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Bizarre Bizarre vous avez dis bizarre…que vient faire Dreyfus dans cette histoire Il était FM ? et l’art pariétal ??
l’égrégore je pense que l’on peut le retrouver dans tous les groupements humains qui ont les mêmes buts , les mêmes combats, les mêmes engagements, la même foi , les mêmes aspirations. Le sentiment de Fraternité et d’émotion se retrouvent alors et C’est l’égrégore
Justement l’égrégore qui fait la différence des frères maçons et ce qui est complètement à leur honneur
« Quel rapport avec l’affaire Dreyfus ? »
L’étymologie, surtout l’étymologie.
Pour le reste, c’est l’éternel histoire d’un type qui regarde le doigt du sage qui désigne la lune.
Cordialement
S’agirait de descendre enfin de son nuage et d’arrêter le basilic ou la lavande.
Nous sommes, en tout cas je suis, un bouseux complet en matière d’étymologie, un gueux parfait quand on n’est pas explicite et qu’on se perd en circonlutions ou circonvolutions parfaitement incompréhensibles.
S’agirait pour une fois d’être pédagogique et pas fumeux, ni énigmatique, ni inaudible.
Ou tu la donnes ton explication étymologique.
Ou tu ne la donnes pas, et tu la gardes au fond de ta besace.
C’est assez clair, comme ça? Ou faut-il vous l’envelopper?
Ne t’inquiète pas Lazare nous sommes au moins deux! J’adore le conte: « Les habits neufs de l’Empereur ».
Mais je ne m’inquiète pas, Luciole, je ne m’inquiète pas.
– – –
Pas plus que je ne m’inquiète de l’attitude de notre commentatrice Anwen consistant depuis quatre jours maintenant à ne pas venir fournir l’explication étymologique annoncée touchant au nom même de Dreyfus.
Elle est d’ailleurs très révélatrice cette attitude:
Notre S:. Anwen pense certainement ainsi me pénaliser moi, personnellement, pour avoir été un peu rêche avec elle dans mon message n°7.
Alors que ce n’est pas moi qu’elle pénalise mais les quelques 18215 visiteurs et visiteuses qui sont suspendus à sa plume pour connaître le fin mot étymologique qui semble guider sa pensée.
C’est fort dommage pour eux.
– – –
Mais elle comporte cependant un enseignement cette attitude:
Elle témoigne du fait que lorsqu’on se laisse guider par des considérations profanes et que l’on se refuse de communiquer une information que l’on dit détenir, alors on démontre qu’on se refuse à apporter une pierre à l’édifice, et on démontre surtout qu’on est rétif dans l’ambition de transmission qui incombe à tout franc-maçon, à l’intérieur comme à l’extérieur du temple.
– – –
Et c’est la même qui ensuite vous évoque celui qui regarde le doigt du sage et non la lune désignée par le sage.
Amusant, non?
Quelle distinction faites vous de la communion chrétienne et maçonnique ????
En franc-maçonnerie, la communion entre les membres s’appelle l’égrégore. Elle n’a aucune religiosité, ni référence à un quelconque divin. C’est juste le sentiment de partager ensemble au même moment les mêmes sentiments.
Peut-on réduire l’égrégore en loge à une simple sensation de partage? Je ne le pense pas. Ce ressenti collectif a la fois intense et fugace est impossible à exprimer. Parce qu’il relève du spirituel, il se situe au-delà du conscient et de la raison et seuls ceux qui l’ont vécu peuvent en parler entre-eux. Prétendre le décrire ou l’expliquer avec des mots à l’attention des non-macons relève de la gageure. Mais voici que je prête le flanc à tous ceux qui nous accusent de cultiver d’inavouables secrets…!
Bien sûr d’accord avec toi Ergief. Ce « ressenti collectif » fait parti de l’incommunicable, et il est le cœur du secret maçonnique. 🙂
Effectivement difficile si non impossible d’expliquer aux profanes, à ce profane, ce que vivent les Frères et les Sœurs quant ils « communient » entre eux…
J’ai juste essayé d’expliquer, sans dénigrer rien ni personne, la différence entre la communion des chrétiens, avec le divin qu’ils prient, et celle dégagée de toute religiosité mais non de sacré que nous vivons, et partageons l’espace de quelques instants.
Pour être plus concis encore l’égrégore ne peut se décrire avec des mots mais uniquement par des symboles,métaphores et paraboles. D’où la nécessité pour les profanes qui nous lisent ici d’admettre la nécessité d’un vécu, d’une initiation, d’une méthode, d’un apprentissage, c’est à dire d’un véritable langage, tels que la maçonnerie les propose et l’impossibilité pour eux de se contenter de témoignages écrits pour émettre la moindre opinion à l’égard de l’Ordre maçonnique.
Une telle description fait de la maçonnerie une religion en soi,donc.
C/3 – La chaîne d’Union relie aussi tous les Maçons dans le temps et dans l’espace, en particuliers les frères passés à l’Orient éternel – donc aussi en dehors du temps – et malgré la différence de point de vue, je me demande s’il n’y a pas une analogie avec la Communion des Saints dans l’Eglise catholique…
Quel rapport avec l’affaire Dreyfus ?
Je me posais très exactement la même question.
Car aucun « détail » (sic) ne me paraît lié à l’un quelconque des épisodes vécu par le capitaine Dreyfus entre ses procès, ses condamnations, sa dégradation, son passage au bagne, puis sa réhabilitation.
Encore un mystère d’Anwen, qui n’en manque pas.
Ne remarquez-vous rien à propos de cette sculpture ?
On retrouve ce « détail » sur nombre de monuments de l’antiquité et peut-être même dans l’art pariétal.
C’est le fond de l’affaire « Dreyfus ».