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Géplu.
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Le type « d’étonnement » qui fonde dans le Théétète l’activité philosophique n’est pas le simple « émerveillement » devant le nouveau qui frappe l’entendement par son caractère inconnu, étrange, surprenant, curieux, singulier, admirable et extraordinaire, c’est au contraire et très précisément « l’étonnement » devant l’irrationnel ou l’anormal prédiquant les deux formes de pathos que sont la « passivité » (perte de liberté) et la « souffrance ». Ce qui explique que les anciens Grecs aient fait de cet « étonnement » le père d’Iris, l’arc-en-ciel qui, dans la mythologie grecque, sert de messagère aux dieux au sujet de choses aussi « étonnantes » au sens latin de adtonare (« frapper du tonnerre » ou de « stupeur ») que les « querelles » et les « discordes » entre les immortels parmi lesquels certains sont sujets au « mensonge ». L’étonnement » philosophique n’a rien de naïf, de béat ni de souriant ; il est au contraire terrible, effrayant et terrifiant.
Où est-il question d’étonnement, au sens philosophique » dans ce texte? Où est-il question d’émerveillement? En quoi ce commentaire qui se veut érudit a-t-il un rapport avec le texte ?
Lisez l’introduction qui précède le poème.