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Géplu.
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Très à la mode François Sureau ces derniers temps…
En librairie, j’ai pour ma part trouvé, et acquis, les titres suivants:
– « Sans la liberté », n°8 d’une toute nouvelle collection de Gallimard, « Tracts », 56 pages.
Nouvelle au sens où son numéro 1 date de février 2019 avec une parution de Régis Debray. On y trouve également l’italien Erri de Luca (n°2) ou Cynthia Fleury (n°6).
Et ce pour la modique somme de 3,90€, sans compter le – 5% pratiqué chez les libraires.
– « Pour la liberté, répondre au terrorisme sans perdre raison », chez Tallandier-essais, paru en 2017, 78 pages.
Il s’agit de trois plaidoiries devant le Conseil Constitutionnel (les 31/01, 28/03 et 30/05 2017), intitulées respectivement dans le livre: Pour la liberté de penser, pour la liberté du citoyen, pour la liberté d’aller et venir.
Qu’il me soit permis de signaler qu’une des meilleures façons de défendre liberté de penser, du citoyen et d’aller et venir est de se déplacer dans une librairie pour acheter (ou commander) un bouquin.
Tout autre moyen utilisé me paraît attentatoire à la liberté d’expression des auteurs, des libraires et des auteurs.
Et donc des lecteurs.
Puisqu’utiliser de tels moyens favorise la fermeture des librairies, surtout indépendantes.
On ne peut effectivement pas à la fois déplorer la fermeture de librairies dans son environnement immédiat, et en même temps agir informatiquement par le biais d’entreprises peu scrupuleuses de l’avenir du livre en général, et du livre en France en particulier, sans parler du respect plus que relatif du droit du travail de ses employés ou du manque respect des obligations fiscales d’une entreprise dans le pays d’accueil.
Et pour revenir à François Sureau, on pourrait compléter son C.V. en précisant qu’il est aussi avocat de de la Ligue des droits de l’Homme (LDH).
Sans oublier que François Sureau entretenait, ce qui n’est pas incompatible, de très bons rapports avec Jean d’Ormesson, au point de préfacer son dernier livre posthume, si je ne m’abuse.
Libertés publiques en France, comme ceux qui vivent dans un paradis et qui se croient en enfer !
En clair? Ou en d’autres termes? Personnellement, je n’ai pas bien saisi le propos.