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Géplu.
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J’ai dû relire deux fois la contribution d’Anwen pour croire mes yeux: « la différence de nature qui existe entre les individus humains ».
Une telle pensée me semble non seulement incompatible avec la franc-maçonnerie, mais avec la science.
Par hasard, je termine la lecture d’un « pavé » de Siddhartha Mukherjee, biologiste américain d’origine indienne, « Il était une fois le gène ». Lecture ardue mais qui en vaut la peine.
Si vous le lisez, vous ne pourrez jamais croire en » »la différence de nature qui existe entre les individus humains ». Sans le mot « nature » cette phrase est une lapalissade. Avec, un non-sens.
merci à pierre Pelle le Croisa
La recherche de la perfection engendre la paralysie..
C’est ce que recherche tout predateur pour mettre sa victime sous emprise
Les valeurs sont le ferment de l’exclusion et justifient des comportements dégradés
Cahusac et bien d’autres ceux là même qui le clouent au pilori après l’avoir vénéré . Le vénérable est un miroir
Qui trouble l’oeil de narcice pour prendre le contrôle
Et nourrir le vide par du vide
D’ou les rituels où le libre d’esprit verra une mascarade
Il n’est de valeurs que d’être..et chacun est l’invité de la providence.bienvenu a chacun
Attention à ne pas transformer ce site maçonnique en un défouloir où déverser une pseudo-pensée confuse. En effet, un ventilateur brasse l’air et certains messages brassent le vide de la réflexion.
Une « hiérarchie naturelle » ? Pas très conforme aux idéaux de la FM, me semble-t-il.
Mon ami tu iras dire cela aux familles de ceux qui vont être sacrifiés par obligation de choix soit du système de santé devant l’urgence et la surpopulation des malades, soit en fonction de l’état de santé et de l’âge de l’individu en attente.
Il n’y a malheureusement pas de pensée confuse devant de tels faits et il aurait été préférable d’avoir une pensée confuse elle aurait fait moins de dégâts que certains faits… Comment un pays développé comme le notre au XXIème siècle ne soit pas en mesure de fournir des masques, des gants, etc..non seulement au personnel médical, mais encore aux pompiers, aux policiers et gendarmes, aux caissier(e) de magasins. Ce doit être une pseudo pensée confuse à moins que ce ne soit la pensée d’un ventilateur qui brasse de l’air que de s’indigner devant une telle situation. Je ne parle même pas du manque de lits et de ventilateurs dont le manque ne brasse pas du vide comme tu le dis mais participe à la tragédie.
Je lis dans l’article:
« pour se perfectionner, il faut non seulement se référer à une idée de la perfection et à un idéal de perfectibilité pour l’accomplir, mais il faut aussi les matérialiser, donc se référer à un guide de perfectionnement pour conduire ses actions »
En pleine crise sanitaire ce propos ne manque pas de sel. Depuis un an et plus le personnel soignant tire la sonnette d’alarme sur l’état de la santé et des hôpitaux dans notre pays…Aucune réponse de ceux qui nous dirigent ils devaient surement passer leur temps à se perfectionner avant de perfectionner la société. Que dire également de ceux qui disaient qu’on dépensaient trop pour un social qui coûte un pognon de dingue, ou la cour des comptes qui faisait fermer des lits dans les hôpitaux au nom des grands équilibres. Tous ces braves gens sont bien silencieux aujourd’hui et j’espère que c’est nous qui allons leur demander des comptes on se demande où ils vont trouver les 300 milliards qu’ils sortent d’un chapeau alors qu’il n’y en avait pas pour maintenir le système de retraite par répartition.
Quant à l’ex-ministre de la santé qui affirme avoir prévenu la présidence et le gouvernement dès janvier j’imagine que nos dirigeant étaient occupés à devaient cette phrase de l’article : « « la vertu, dans sa quintessence, expose la morale dans toute sa pureté ».
La morale ils ne savent même pas ce que c’est si ce n’est celle des comptes bancaires et encore.
Pour dire merci voici quelques mots :
LE MONDE D’AUJOURD’HUI
Un nouveau monde en transformation
Des humains et la vie en mutation
Le 21ème siècle nous l’avons rêvé
Nous y voilà arrivés
Aujourd’hui comme hier regarder, écouter
Sentir, réfléchir, aimer
Les défis à relever sont là
Le social et le climat
Etre là dans son temps
Quelquefois content ou pas content
La planète à guérir
Le monde à chérir
Mon ami(e) un peu d’alchimie
Pour améliorer la vie
Aller vers un idéal
FRATERNITE humaine, animale, végétale, internationale
Nous aussi, nous avons des ventilateurs en Loge, ce qu’il nous faut, ce sont des faiseux, pas des diseux !
Oui, il faut des « faiseux », mais sans les « diseux » pas de « faiseux » ou alors uniquement des « malfaiseux ».
En effet, le principe de l’institution des « castes », notamment dans l’Inde antique où cela est plus connu, mais si complètement incompris des Occidentaux, n’est pas autre chose que la différence de nature qui existe entre les individus humains, et qui établit parmi eux une hiérarchie naturelle dont la méconnaissance ne peut amener que le désordre et la confusion.
Cela semble assez évident aujourd’hui.
Ecoutez ceci, vous qui prétendez au bonheur : perfectionnez-vous, car le bonheur est dans la perfection morale.
Mais qu’est-ce que la perfection morale ? comment l’atteindre ?
Et comment comprendre, également, pourquoi la nature humaine est organisée de telle sorte qu’en suivant ses impulsions l’homme ne va pas toujours vers le bien ? Quelle signification on doit donner au mot bien et au mot mal, quel est le but que l’homme doit chercher à atteindre ?
Pour répondre à ces questions, nous avons dû remonter le cours de l’évolution humaine, chercher quand et comment le mal a commencé, car, de même que nous ne comprenons l’existence de nos organes qu’en les étudiant dans leur développement, de même que nous ne comprenons leurs fonctions qu’en remontant dans l’évolution physiologique, ainsi de même, nous ne pouvons comprendre la raison des rapports établis aujourd’hui entre l’homme et ses semblables qu’en remontant le cours de l’évolution psychique de l’humanité.
C’est donc à la science que nous avions à faire appel puisque, elle seule pouvait nous éclairer en nous montrant les faits dans leur évidence, les causes dans leur origine.
Sans cette évidence, que la science seule nous donne, nulle autorité n’a le droit d’imposer à l’homme un précepte à observer, un devoir à remplir.
Toute prescription non justifiée par une loi de la Nature est arbitraire et doit être suspecte. La loi doit avoir sa cause et cette cause doit être démontrée ou démontrable.
Si l’ignorant a pu se soumettre à des préceptes imposés arbitrairement, c’est parce que, sentant sa faiblesse, il a eu confiance dans ceux qu’il a accepté pour maîtres, dans ceux à qui il a laissé le soin de penser pour lui.
Mais celui qui se sent fort veut savoir le pourquoi des actes qu’on lui impose.
Pour pratiquer le bien et éviter le mal, il faut savoir où est le bien et où est le mal, il faut connaître les causes qui font que telle action est bonne, que telle action est mauvaise.
C’est la mission de la vraie science de faire cette recherche ; c’est sa mission d’en imposer les conclusions après en avoir rendu la nécessité évidente.
Gardons-nous bien de séparer la morale de la science comme ont eu la malencontreuse idée de le faire certains philosophes qui, tout en proclamant l’infaillibilité de la science, n’ont pas su pousser jusqu’au bout, les conclusions de leurs affirmations.
C’est ainsi que nous lisons, avec regret, dans un livre de M. Büchner, cette phrase : « La science n’a rien à voir directement avec les mœurs, au point de vue idéal, et toute recherche serait entravée si elle dépendait de semblables considérations. »
Ceci prouve que M. Büchner ignore qu’il est une science qui régit les mœurs, et qui n’est pas autre chose qu’un chapitre de la physiologie.
Comment se fait-il qu’il ignore cela ?
C’est parce que, comme bien d’autres, il confond la vraie morale avec la fausse morale qui, elle, n’a pas de bases scientifiques.
« La société nous a imposé une certaine forme de morale, mais cette société n’est que le reflet de l’ensemble de l’humanité. Or, à en croire la société et sa morale, il est permis d’être avide ; il est permis de tuer son prochain au nom de Dieu, de la patrie, ou d’un idéal ; il est permis d’être compétitif, envieux, dans les limites de la légalité. Une telle morale n’est absolument pas digne de ce nom. Il faut la renier au plus profond de soi de manière radicale ».
Voyons maintenant en quoi ces deux morales diffèrent l’une de l’autre.
(…)
Aussi bien, pensée latente et pensée vivante se conjuguent-elles sans cesser d’être une dualité fonctionnelle, dualité qu’il appartient à l’homme d’ériger en synthèse constructive par l’action combinée de son cerveau et de son cœur. À ce prix seulement, devenant constructeur, l’homme prend part au Grand Œuvre.
LFLV…