux du Rite, qui sont compilés dans le Tuileur de Lausanne. Le reste est de l’habillage, si on peut dire ça comme ça. Les « vêtements », lorsque, bien sûr, on a respecté les fondamentaux, font le parfum de la loge et son caractère
    Bon vent à nos SS qui n’ont pas eu peur de braver les railleries habituelles et bien d’autres choses plus désagréables il y a 3 ans, lorsqu’elles ont quitté la GLFF; elles ont appliqué une maxime qui leur va bien: Bien faire et laisser dire…
    les « grandes obédiences » feraient bien de réfléchir, surtout quand la pandémie sera derrière nous, aux raisons qui font que les démissions se comptent en nombre dans leurs rangs. Et ce n’est pas qu’une histoire sanitaire! Cette dernière aura été une sorte de révélateur.

  • 18
    Champagne
    8 février 2021 à 0h00 / Répondre

    Une naissance est toujours une bonne nouvelle, et c’était une gageure de Consacrer une Loge dans les conditions sanitaires actuelles.
    Bravo aux sœurs de THEVAH pour leur travail, leur enthousiasme et leur accueil ?.
    Longue vie à THEVAH !

  • 16
    marseille/toulon
    7 février 2021 à 19h16 / Répondre

    Bravo pour votre projet mené à bien. Prenez bien soin de l’idéal qui vous unit .

  • 15
    Peter Bu
    7 février 2021 à 18h07 / Répondre

    Inaugurer une loge malgré la pandémie, l’état de siège et l’interdiction de sortir après 18 heures est touchant.
    Elle solidifie un peu la nouvelle obédience dont elle fait partie (une obédience de plus ! je tâcherai de savoir ce qui la différencie de celles qui existent déjà, en espérant que sa création a été vraiment indispensable).
    Aucune émotion dans les commentaires, tellement savants qu’après leur lecture je me sens ivre.

  • 14
    SATURNIN FARANDOUL
    7 février 2021 à 15h32 / Répondre

    Didascalie….J’ai bossé en GRèce, et le Grand Maitre local était dénommé Ho Megas Didascalos…

  • 12
    Cassandra Verde
    7 février 2021 à 12h48 / Répondre

    Mazal Tov ‼️❤️❤️❤️

  • 6
    BASSET liliane
    7 février 2021 à 11h07 / Répondre

    « la raison n’a plus besoin de symboles, elle est aujourd’hui le soleil sans nuages » ….. j’ai pensé à LAMARTINE en apprenant la consécration de THEVAH … les relations de LAMARTINE avec la F.M. n’ont jamais fait, que je sache, l’objet d’une étude SEPAREE …..
    J’ai la fierté de connaitre les FONDATRICES de THEVAH …
    un souhait : que la vie de THEVAH se déroule sous un ciel « presque » sans nuages …
    une S. liliane

  • 3
    Pierre Mollier
    7 février 2021 à 9h36 / Répondre

    Un « rituel de type 1802 pratiqué à la GLNF » pour les grades symboliques du REAA. Ben là, je dois avouer, ils sont forts à la GLNF (si la référence est exacte). A priori, quand on s’en tient aux documents et à une approche historique a minima, les grades symboliques du REAA ont été élaborés à l’automne 1804 par la Grande Loge Générale Écossaise. De surcroît, pour différentes raisons, cette version originelle des rituels symboliques du REAA (dite du « Guide des Maçons Écossais ») est difficile à pratiquer aujourd’hui.

    • 4
      yonnel ghernaouti, YG
      7 février 2021 à 10h41 / Répondre

      Cher Pierre,
      À l’occasion, je t’appelle. C’est très « Trestournelien » tout cela. Bien sûr, c’est off…
      Avec toute ma fraternelle affection.
      yonnel

      • 17
        Wind
        7 février 2021 à 21h43 / Répondre

        Bien sur il fallait bien faire semblant de l’avoir avant même que le REAA existe ! D’où notre appellation « de tradition »

      • 20
        Brumaire
        8 février 2021 à 12h23 / Répondre

        Yonnel, lorsque c’est « off », on n’en souffle mot, ou on le traduit autrement pour rester fraternel avec les autres.

    • 5
      Criton
      7 février 2021 à 10h52 / Répondre

      Cher Pierre,
      Quatre REAA sont pratiqués à la GLNF, majoritairement un rituel dénommé Hiram (ex Cerbu), quelques Loges pratiquent le Guide du Maçon ou le rituel Thébah. Le « 1802 » – paradoxe historique que tu soulignes avec humour – date en réalité d’il y a quelques dizaines d’années et c’est Yves Trestournel qui en est à l’origine.
      Très fraternellement

    • 7
      Fabrice
      7 février 2021 à 11h32 / Répondre

      J’ai tenu le premier maillet d’une loge du GODF qui a dans ses patentes le REAA. Je me souviens que la version que nous suivions, était celle dite de « 1802 ». La particularité essentielle résidait dans l’ouverture et les fermeture des travaux. Ce sont les surveillants qui la débutent avec le tradititionnel tuilage et ce n’est que lorsqu’ils se sont assurés de la sécurité extérieure et intérieure du Temple que le VM prend la suite et procède à l’ouverture proprement dite. Pour la fermeture, c’est le VM qui la débutent et les Surveillants la parchèvent. Pour le reste, c’est le REAA. La particularité réside donc dans la rituélie ou la didascalie ou « la mise en scène ». Cette version date-t-elle de 1802 ? Je n’en sais strictement rien. Pour moi, c’est du même ordre que les étiquettes que l’on colle aux différentes variantes du RF pour s’y retrouver. L’essentiel, c’est que la loge ne soit pas esclave de son rite et que tous ses membres le pratique avec le plus de justesse et de mesure possible.

      • 8
        Fabrice
        7 février 2021 à 11h34 / Répondre

        Désolé pour les fautes d’orthographe.

        • 9
          Lazare-lag
          7 février 2021 à 12h27 / Répondre

          @ Fabrice (8):
          Que celui qui n’a jamais fauté jette la première pierre.
          Ou plutôt qu’il la conserve pour s’en servir utilement en la portant à l’édifice.
          Ce faisant, fautes largement compensées par le fait d’apprendre de nouveaux mots.
          Je suis de ceux qui jusqu’ici ne connaissaient la didascalie.
          Peut-être une étymologie ou une racine commune avec didactique.
          A vérifier, il me manque de ne peut avoir fait un minimum de grec…

          • 10
            Lazare-lag
            7 février 2021 à 12h29 / Répondre

            Damned: de ne pas avoir fait de grec!!
            Et là ce n’est pas de l’orthographe!!!

    • 11
      Désap.
      7 février 2021 à 12h48 / Répondre

      Un excellent article au sujet d’une forgerie nommée REAA 1802 :
      http://le-myosotis-rouvray.over-blog.com/article-reaa-historique-des-rituels-91839511.html

    • 13
      pierre noel
      7 février 2021 à 12h59 / Répondre

      J’ai déjà eu l’occasion de le dire, ici ou ailleurs ! Au début des années 80, Yves Trestournel a fait un séjour en Belgique, invité par le GM (1982-1988) René Constant. Il a assisté notamment à un 1er et un 2ème degré à l’Avenir et l’Espérance à Charleroi (loge de RC). Il a ainsi découvert les innovations/adaptations du rite Moderne Belge : les ouvertures particulières à ce rite, le miroir au 2ème degré (copié sur les Hollandais, pas sur le RER), le pentagone, l’absence des cartouches, le mini-drame de l’EF, le départ compagnonnique. Il a beaucoup aimé et est reparti content et satisfait, les rituels sous le bras (j’y étais, ainsi que André Gouyon, un grenoblois initié à Charleroi en 1968, devenu plus tard GMP de Savoie-Dauphiné !). Quelques années plus tard, le rituel 1802 est apparu ! Nous y avons retrouvé tout ce que YT avait vu, présenté sous un emballage à peine modifié.

  • 2
    Wind
    7 février 2021 à 8h25 / Répondre

    Le numéro a été attribué au triangle qui était 4eme dans l’ordre des créations à la GLIFF. Le REAA se pratique à partir de plusieurs rituels qui différent selon les obédiences. Il existe plusieurs rituels au REAA qui comportent des noms différents quelquefois. Mais la trame et les symboles sont identiques. Le REAA est proche du rituel de type 1802 pratiqué à la GLNF.

  • 1
    yonnel ghernaouti, YG
    7 février 2021 à 3h43 / Répondre

    Thevah N° 4, consacrée à l’Orient de Toulouse porte le numéro 4 à la matricule de la Grande Loge Initiatique Féminine Francophone, mais est la cinquième Loge de l’Obédience…
    Soit !
    Faut-il comprendre que « Terre de Lumière », Loge nationale fondée à Lyon, siège de l’Obédience, le 25 novembre 2017, porte le numéro zéro ? J’ai soif de comprendre. Merci donc de vos lumières.
    D’autre part, n’ayant rien trouvé sur le site de la GLIFF, merci, par avance, de m’en dire plus sur ce rite que je ne connais pas, le « Rite Écossais Ancien et Accepté de Tradition », alors que l’article 4 de leur Charte précise : « La Grande Loge Initiatique Féminine Francophone travaille au Rite Écossais Ancien et Accepté… »

    • 22
      Une sœur du sud
      11 février 2021 à 19h28 / Répondre

      Yonnel, je me suis posée la même question. D’après une S:. plus avisée que moi, ce serait parce que cette loge aurait gardé son numéro d’inscription en qualité de triangle ?

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